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2 octobre 2009 5 02 /10 /octobre /2009 18:48
L'ECHO fdes MONTAGNES, dans le légitime but de vous informer, vous livre le communiqué suivant de MR CHRISTIAN COTTEN, qui dit la vérité:

L'Agence européenne du Médicament (EMEA) vient de donner un avis favorable à la mise sur le marché de deux vaccins contre le virus de la grippe A(H1N1). Il s'agit du Pandemrix, du laboratoire GlaxoSmithKline, et de Focetria, de Novartis.
La décision finale d'Autorisation de mise sur le Marché est désormais du ressort de la Commission européenne. Cette procédure devrait prendre 10 à 20 jours. L'EMEA recommande l'administration de deux doses espacées de trois semaines pour toute la population.


Roselyne Bachelot, tu mens : nous n'avons pas voté Sanofi-Aventis-Pasteur.

Appel à l'insurrection des consciences et à la résistance civile.


Christian Cotten, Politique de Vie, avec la collaboration du journal Morphéus et de l'association Cri-Vie/Marc Vercoutère.

Une vidéo de Christian Cotten sur Daily Motion - 9 mn - 29 septembre 2009








Roselyne Bachelot !

Oui, toi, citoyenne Roselyne Bachelot, ci-devant ministre de la République. C'est à toi que je m'adresse en ce jour de la Saint-Michel.

Tout comme toi, moi aussi, j'ai servi pendant vingt ans l'industrie pharmaceutique. Mais nous n'y avons pas appris les mêmes choses. Toi, tu y as appris le mensonge. Moi, j'y apprenais l'art du recadrage et de la fessée pédagogique des scientifiques sans éthique.

Roselyne Bachelot, ci-devant ministre de la Santé, tu mens : tu as caché ces dernières années ton véritable parcours professionnel, comme d'autres avant toi s'inventaient de faux diplômes : pendant vingt ans, tu as été visiteuse médicale chargée de relations publiques pour l'industrie pharmaceutique et cela, tu l'as occulté pendant des années.

Roseline, tu mens : je sais comment travaillent les dirigeants de l'industrie pharmaceutique. Je sais comment ils organisent le lobbying politique, dans le temps et la patience, pour placer leurs agents au plus haut sommet de l'État. Comme le disait il y a quelques années le professeur Bernard Debré : tu exerçais avant d'être ministre la profession de « visiteuse du diable ».

Roseline Bachelot, tu mens : tu te prétends ministre chargée de la sauvegarde de la santé des citoyens, alors que tu as mis tes talents de jeune femme de bonne famille au service de l'industrie du poison sur ordonnance. Tout comme la plupart des membres du Comité Technique des Vaccinations ou du Haut Conseil de la Santé : tous déclarent leurs liens d'intérêts avec l'industrie pharmaceutique. Plus des deux tiers sont de fait les obligés de l'industrie.


Cette réalité porte un nom : la corruption des hauts fonctionnaires et des politiques. Les institutions de la République sont aujourd’hui mises au service d’intérêts particuliers par de faux experts, véritables représentants de commerce des industrie des poisons.

Aucun électeur français n’a voté pour Sanofi-Aventis-Pasteur : rien ne fonde que ces gens-là décident en lieu et place de gouvernants indépendants et intègres.

Roselyne Bachelot, écoutes bien ce que je te dis et t’offre à lire aujourd’hui : je parle et écris ici au nom des dizaines de milliers de médecins, généralistes ou spécialistes, pharmaciens, infirmiers et autres professionnels de santé qui ont parfaitement compris ta politique. Les mensonges, les fausses expertises et la corruption ont assez duré : seul le retour à l’éthique sauvera les professions médicales en perdition.

Roselyne Bachelot, tu mens : tu as fait allégeance aux chimistes-empoisonneurs et tu prétends imposer aux citoyens libres et souverains de ce pays, à force de mensonges et de manipulations, une vaccination inutile, inefficace et dangereuse.

Roselyne, tu mens : tu vends, par naïveté ou cynisme froid, un produit invendable d’une opération marketing radicalement et mondialement avortée.

Tu continues, cette fois comme ministre, ton métier de visiteuse médicale au service des systèmes les plus pathologiques de l’industrie de la santé, du côté de ceux qui veulent faire entrer pour leurs plus grands profits l’espèce humaine toute entière dans les guerres bactériologiques.

Roselyne, tu mens : tu caches ta sinistre besogne – dont tu ne mesures sans doute même pas toi-même l’ampleur – derrière un prétendu « consensus scientifique » qui justifierait la campagne militaire de vaccination forcée des citoyens libres et souverains de ce pays.

Le seul consensus scientifique qui vaille à ce jour, parmi les scientifiques indépendants et intègres, est celui-ci : les vaccins de l’industrie des poisons sur ordonnance sont inutiles, inefficaces et dangereux. Et tout particulièrement les vaccins de la grippe A.

Pourquoi donc crois-tu que plus de 60% des médecins et professionnels de santé, en cours de « réquisition volontaire » par nos pauvres préfets, refusent de pratiquer la vaccination d’autrui encore plus que la leur propre ?

Roselyne, ta campagne de vaccination de masse contre une grippe banale qui n’existe véritablement que dans tes discours de frayeurs et de mensonges, n’aura pas lieu : les citoyens libres et souverains de ce pays ne veulent ni la subir ni la mettre en œuvre, ni accepter de se faire empoisonner ni être complices d’un empoisonnement collectif.

J’appelle solennellement à l’insurrection des consciences et à la résistance civile la plus déterminée et la plus solidaire de tous les citoyens libres et souverains de ce pays, pour faire face aux violences inacceptables de dirigeants inféodés aux systèmes industriels et financiers au bord de la faillite généralisée. Les mensonges du culte médical des vaccins s’effondrent enfin, comme éclatent les bulles de la finance mafieuse.

Fonctionnaires d’État, élus locaux, militaires, policiers, enseignants, travailleurs sociaux, souvenez-vous : vous êtes au service de tous les citoyens et votre devoir est de protéger les populations. Pas de leur nuire avec des produits dangereux dans le cadre d’expériences d’apprentis-sorciers et de charlatans de la chimie.

Fonctionnaires, vos concitoyens attendent de vous que vous assumiez les devoirs de votre charge de représentants de la République : vous devez refuser de participer à la mascarade que les récentes circulaires officielles tentent de vous faire exécuter. Souvenez-vous, il y exactement 70 ans : tous ont du choisir, entre la soumission et la résistance. Fonctionnaires : écoutez votre conscience : insurgez-vous, pacifiquement, avec la plus grande détermination, et désobéissez.

