L'ÉCHO des MONTAGNES, dans le légitime but de vous informer, ce qui est un droit constitutionnel et international, continue sa lutte contre les sionistes, qui appliquent les Protocoles de TORONTO et de SION.
Médias, libérez-vous !
L’agression contre la flottille humanitaire tentant de briser le blocus de Gaza est
un acte de guerre commis par Israël contre des navires battant pavillon turc et qui se
trouvaient dans les eaux internationales. Le Conseil de Sécurité, sous pression du
gouvernement américain, s’est refusé à condamner l’entité sioniste et, bien entendu, il
n’est pas question de sanctions. A ce sujet, l’éditorialiste du quotidien régional
« L’Alsace » a écrit le 2 juin :
« Imaginons un instant que ce soit l’Iran -et non Israël- qui ait attaqué, dans les eaux
internationales, une flottille de six bateaux civils, venue briser un blocus unilatéral et
illégal. (…) La communauté internationale ne se serait pas contentée de condamner le raid,
comme elle l’a très largement fait à l’encontre d’Israël. Elle en serait déjà à étudier des
sanctions, y compris militaires; et les premiers à demander de telles sanctions seraient les
israéliens, eux-mêmes. Mais voilà, ce n’est pas l’Iran qui a provoqué le plus grand incident
naval des dernières années, en Méditerranée, c’est un allié proche de Washington, et cela
change tout. L’indignation est grande, mais la condamnation reste platonique. Il y a bel et
bien deux poids, deux mesures au Proche-Orient. Et ce déséquilibre entretenu par les
Occidentaux est grandement responsable du feu qui ravage cette région du monde depuis
longtemps. »
Tout ce qu’écrit cet éditorialiste est vrai. C’est le trop fameux « deux poids, deux
mesures », c’est l’impunité dont profite Israël depuis sa création, toutes choses qui en font
un état hors la loi, le principal « état voyou » de la planète et un risque permanent -le plus
important- pour la Paix mondiale. Pourtant, c’est contre la République Islamique d’Iran
que de nouvelles sanctions ont été votées (avec l’opposition du Brésil et de la Turquie, et
l’abstention du Liban) alors que l’AIEA (Agence Internationale de l’Energie Atomique)
n’a jamais fait état d’aucune recherche nucléaire à usage militaire en Iran, malgré
d’incessantes inspections. Pendant ce temps, le seul état nucléaire de la région, Israël, est
toujours à l’abri d’inspections et de sanctions, même si, sous la pression de pays arabes
notamment, l’AIEA a commencé à mentionner le nucléaire israélien.
L’éditorialiste de « L’Alsace » est honnête et courageux. Mais il ne devrait pas
s’arrêter en si bon chemin et se demander plutôt d’où vient cette impunité. Pourquoi
fonctionne-t-elle si bien depuis soixante ans. Il découvrirait alors, très vite, l’existence de
ce lobby sioniste que nous dénonçons.
Ce lobby comprend au sommet, entre autres, Emanuel Rahm, Secrétaire Général de la
Maison Blanche, David Axelrod, Conseiller Principal d’Obama, Elena Kagan, futur Juge à
la Cour Suprême proche du Président US. Arrêtons ici la liste pour les USA, ceci n’est
qu’un article et non le bottin mondain des VIP nord-américains ! Monsieur Obama
connaissait très bien ce lobby avant son investiture, pendant sa campagne (les
financements !) et ne peut pas l’oublier une fois élu. Voilà pourquoi, il protège Israël et
sanctionne l’Iran. Souhaitons que cela ait contribué à ouvrir les yeux, en France, de tous
ces bobos qui se croient antisionistes et ont nourri des illusions sur ce politicien, parce que
son papa était …kenyan, et qu’il (Obama) a su dire « Yes, we can ! »
Et nous, en France ? Le gouvernement Sarkozy a voté, bien-sûr, les sanctions
contre l’Iran, après s’être contenté de dénoncer « la riposte disproportionnée » d’Israël,
lors de l’agression de la flottille humanitaire. « Riposte disproportionnée » a dit Sarkozy,
ce qui revient à l’approuver dans son principe, en regrettant ces effets négatifs dans
l’opinion. Il est vrai que pour M. Sarkozy, l’existence d’Israël passe avant tout : avant le
droit international et les vrais intérêts de la France qui ne sont pas ceux de Tel-Aviv. On le
savait depuis longtemps !
Pour les amateurs « d’alternance démocratique », le lobby sioniste et ses médias mettent
en avant la candidature de Strauss-Kahn. Ce dernier, après avoir sauvé les plus grands
banquiers -la plupart pro-sionistes- daignerait revenir en France pour sauver les chômeurs,
les précaires, les bas salaires, les retraités, etc. Socialisme oblige ! Que les Français
n’oublient pas sa déclaration à « Tribune Juive » (2 mars 1990) : « Mon engagement
personnel en tant que Juif, l’emporte sur toute considération politique. » Strauss-Kahn fait
volontairement semblant de confondre Juifs et sionistes. Ce vieux « truc » permet
d’accuser d’antisémitisme les vrais antisionistes et de ressouder ainsi la communauté juive
autour d’Israël.
Voilà quelques pistes sérieuses de réflexion qui peuvent aider notre éditorialiste
de « L’Alsace » à comprendre pourquoi Israël reste impuni tant à Washington qu’à Paris
(entre autres) : l’existence du lobby sioniste aux plus hauts niveaux des institutions.