Parents, enseignants, protégez nos enfants, protégez vos vieillards : opposez-vous paisiblement mais fermement, par courrier et par votre présence vigilante, à l’entrée de toute seringue vaccinale dans nos crèches, dans nos écoles et dans nos maisons de retraite : les enfants pas plus que les vieillards n’ont besoin du vaccin au virus de porc.

Médecins, pharmaciens, professionnels de santé : rencontrez-vous et faites résistance, pour oser, chacun, ignorer l’appel aux volontaires vaccinateurs et refuser tous ensemble la réquisition qui s’annonce pour les prochains jours.

Roselyne, tu as oublié un chose : un jour ou l’autre, le Roi apparaît pour ce qu’il est : un être vivant nu comme un ver. Roselyne, tu te mens à toi-même : le Roi est toujours nu. Tu es aujourd’hui la reine des visiteuses médicales de ce pays. La Reine aussi est nue, lorsque les oripeaux de ses mensonges s’écroulent.

Déjà, les évêques de France s’émeuvent, eux qui savent, depuis longtemps. Les musulmans et les juifs ne peuvent que refuser d’injecter dans leurs veines des virus de porc, aussi impurs que celui-ci.

Roselyne Bachelot, ci-devant ministre de la Santé, tu mens. Un jour ou l’autre, la Cour de Justice de la République te jugera devant l’opinion et te brûlera symboliquement sur la place publique, pour escroquerie et manquement à l’obligation de précaution.

Roselyne Bachelot, ci-devant ministre de la Santé, tu mens. Tu mérites d’ores et déjà une fessée.

Jusqu’à ce matin, tu étais pharmacienne. Docteur en pharmacie. À partir de ce jour de la Saint-Michel, tu n’es plus pharmacienne car tu as trahi le serment d’Hippocrate. Que ce soit par ignorance ou volonté, peu importe l’intention : tu as commis l’inacceptable. La sanction ne peut être qu’impitoyable.

Roselyne Bachelot, écoute bien ce que je te dis et t’offre à lire aujourd’hui : je parle et écris ici au nom des dizaines de milliers de médecins, généralistes ou spécialistes, pharmaciens, infirmiers et autres professionnels de santé qui ont parfaitement compris ta politique : nul ne reconnaîtra plus jamais ton appartenance à ces magnifiques professions qui font vocation d’apaiser les souffrances et les maladies.

* * *

Ce message, offert par courtoise en premier lieu à Roselyne Bachelot, s’adresse tout autant à quelques-uns de ses complices : le magistrat Georges Fenech, président de la Miviludes, inventeur des peines de prison pour les parents qui refusent les vaccins-poisons, ou encore le docteur Michel Legmann, président du Conseil national de l’Ordre des Médecins, qui tente ces jours-ci sans succès de convaincre ses confrères de se vacciner les uns les autres.

Christian Cotten, psychosociologue, président de Politique de Vie

Lire :

http://pharmacritique.20minutes-blogs.fr/archive/2009/09/24/roselyne-bachelot-a-passe-20-ans-au-service-de-l-industrie-p.html avec le pdf des déclarations d'intérêts des membres du HCS.

http://www.trombinoscope.com/biographie-roselyne-bachelot-narquin-48717.html

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1 octobre 2009 4 01 /10 /octobre /2009 23:33



L'ECHO des MONTAGNES, dans le légitime but de vous informer, vous parle de la T.V.A., dûe par l'administration française expatriée en SAVOIE à votre rédacteur en chef, préféré, MR Frédéric BERGER.
Cette T.V.A. d'un montant de 8150euros est due depuis 2002.
Mais voila votre rédacteur en chef est victime de ségrégation et de discrimination de la part de l'administration fiscale française , agissant en occupant dans le pays millénaire de la SAVOIE!
Donc votre rédacteur en chef est parti à la recherche de ses 8150euros et les a retrouvé, à l'ELYSEE. Car cette somme sert à entretenir la COUR ROYALE du PALAIS DE L'ELYSEE. En effet les FREDERIC BERGER sont nombreux à qui on ne rembourse pas ce qui est un droit pour les autres! Pourquoi?
Pour entretenir les PRINCES qui nous oppressent.
Voici où se cache les 8150 euros de MR FREDERIC BERGER, preuve par l'image, clic dessus pour l'agrandir, merci:


L'ECHO des MONTAGNES parle couramment l'allemand, donc voici la traduction:
Traduction :
8 avions, 61 voitures de fonction, 1000 employés.
Toute la France est touchée par les mesures de récession. Toute la France ? Une personne ne joue pas le jeu : le Président Nicolas Sarkozy (54 ans)
Le budget de la Présidence a toujours été tenu secret en France. Pour la première fois il est révélé sous Nicolas Sarkozy.
- Dans les 300 mètres carrés de l'appartement de fonction des Sarkozy les fleurs doivent être fraîches en permanence : coût 280.000 euros par an
- Lorsque Nicolas Sarkozy voyage à titre privé, un avion gouvernemental vide l'accompagne en permanence, pour lui permettre de rentrer à Paris en cas d'urgence.
- Il dispose de 61 voitures de fonction, 2 Airbus et 6 avions Falcon-Jet. Le dernier avion en date (60 millions d'euros) a été baptisé "Carla" du prénom de madame Sarkozy numéro 3 (c'est mimi... NdT)
- Dépenses annuelles pour les boissons (Champagne etc.) : 1 million d'euros
- Il a presque 1.000 employés à son service, deux fois plus que la Reine d'Angleterre. Parmi eux 44 chauffeurs et 87 cuisiniers.
- Les cuisiniers-chefs peuvent se servir librement dans les caves à vin du Palais de l'Elysée, le repas de midi leur est servi par des laquais.
- Carla et Nico peuvent commander de la nourriture ou des boissons 24 heures sur 24. La cuisine est en service en permanence.
Indignation ? Protestations ? Pas du tout. En France il semble être une affaire d'honneur que le Chef de l'Etat incarne la "Gloire de la nation" . Il est le successeur du Roi Soleil. Et c'est exactement comme tel qu'il vit.
Légende des photos :
- Gauche : Le Roi Soleil et sa Madame Pompadour : Nicolas Sarkozy et Carla Bruni
- Droite : Un des 30 "réfectoires" du Palais de l'Elysée

Mais rassurez- vous, le ROI SOLEIL n'est pas le seul à vivre de la T.V.A de Frédéric BERGER, car celle-ci a permis à HERVE GAYMARD de loger gratis avec bouffe gratis, lui et sa smala, dans un un pièce de 600m² ou 10gaymards!
Dire que le Général de GAULLE payait son électricité à l'ELYSEE!
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30 septembre 2009 3 30 /09 /septembre /2009 21:21


L'ECHO des MONTAGNES, dans le légitime but de vous informer, vous publie la plainte auprès du T.P.I. de la HAYE, PAYS-BAS, pour "crimes contre l'humanité de la part des dirigeants de la FRANCE et de ses juges et de leurs complices chefs d'ETAT et de Gouvernement des différents pays du monde.
Recopier cette plainte, faites la circuler, et porter vous même plainte contre ces barbares, car la SANTE a un goût de sang pour les étudiants de la SORBONNE NOUVELLE, contaminé par l'AMIANTE!

PLAINTE auprès du TRIBUNAL PÉNAL INTERNATIONAL
de LA HAYE pour crimes contre l'Humanité commis à la SORBONE NOUVELLE PARIS3, 17,rue de la SORBONNE, 75 231 PARIS cedex05.

adresse postale:
Po Box 19519
2500CM
The HAGUE
The Nederlands
L'ECHO des MONTAGNES vous fournira sur simple demande par courriel, le modèle de cette plainte qu'il suffira de "copier-coller" en y mettant vos noms et qualités.
@ de votre journal préféré: echosdesmontagnes@gmail.com

LA PLAINTE:

REQUÊTE à Monsieur LUIS MORENO-OCAMPO,
Procureur auprès de la COUR PENANE INTERNATIONALE de la HAYE
PAYS-BAS.

et à

REQUÊTE à MR le Président de la République Française, Mr NICOLAS SARKOSY,
Palais de l'Elysée
55,rue du Faubourg Saint -Honoré
75008 PARIS
(Lettre en recommandé avec accusé de réception)

L'Association dite de l'Observatoire pour la Sauvegarde du 7ème Bataillon de Chasseurs Alpins, immatriculée N° 4630 à la sous-préfecture d'Albertville, 73200n SAVOIE,
 a l’honneur de vous demander, par application de l’article 8 du Traité de Rome du 17 juillet 1998 instaurant la Cour Pénale Internationale de la Haye, de bien vouloir saisir d’un plainte:




- d’une part le Conseil de Sécurité (articles 12 et 13 b) à l’encontre de:

LES MAGISTRATS ET LA FRANCE


Compléments de la plainte à l'encontre de l'État français,

son ministère public, ses pouvoirs exécutifs et pouvoirs publics.

Monsieur le Procureur de la COUR PENAL INTERNATIONAL

Suivant la plainte que j'ai portée auprès de vous le 13 mai 2008, je tiens à soumettre à votre attention ma lettre du 14 juillet 2008 adressée au Président de la République Française, jointe.

Il s'agit de 76 magistrats - soixante-seize - qui, sur cette affaire d'empoisonnements à l'amiante dans une Université, n'ont simplement pas fait leur travail.

Cela devient coutume.

Pourquoi nos magistrats ne sont-ils pas rendus responsables de leurs actes comme ils le sont dans d'autres pays européens ? Le pouvoir des juges repose ICI sur une véritable imposture concernant le plan constitutionnel. Ces officiels, en effet, se permettent d'exercer un pouvoir sans en avoir été investi par une quelconque élection alors que c'est la règle en démocratie, observée par les deux autres pouvoirs, le législatif et l'exécutif.

Après le scandale des 100 juges d'Outreau, inexistants autant qu'incompétents, le pouvoir de juger son prochain ne saurait plus être sanctifié via simple concours technocratique, d'autant que le dit pouvoir se trouve exercé hors de tout contrôle populaire, ce qui est contraire à tous les principes républicains. Pourquoi leur accorder l'impunité ?

Qu'est-ce qui peut justifier l'inviolabilité de ces derniers alors que, censés être les plus sages, ils se voient munis d'une telle autorité de nuisance, exercée avec les dégâts qui en résultent ?

- Je ne m'étendrai pas sur la corruption financière qui règne ICI. Madame Eva JOLY a su nous préciser les déviations, la disparition de sommes colossales, le mépris de tout droit.

Pour exemple, les "Francs de Polynésie Française" ni Français ni Européens, parfaitement valables en leurs lieux, n'existent pas en fait, non reconnus internationalement.

Ces malversations font le bonheur de banques bien Françaises - elles - et du Trésor Public qui y trouvent leurs comptes sur des fonds doubles à doubles-fonds dans un offshore paradisiaque.

- Plus grave : 40.000 enfants disparaissent chaque année, victimes de prédateurs. 45.000 en 2006. Si tous ne sont pas torturés, violés et tués, comme le décrit le Juge Pierre ROCHE, Président des Chambres de Montpellier à la mort fort suspecte, certains sont simplement vendus. Une industrie "de chez nous", Monsieur le Procureur, avec sa marchandise. Nos Gilles de Rais fonctionnarisés profitent de l'aubaine en groupes organisés, sous une protection évidente. Rien ne bouge.

Sans police ni justice, nous n'avons plus d'autre ressource que de nous adresser à vous. Les requêtes à la CEDH sont refusées par centaines de milliers, ce qui révèle à la fois le degré de corruption et l'incapacité de faire face. Plutôt que d'énoncer la réalité, cette Cour Européenne la cache, d'autant qu'elle est financée par les États criminels qu'elle est censée juger.

Nous avons un besoin absolu d'autorité extérieure.

- Pour le drame sans précédent de l'amiante, j'ai su ouvrir une voie directe qui dénonce ce crime contre l'humanité en France avec pour exemple une Université parisienne la Sorbonne Nouvelle, et prévenir ainsi une jeunesse étudiante désinformée.

Les pays qui envoient leurs étudiants dans nos cages à poisons devront utiliser le chemin inverse : commencer par la protection de populations internationales innocentes à la merci de l'incurie de nos pouvoirs publics, pour remonter vers la cause de ces maux multiples, l'État Français aux fonctions prouvées : mensonges, manipulations et meurtres, sous la traditionnelle façade.

Car cet État tue. Son peuple devra le réaliser au vu des vagues d'empoisonnements collectifs qui s'annoncent. Le monde international devra nécessairement remettre les choses dans l'ordre qu'il n'aurait jamais dû quitter.

- Pour ce qui est de mon action personnelle, veuillez trouver jointe, ma 7e plainte à un Procureur de la République, Madame OBADIA, qui s'occupe des DTA (Dossiers Techniques Amiante) et des multiples façons dont il est éludé en France par les uns et les autres : 70% des entreprises sont irrégulières, amnistiées d'office !

C'est pis encore pour le plomb (le saturnisme), sans contrôle aucun.

Jamais notre pays n'a été, à ce point, à la merci des forces de l'argent, de la tyrannie, d'une corruption totalitaire et de l'absence de moralité. L'ensemble de ces crimes contre l'humanité se pratique de nos jours en France, sous les symboles inexistants de "liberté, égalité, fraternité".

D'où mon cri vers vous, Monsieur le Procureur.