Peut-être le sait-il déjà ? En tout cas, cet éditorial de « L’Alsace » confirme la faillite
morale d’Israël et du sionisme, mais aussi que certains journalistes commencent à se
libérer de la peur du lobby et de l’autocensure vis-à-vis d’Israël.
Ce n’est qu’un premier pas, d’autres suivront….
Le Président,
M. Yahia Gouasmi
Voici un autre communiqué du Président du PAS, concernant le boycott:
Boycott d’Israël et subventions…
Nous avons déjà évoqué l’éditorial du journal « Le Monde » (10/06/2010)
condamnant le boycott culturel d’Israël, suite à la déprogrammation d’un film israélien
par les cinémas Utopia.
Par une lettre adressée à Madame Anne-Marie Faucon, co-fondatrice du réseau
Utopia, Frédéric Mitterrand, Ministre de la Culture, dénonce à son tour ce boycott et
agite, discrètement mais fermement, une menace : couper les aides publiques à Utopia.
Cette lettre a été envoyée en même temps que paraissait l’éditorial du « Monde ».
Cette insistance à condamner les cinémas Utopia pose un problème beaucoup
plus large : le boycott culturel d’Israël.
Nous connaissons déjà en France les appels à boycotter les produits israéliens (code barre
729). Ce type de boycott, s’il permet de sensibiliser et de mobiliser, pourrait faire croire
qu’une pression économique citoyenne est de nature à affaiblir et à déstabiliser Israël. En
réalité, le poids de l’agro-alimentaire dans l’économie israélienne est tout à fait marginal.
Israël survit essentiellement grâce à l’aide nord-américaine (5 milliards de dollars par an
au bas mot), grâce à son statut de paradis fiscal de fait (pays-refuge de toute sorte de
délinquants financiers) et grâce à son rôle de marchand d’armes et de fournisseurs de
milices privées.
Répétons-le, si le boycott de produits agricoles et alimentaires israéliens est
nécessaire, cette action a vite montré ses limites.
Le boycott culturel d’Israël semble soulever immédiatement d’autres réactions. Il a suffi
qu’une chaîne de cinémas déprogramme un film israélien -et un seul- pour que « Le
Monde » et le Ministre de la Culture montent immédiatement au créneau. Pourquoi ?
La culture n’a jamais été un élément neutre et le sionisme a toujours su utiliser le
front culturel de la même façon qu’il utilise la force la plus brutale. Et, il faut dire les
choses comme elles sont : présenter de la « culture israélienne » à Paris comme si de rien
n’était, c’est apporter, qu’on le veuille ou pas, une caution culturelle au sionisme. Or, le
sionisme, c’est l’expulsion massive de la population palestinienne, la destruction de
centaines de villages, la colonisation permanente, l’emprisonnement de milliers de
résistants palestiniens, les assassinats ciblés dans le monde, l’opération « plomb durci »
contre la population de Gaza, jusqu’à l’attaque en haute mer d’une flottille humanitaire.
Un tel état a nécessairement besoin de « redorer son blason », de se donner une meilleure
image, de se présenter comme un pays comme les autres .Et c’est précisément à cela que
servent les intellectuels, artistes, musiciens israéliens. Certains d’entre eux se présentent
d’ailleurs comme opposants à la politique du gouvernement israélien actuel. Mais en
aucun cas, ils ne remettent en cause l’origine et le fondement idéologique de cet
état : l’idéologie sioniste. C’est d’ailleurs pour cela que l’entité sioniste les ménage et les
transforme, en réalité, en ambassadeurs culturels. Qu’ils soient « opposants » apporte
même un plus : donner à Israël l’image d’une brave démocratie comme les autres.
Nous venons de voir l’importance que le sionisme accorde à son image culturelle
pour continuer à tromper une partie de l’opinion. C’est pourquoi, le boycott culturel
d’Israël revêt une telle importance. Il s’agit de frapper cet état voyou non pas dans ses
boîtes de conserve code barre 729, mais dans l’image trompeuse que son action culturelle
peut encore lui donner.
On comprend très bien les réactions du « Monde » et de Frédéric Mitterrand qui
ont senti, immédiatement, la portée de ce boycott. Raison de plus pour nous féliciter de
l’attitude des cinémas Utopia (même si Utopia, sous les pressions, était amené à revenir
sur sa décision).
Ne nous laissons pas intimider par les appels au « dialogue », à l’animation du
débat démocratique. Déjà, des organisations du cinéma condamnent Utopia en qualifiant
son action de « prise d’otage culturelle ».Pour nous, c’est toute la Palestine qui est prise
en otage depuis plus de soixante ans, c’est toute la classe médiatique et culturelle française
– du moins ceux qui ne veulent pas se soumettre – qui sont pris en otage en France, par le
lobby sioniste. Frédéric Mitterrand et le journal « Le Monde » en sont les représentants
dans le monde de la culture. L’un distribue les bons points et l’autre les subventions…
Il semble d’ailleurs, concernant Utopia, que les aides publiques soient directement liées à
l’accueil qui est fait au cinéma israélien en France.
Ce boycott culturel doit s’étendre. Il doit être la règle pour hâter la disparition
du sionisme. Chacun, à quelque niveau qu’il se trouve, doit tout faire pour que toute
relation culturelle soit coupée avec Israël. C’est peut-être une modeste contribution, mais
il est scandaleux de « contempler » la culture israélienne à Paris, pendant qu’on meurt à
Gaza et en haute mer.
Le Président,
M. Yahia Gouasmi