Je ferai mon possible pour parvenir à une formulation recevable pour le TPI. Que votre autorité établisse, s'il vous plaît, pour notre pays dit de pointe, les monstruosités semblables à celles constatées en Afrique et en Serbie, où des primates sophistiqués font passer leurs vices avant toute démocratie, en une absence de compassion caractérisée, totalement illégale.

Avec mes respects citoyens,"

Pièces jointes:

--Pièce sous-côte 1:


LES LANCEURS D’ALERTE

LES FRÈRES BLANDIN

Échange avec François Félix BLANDIN

Trois sauveurs de vies furent cassés en France, sans ambages. De véritables experts sur le terrain, pas sur le papier. Des hommes concernés. Ils avaient su découvrir des matériaux de substitution pour remplacer l’amiante, moins chers que l’amiante. Entrepreneurs, ils avaient recouvert plus de 800 bâtiments scolaires, les premières tours de la Défense, les aéroports d’Orly, les stations RER : une bénédiction pour tous.

Ni Jussieu, ni Censier la Sorbonne Nouvelle, ni la Maison des Sciences et de l’Homme, n’avaient lieu d’être amiantés dans les années 60. Ces trois frères durent protéger des centaines de milliers de vies plus de 30 ans. La France sait produire des personnes extraordinaires. Elle sait aussi s’en débarrasser. L’on y trouve des génies face à une médiocrité pure. « Des lotus sur les fosses d’aisance » disent les indiens.

F.F.B. : À défaut du pouvoir politique, le seul moyen de faire avancer les choses venait dès lors, de la partie commerciale ou d’une décision du domaine privé. L’on se rapproche naturellement de la citoyenneté par la production d’une entreprise salubre.

Le pouvoir et l’argent faisaient passer le copinage avant toute nécessité de protection, l’hygiène et la sécurité. Or, ces sauveurs, ces lanceurs d’alerte, font partie de ta famille. Ils surent garder le cap de l’intégrité et du sens. Michel, ton père. Puis ton oncle Henri. Et mon ami Philippe.

F.F.B. : Finalement, force est de constater que ce n’est pas une décision de la législature qui sut s’imposer à la puissance financière, mais l’intention citoyenne et l’intervention technique. On n’a pas eu à imposer une réglementation pour supplanter l’amiante. Le flocage d’amiante fut remplacé à plus de 50%. Les empoisonneurs furent supplantés, c’est un fait. Il y a 50 ans, on avait déjà gagné.

Nouvelle preuve pour lors, de l’homicide de l’État avec sa volonté de poursuivre en dépit de l’apport des frères BLANDIN et des solutions à l’œuvre. Voilà ce que tes parents nous permettent de constater par leurs travaux et découverte salubre. Leur contribution révèle la responsabilité criminelle étatique. Outre les coutumes de mafias à fric qui nous saccagent, du statu quo avec ses tenailles, et des carnassiers du lucre.

F.F.B. : Une simple machine permettant de réaliser des flocages sans amiante, et dont le brevet fut déposé en 1951, suffit.

Et l’extraordinaire clarté d’esprit de tes parents. Philippe affirmait : « Pas de compromis avec l’amiante ». Il fut mon mentor. Je lui rendais visite deux à trois fois par semaine durant deux ans avant sa mort. J’ai dû le rencontrer une centaine de fois. Je lui ai fait connaître Catherine KORBA en 1999, le médecin de prévention - une espèce rare - que nous avons eu la chance d’obtenir 6 mois à Censier la Sorbonne. Le président de la Faculté, Jean-Louis LEUTRAT (« déridéra » ajoutaient les étudiants), l’a renvoyée : elle prévenait vraiment ! Elle disait la vérité, vraiment. La vérité à Censier. Il faut oser. Une personnalité attachante plus que nos habituels spécialistes sûrs de leurs savoirs, et bien peu de la réalité.

Michel PARIGOT et Michel LEDOUX de l’Andeva oublièrent vite ce médecin exceptionnel, plutôt que de la défendre. Elle venait, pourtant, de se faire renvoyer de Jussieu pour avoir découvert les mauvais chiffres de certains labos (400 f/l), et posé des questions clef au Professeur RAIX, le responsable en charge. C’était il y a 10 ans. Les experts « sur le papier » nous trahissent facilement. Ce sont des pions. Les pions du pouvoir.

Pas Philippe. Sa devise : « Sécurité d’abord » lui interdisait les jeux du monde.

F.F.B. : L’absence d’amiante fut également pour BLANDIN et Cie un argument commercial considérable.

Ton oncle Philippe avait vécu des « instants ». Les japonais appellent ces moments de transformation des « satori ». À 20 ans, alors qu’il s’enfonçait dans la neige au Parc de Versailles, il se retourne. Les seuls pas imprimés dans l’immense paysage laiteux se dirigeaient vers lui sur des km alentour. Il comprit, tout à coup, la solitude de l’être intégré vers qui tout converge. Cette expérience bouleversa sa vie. Il perçut son immensité un instant. Cela suffit.

Il possédait une intelligence supérieure, un humour corrosif sans esbroufe, se faisant photographier goguenard, devant un tombeau du Père Lachaise. Surréaliste et drôle.

F.F.B. : D’emblée avec Henri et mon père, il a cherché à remplacer l’amiante.

Qu’est-ce qui t’a poussé à devenir toi-même Conseiller en Prévention pour ta société l’APRB ?

F.F.B. : Avoir été formé par de très grands experts dès l’enfance, où je me retrouvais avec mon père, sur les chantiers.

Quel était le but principal de la Cie BLANDIN et Cie ?

F.F.B. : Utiliser une machine capable de projeter des fibres de roches et des fibres minérales artificielles en remplacement de l’amiante. La Cie assura aussi la confection et la pose de faux plafonds, activité qu’elle arrêta à la fin des années 60.

Philippe me parlait souvent de la mort. La mort imposée qui satisfait les crabes, celle qui rapporte. Les trois frères luttaient en fait, contre la mort, la mort d’homme donnée par l’homme. Combat sans merci. Ils en avaient profondément conscience avec un sens du but à atteindre. Ils refusaient même d’accepter les travailleurs (ils en avaient 600) ayant touché à l’amiante. Ils désiraient une atmosphère non-contaminée, moralement ni physiquement.

F.F.B. : Exact.

Tout jeune, ton oncle Philippe, roulant sur la route, tombe sur une affiche énorme : « Sécurité d’abord ». Comme touché par la foudre, il saisit l’impact du sens profond de ces mots dans ses viscères. Il se trouvait dans l’état de disponibilité entière qui permet d’apprendre.

F.F.B. : Il m’a beaucoup appris.

La SELOTI, qu’est-ce que c’est ?

F.F.B. : Une des trois entreprises de projection d’amiante française qui subsistaient après la guerre.

Et JEP industries ?

F.F.B. : JEP industries, un pilier de l’Éducation nationale, n’avait jamais employé l’amiante. Or, il existait une énorme compétition dans le monde du bâtiment. L’amiante restait friable en pulvérisation, sensible aux chocs et aux vibrations. Avec une importance donnée aux flocages et calorifugeage en priorité. La découverte BLANDIN palliait dès lors aux manques, d’où une coopération fructueuse.

Que disaient ton père et tes oncles alors qu’on leur a interdit toute contribution civique et humaine ? Alors qu’on s’était débarrassé du cadeau extraordinaire qu’ils représentaient, pour choisir une contamination à l’amiante grande échelle, saccageant des centaines de milliers de concitoyens ?

F.F.B. : Ils estimaient avoir fait œuvre utile. Car si une mesure d’interdiction des flocages à base d’amiante put être prise en 1977, c’est parce qu’ils avaient mis au point un procédé 25 ans plus tôt… qui fut un apport pour tous. Les demandes de M. BIGNON, avant qu’il ne rejoigne le C.P.A, n’auraient jamais pu aboutir sans la preuve que les matériaux de substitution existaient.

Je me souviens avertir Philippe : « Censier a été bâti sans permis de construire, et floqué sur des km de poutres de fer. Cela épingle les responsables ». Il répondait aussitôt : « La vitesse avec laquelle ils se désépinglent ». Il connaissait sur le bout du doigt ces officiels qui font durer l’horreur, ces chevilles persistantes du meurtre organisé.

Avec lui, nous étions loin la « mentalité fonctionnaire » redondante, que ce soit celle des hautes instances du CPA (Comité Permanent Amiante), ou de moindres échelons comme l’ANDEVA et Cie. Même enseigne, en fait. Trucs, jeux de pouvoir, ronds-de-jambes, compromis, omertà. L’ANDEVA et son avocat LEDOUX se sont aussi tus sur l’A.P.D.A de Dunkerque (3000 dockers touchés) parce que cette association ne faisait pas partie de leur clique (!?). Nous nous trouvions forcément dans une dimension où mensonges, médiocrité et redites, n’avaient plus cours. Loin des pratiques du Ministère de l’Éducation nationale telles qu’on les découvre dans L’Observatoire national de l’enseignement supérieur, ou certains rapports du C.C.H.S. (Comité Central Hygiène et Sécurité du Ministère chargé de l’enseignement supérieur et de la recherche).

On triche beaucoup dans ce ministère. Valérie PRÉCRESSE, l’actuelle ministre, écrira au Député-Maire JOISSAINS MASSINI : « Chère Maryse ». À la rigueur lui fera la bise, mais ne répondra jamais à ses questions sur l’amiante. En effet, Maryse JOISSAINS MASSINI a porté plainte contre 13 ministres, certains très connus (D.S.K, MONORY, FABIUS, etc.). La mort par amiante, ça ne pardonne pas. C’est irréversible, et ne sable aucun champagne. Pas de compromis avec la mort.

L’embrigadement ne cadre pas avec les exigences de Santé publique.

F.F.B. : L’activité de la société BLANDIN, entreprise du BTP spécialisée dans l’isolation par projection, sut contribuer naturellement sans passer par aucun rouage ni subterfuge. C’était simple et net.

Tant qu’il n’y aura pas le respect de l’autre, du travail accompli, de la vie humaine, de la précaution et la santé, nos officiels passeront à côté, morts à eux-mêmes et aux autres. L’Éducation nationale n’a pour but que de conditionner davantage, produire de nouveaux pions. Jamais assez. Les faire voter surtout.

Dès 1951 quand elle a vu le jour, la découverte salubre des trois frères éclaira l’horizon des risques pour tous. Tes parents connaissaient-ils les dangers de ces fibres cancérigènes irréversibles ?

F.F.B. : Les autorités en charge de l’école Centrale parlaient ouvertement des dangers. Le tableau 30 des maladies professionnelles dues à l’amiante avaient été créé un an plus tôt, en août 1950. Maladies inscrites déjà dès 1945 dans le tableau 25 qui regroupait les maladies dues à l’amiante et à la silice. Sur nos annonces et devis, il était précisé « sans amiante, sans silicate, sans silice libre ».

Michel, ton père, rencontrait-il des malades de l’amiante ?

F.F.B. : Il avait beaucoup d’amis parmi le personnel des entreprises concurrentes, qui utilisaient toutes l’amiante. Il les a vu disparaître les uns après les autres dès les années 50. Ces anciens du métier avaient repris leur activité après la guerre.

À quelle période fut inventé le procédé d’isolation par projection d’un flocage d’amiante ?

F.F.B. : Dans les années 20 sont apparus les premiers procédés de flocage, tous à base d’amiante. Le procédé anglais, le LIMPET, utilisé dans le monde entier, principalement dans les chantiers navals, pour la réparation des flocages dégradés, protégeait la coque et les séparations de compartiments. Les compagnies n’assuraient les navires qu’à condition qu’il y ait des protections anti-feu à base d’amiante.

Et votre historique ?

F.F.B. : Mon oncle Henri suivait ses études d’ingénieur à Centrale. Avec un stage de fin d’Étude dans une entreprise de projection d’amiante. Il se trouvait rattaché à la direction de l’entreprise, parfaitement au courant des risques. Raison pour laquelle Henri a voulu créer une entreprise d’isolation protégée, élaborée avec ses deux frères. Il n’y avait, malheureusement, aucune machine capable de projeter des fibres de roche. Il a fallu la concevoir et déposer un brevet. Les informations sur les dangers restaient secrètes. Seuls les industriels du BTP étaient au courant de dégâts énormes et de morts d’hommes.

Ces industriels semblent, hélas, tellement pris dans les rouages imposés par cette société. Vois le manque de passion que je rencontre chez nos experts et personnes concernées : j’avais supplié plusieurs fois Henri PEZERAT (le scientifique de l’Andeva), Yves HUBERT (le toxicologue), et Marcel SUSZWALAK (le docker de Dunkerque), de venir rencontrer Philippe dans son jardin aux bambous, rue Sambre et Meuse. Une chance. Et un lieu ! Une occasion de rencontre humaine. Lui, les attendait. De plus, Marcel et lui s’écrivaient. Mais aucun des trois ne s’est déplacé sur deux ans (!?). J’en suis resté abasourdi, réalisant l’état de démission et manque d’intérêt qui existe dans ce pays. Un « chacun pour soi », pris, grippé, en premier chef. Le « moi d’abord, et le reste on s’en fout ». L’autre n’est plus rien dans cette mentalité égoïste générale... auto-satisfaite, renfermée.

Mais l’autre, c’est soi. Surtout avec l’amiante. Les spécialistes qui devraient être concernés ne l’ont toujours pas compris et sans doute jamais. Ils ont tué l’enthousiasme, la découverte, l’exploration. La simplicité. La réalisation. La compassion. Quelque part, il leur manque une case essentielle, la case départ.

Toute une mentalité encastrée reste à éradiquer. C’est sans espoir. Sauf si le système financier s’écroule entièrement. Ce sera notre chance à souhaiter, la fin de cette corruption criminelle collective, apathique et inutile. Car sans argent, ces personnages soit disant importants et ceux qui les suivent n’existent plus. Leur poudre aux yeux s’évanouit. Leur façade ne fait que cacher une monstrueuse réalité, la mort par amiante en France.

Michel Langinieux, le 29 janvier 2009


Pièce sous-côte2:


Plainte à l'encontre de l'État français, son ministère public,

ses pouvoirs exécutifs et pouvoirs publics.


Monsieur le Procureur du Tribunal pénal international


Les questions de prévention en France relèvent essentiellement du Livre II, Titre III du Code du travail.
Ce livre II trouve son origine dans la Loi du 13 juin 1893 sur la protection, l'hygiène et la sécurité, contre les poussières industrielles. Le Rapport parlementaire sur l'amiante initie l'affaire à cette même date : un "drame de la santé au travail sans précédent".
Les recherches de Madame PRADA-BORDENAVE, Maître des requêtes au Conseil d'État, et de Monsieur Pierre SARGOS, Président de la Chambre Sociale de la Cour de cassation, confirment cette position, ainsi que l'obligation de sécurité de résultat instituée par le Décret du 11 mars 1894.
Il est maintenant prouvé depuis 115 ans, plus spécifiquement depuis 1906, que l'on attrapait des maladies mortelles dans les usines dès 1890 à 1895 pour l'amiante ; et que l'État n'a rien fait : double carence du devoir de réglementation et du devoir de contrôle de l'application (Pièce 10).
Or, la législation française a créé à l'encontre de l'État une véritable obligation de police qui s'attache à la sécurité des personnes. Se manifeste, dès lors, une catastrophe sanitaire sans précédent, l'inspection du travail n'ayant finalisé aucune enquête des décennies durant, et l'État enfin reconnu responsable de "carences fautives" par le Conseil d'État, le 3 mars 2004.
Pis : face à l'inefficacité des incriminations pénales et l'échec du système de prévention des risques professionnels, aucun employeur déféré devant les juridictions compétentes n'a été de ce jour, mis en prison. Aucun empoisonneur n'a été arrêté.
Cet état de fait a donné latitude aux employeurs responsables de persister en toute impunité, à empoisonner autrui de fibres irréversibles, et rouler sans scrupules des concitoyens dans leur farine amiantée.
Plus grave, aucun Procureur de la République ne fut à l'origine de poursuites. Aucune modification de la politique pénale désastreuse menée dans ce domaine n'a été envisagée. L'on tue depuis un siècle des populations entières en France, en toute connaissance de cause, alors qu'aucun officiel n'agit dans un pays anesthésié, paralysé d'indifférence et de peurs.
Des centaines de milliers de victimes passées et à venir cumulent, face à un immobilisme établi d'inexistence civique, juridique, politique.
À la merci de pouvoirs exécutifs littéralement absents - il semble n'y avoir personne en charge depuis la loi de 1893 - alors même qu'une foison inextricable de mots imbriqués dans des mots remplace les faits, que le faire semblant remplace le faire, notre pays se trucide sous des siècles de conditionnements traditionnels, dans l'incapacité d'appréhender une réalité et de la résoudre.
La vie humaine se voit, à ce point, traitée en sous-produit, une quantité négligeable. L'indispensable nécessité de recherche, de prévention, de médecine du travail, a été supprimée.
Une même réponse administrative - un seul "parle toujours" - témoigne que personne ne prend responsabilité (l'Abbé PIERRE pendant 50 ans lança son S.O.S. pour récolter inexorablement le même refus, ce même non-recevoir qui élude sens, discernement, capacité d'agir et de participer). Tel "NON" à la base reste un "NON" d'office.
Cette inexistence imposée tue. La France dévoile finalement l'envers de son décor, un système loin de l'image qu'elle apprécie projeter.

L'argent y passe avant les gens. Avant les enfants. La valeur la plus sacrée, la vague montante, devient victime d'empoisonnements collectifs.
D'ici dix ans, la moitié de la population enfantine sera affectée à un niveau ou un autre, par un poison ou un autre, irradiations incluses. Les chiffres actuels s'annoncent catastrophiques.
Le pays, incapable de redresser la barre, s'enfonce dans une criminalité économique :
Atteinte systématique aux droits de l'Homme, aux droits fondamentaux des citoyens : Abus de confiance. Associations de malfaiteurs. Meurtres autorisés. Abus d'autorité. Corruption. Faux et usage de faux. Atteinte à la liberté d'expression. Atteinte à l'action de la justice. Empoisonnements systématiques de la population civile. Inertie de l'ordre social.
. Ces chefs d'accusation dénoncent des :
CRIMES CONTRE L'HUMANITÉ. LA NON-DÉNONCIATION DE CES CRIMES.
Non-assistance à personne en danger. Mise en danger délibérée de la vie d'autrui. Administration de substances nuisibles. Empoisonnement par exposition forcée de poussières d'amiante et de plomb contre les personnes (ou tout autre chef pouvant apparaître au cours de l'instruction).
. Ces chefs d'accusation renforcent :
LE CRIME SOCIÉTAL DE L'ÉTAT.
DES CRIMES CONTRE L'ORGANISME HUMAIN PERPÉTRÉS PLUS D'UN SIÈCLE.
Les rapports parlementaires et du Sénat sur l'amiante - étayés, fouillés - débouchent sur une réalisation noir sur blanc, irréversible : les États Généraux de l'état d'immobilisme en France soulignant un acte fautif de 150 années environ, dû à l'indifférence, l'apathie, la morgue.
Quelques phrases clef du Rapport du Sénat définissent cette situation extrême d'omertà, et impliquent l'incurie de la médecine du travail et de la magistrature plus précisément ces 40 dernières années (Pièce 12).
Les pouvoirs publics Français se sont trouvés pendant plus d'un siècle, dans l'incapacité de comprendre, réparer, tirer des leçons pour l'avenir.
- Dès lors, la catastrophe sanitaire (page 9 de ces rapports).
- L'épidémie à venir inéluctable et irréversible (page 10) :
. L'INSERM prédit de 10.000 à 20.000 décès par an en France entre 2010 et 2020 (soit 100.000 au mieux et 200.000 au pis, sur 10 ans). Ce mal se perpétuera jusqu'en 2050 à 2060 environ.
. La Fédération Française des Sociétés d'Assurances (FFSA) arrive aux mêmes conclusions : 100.000 à 200.000 décès dans les 20 prochaines années (Le Monde, 26 juin 2002).
- L'inertie de nos décideurs (page 12).
- Les risques de l'amiante, depuis quarante ans au moins, étaient connus, documentés, accessibles aux scientifiques, aux médecins, aux inspecteurs du travail, aux gestionnaires des régimes sociaux, aux fonctionnaires des administrations centrales concernées, pour peu que ceux-ci se donnassent la peine de chercher l'information et de la faire remonter aux décideurs, c'est-à-dire aux pouvoirs publics (page 14) :
- Le dossier pénal pourrait être le plus important du siècle (page 15).
Crime sociétal (Mission parlementaire, page 15).
L'acte fautif (Mission parlementaire, page 357).
- Une véritable culture du mensonge (page 35).
- L'indifférence de l'ensemble des acteurs, employeurs et pouvoirs publics notamment qui, dans cette affaire, est inexplicable. Une indifférence singulière face à une menace connue de longue date (page 35).
- L'administration incapable de passer de la connaissance à la prise de décision (page 35) :
- La passivité des "donneurs d'alerte" institutionnels (page 61) :
- Le silence de la médecine du travail et de l'inspection du travail (page 64) :
- L'État "anesthésié" (page 71).
- L'État a failli à sa mission de sécurité au travail (page 76).
- Le décret de 1977 (protection des travailleurs contre l'amiante) a été mal appliqué (page 88).
- La responsabilité des employeurs (page 93).
- La responsabilité de l'État confirmée plusieurs fois pour défaut de réglementation spécifique, tardive, insuffisante (page 99).
- La responsabilité pénale (page 102).
- Les procédures pénales bloquées devant les tribunaux (couverture arrière de l'ouvrage sur les rapports).
- Le ministère de la Justice responsable de l'action publique et des politiques d'action publique (page 104).
La violation de la loi (Mission parlementaire, page 365 et 398).
- Le risque d'amiante encore présent (page 194).
- Les populations principalement exposées dans les bâtiments scolaires et universitaires (pages 199 à 201).
Ces rapports du Sénat (2005) et de l'Assemblée nationale (2006) - bien qu'éludant ouvertement les témoignages de victimes (les élites seules ont droit à la parole !) - tiennent lieu d'acte d'accusation. Ces rapports incriminent la responsabilité de l'État. Un acte juridique international devant la démission de la France devient nécessité absolue. L'Europe doit pallier aux carences fautives cernant ce drame hors norme : ainsi fournir une expertise publique internationale pour peser sur l'intolérable. En effet, aucune structure institutionnelle ne pourra être indépendante ICI, sous une mainmise qui s'apparente à une main basse. Une véritable junte hypocrite, manipulatrice et sophistiquée, viole systématiquement la loi, la justice, la démocratie. "L'élite française ne fait plus évoluer le monde" dirait Madame Eva JOLY.
*
Pour illustrer ce tableau de fond, un exemple notoire : l'université la Sorbonne Nouvelle, à Paris, démontre les façons dont les poisons, les affaires et la justice s'administrent en France. La loi de l'inertie reste la plus forte.
Voici présentée sur une recherche personnelle de 12 années (juillet 1996), cette catastrophe bien cachée.
. Avril 1964 : Le Centre Censier fut construit (sans permis), floquant d'amiante 6 km et demi de poutres de fer, tout en ignorant les règles d'urbanisme (Pièce 1). Sacré coup d'envoi de l'Éducation Nationale sur des mensonges et l'illégalité.
. 1979 à 1983 : Les bâtiments amiantés sont encoffrés (assurés 10 ans), en oubliant armoires techniques et puits d'ascenseurs qui continuèrent à polluer de 30 à 35 ans.
. 1993-1994 : Travaux de "surélévation de la bibliothèque" accomplis sans précautions (un bâtiment de trois étages implanté dans deux bâtiments reconnus amiantés, sur des poutres floquées). Avec l'effet de libérer des pics de fibres cancérigènes par milliards de milliards sur la Fac et le quartier.
"Ces travaux ont fait l'objet d'un avis favorable de la Commission de sécurité. Signé la Direction de protection du public, le 3 février 1993", soit six mois avant le début des travaux dangereux.
Travaux accomplis sous l'œil de la Préfecture de police, la Commission de Sécurité, la SOCOTEC et les officiels de Censier. Preuve accablante de ces catastrophes sanitaires autorisées en France en connaissance de cause, impliquant les pouvoirs publics et la Sorbonne Nouvelle, dont l'intendant Bernard DHOOGE agent ACMO, en charge de l'hygiène et de la sécurité, et les architectes responsables. (Pièce 2).
. Avril 1995 : Mort de la technicienne Jacqueline SUZZONI d'un cancer de la plèvre, 31 années après la construction de Censier (suivie d'une dizaine de décès de broncho-pneumonie et de 17 malades). Sans aucune enquête indépendante, même prévue.
. Juillet-août 1995 : Déflocage sauvage des cages d'ascenseurs par une entreprise non certifée, sans sas, sans combinaisons, sans douches, sans précautions, gardant les personnels sur place, les travailleurs en shorts, à la suite des mauvais chiffres relevés dans le couloir du 5e et la salle de classe 510 par le laboratoire L.H.C.F, le 2 juin 1995.
. Décembre 1996 : L'administration de la Sorbonne Nouvelle reconnaît, après l'expertise du Bureau VERITAS du 13 août 1996 "Coffrages endommagés, zones dégradées, traversées des câbles, têtes techniques non-protégées. Envisager des travaux de traitement du flocage en tête des gaines techniques aux R+5" :
- "Un taux élevé de pollution dans le couloir du Cavi". "Présence d'amiante non stabilisé dans les deux ascenseurs par la société OTIS". "État de dégradation de ce flocage". "Déposer les deux trémies par une société spécialisée (juillet-août 95)".
Or, il n'y avait pas de "société spécialisée" en 1995.
"Un pied de poteau a relevé une présence d'amiante". "La partie supérieure des gaines techniques n'a pas été traitée et le joint de dilatation entre les bâtiments n'est pas étanche". "Une opération de stabilisation ou de dépose sera entreprise dès cette année (vacances été 1997) sur la partie supérieure des gaines techniques et sur les joints de dilatation" : SANS SUIVI.
"La protection mécanique des poteaux sera améliorée. Ces interventions sont prévues pour les vacances de Noël 1996". SANS SUIVI.
Censier la Sorbonne Nouvelle s'épingle naturellement, ainsi que son Ingénieur expert Alain CARREY qui, lui, affirme en 1998 deux ans après, le contraire de ce rapport administratif. (Pièce 3).
. Août 1998 : Désastre majeur durant un dépoussiérage des armoires techniques par une entreprise non-certifiée. Taux montant jusqu'à 480 f/l d'air (dix ans plus tard, la Sorbonne Nouvelle refuse toujours de montrer les chiffres du labo FLLA sur le papier).
En portant plainte contre le Bureau VERITAS, S.A. COMOBAT et EUROSAN DÉCONTAMINATION, Ordonnances de référé 28 octobre 1998, ref. 62972/98 (KL), 18 novembre 1998, ref. 63550/98 (FF), 13 nov. 1998, ref. 63808/98 (KL), le Maître d'Ouvrage (la Fac Censier) reconnaît implicitement sa responsabilité dans le choix d'une entreprise non-qualifiée (Arrêté 26 décembre 1997, sur l'Article 5.1 du 14 mai 1996 : l'obligation de qualification des entreprises).
. Novembre 1998 : Note urgente de l'expert judiciaire Marcel DELPORTE : "J'ai conclu à la subsistance d'un risque réel d'exposition et d'inhalation de poussières d'amiante pour les personnes, ainsi qu'à l'existence d'un risque réel de pollution environnementale. J'ai affirmé l'urgence à faire cesser les raisons de l'exposition". Cette note fut cachée à sa Fac par le Président LEUTRAT qui affiche profusément le contraire sur tous les murs : "Au vu des résultats d'analyses et de ses propres constatations, l'expert judiciaire considère qu'il n'y a pas de danger pour les usagers" (!). Mensonge criminel s'il en est.
. Juillet-août 1999 : Le ministère de l'Éducation nationale assainit les armoires techniques pour un coût d'environ 5,4 millions de francs.

. Le Chef du Service de l'intendance et agent de sécurité, M. Bernard DHOOGE, fit dès lors, ouvrir les gaines techniques interdites 25 ans durant, sans précautions, assurant "il n'y a pas d'amiante à Censier". Information annoncée sur la "requête de Michel LANGINIEUX à la C.E.D.H.", page 3.
(Pièce 5).
. Juillet 2000 : Suivant la Commission rogatoire de Philippe COURROYE du 17 décembre 1999, la police judiciaire cerne la responsabilité de Censier sur sept points de :
- non-respect de l'obligation générale des risques (articles 2 et 27).
- non-respect de l'information et la formation des travailleurs (articles 3 et 4).
- non-respect des moyens de protection collective et individuelle (articles 5, 28, 29, 30).
- non-respect du contrôle d'une valeur limite (articles 5 et 30).
- non-respect des mesures d'hygiène (article 6).
- non-respect de l'obligation d'établir une fiche d'exposition (article 31).
- non-respect de la mise en œuvre d'une recherche médicale appropriée (article 32).
Aucun des magistrats impliqués n'en a tenu compte.
. 76 magistrats - soixante-seize - furent concernés par cette affaire (incluant la chaîne de contrôle) en totale non-application de droit administratif et pénal : l'incapacité de ces spécialistes d'accomplir leur travail juridique se voit couchée sur leurs écrits, avec noms, prénoms, fonctions.
. Mai 2002 : Ordonnance de non-lieu du Juge Michèle VAUBAILLON : "Il n'existe pas de danger pour le personnel et les étudiants de la faculté". Ordonnance incomplète imprimée sans les notifications requises (Art. 183, 507, 508, C. p.p.). Il s'agit pourtant d'un droit constitutionnel européen (pièce 4).
. Malades et morts de cancers du poumon persistent et cumulent, d'où la recherche de Michel LANGINIEUX envoyée au Président de l'Assemblée Nationale Jean-Louis DEBRÉ. Ce dernier avait posé une question aux Ministres De ROBIEN et BERTRAND sur l'état de lieux (pièce 11).
. Septembre 2007 : Malgré le signal d'alarme lancé aux plus hauts officiels, rien ne bouge (sauf pour une reconnaissance et grand nombre de remerciements) (Pièces 6 et 7).
. Mars 2008 : Défense de Maître Alexandre FARO pour Michel LANGINIEUX devant la 17e chambre correctionnelle, contre une double "diffamation" de la partie adverse (Pièce 13).
Partie intrinsèque de ma plainte initiale, je porte plainte en tant qu'étudiant de 1993 à 1997, contre l'Université la Sorbonne Nouvelle et tous responsables impliqués, y compris l'avocate Anne WILLIÉ qui, depuis dix ans, gagne sa vie sur la vie des étudiants (Pièce 14).
Atteinte systématique aux droits de l'Homme, aux droits fondamentaux des citoyens :
Abus de confiance. Meurtres autorisés. Abus d'autorité. Corruption. Faux et usage de faux. Atteinte à la liberté d'expression. Atteinte à l'action de la justice.
Non-assistance à personne en danger. Mise en danger délibérée de la vie d'autrui. Administration de substances nuisibles. Empoisonnement par exposition forcée de poussières d'amiante contre les personnes (ou tout autre chef pouvant apparaître au cours de l'instruction).
Plainte également contre les associations nationales "des victimes de l'amiante", L'ANDEVA, LE COMITÉ ANTI AMIANTE JUSSIEU, BAN ASBESTOS, ainsi que leurs avocats et experts, pour s'être tus sur ce drame, en toute connaissance de cause pendant onze ans.
Non-assistance à personnes en danger, indifférence, népotisme, incapacité d'action et de compassion. Inexistence civique.
Notre démocratie qui a su éventrer l'Afrique depuis plus de 60 ans se retourne de nos jours, délibérément contre les siens, petits et grands : amiante, plomb, mercure, aluminium, métaux lourds.
Ces plaintes annoncent, à ce point, une plainte globale qui inclura les empoisonnements collectifs imposés : deux prochaines déferlantes concernent les pesticides, et les antennes G3 (UMTS). Cette plainte globale pourra inclure toute autre plainte ciblée, ainsi celle de l'A.S.E. contre Censier, jointe (pièce 8), ou les possibilités d'agir offertes (pièce 9).


Monsieur le Procureur,
Je déclare, en conscience et loyauté, exacts les renseignements qui figurent sur cet envoi.
Renseignements indispensables pour la défense des citoyens français et des étudiants internationaux, face à la criminalité et corruption étatiques subies ici.
C'est une question de dignité : sauvegarder les droits de l'homme devant des violations graves d'associations criminelles qui utilisent les rouages d'une démocratie incapable d'assumer, pour exercer en toute impunité leurs méfaits sur le peuple sans souci des enfants.
Avec mes respects,"


Plainte déposée par l"ASSOCIATION dite de l'OBSERVATOIRE pour la SAUVEGARDE du 7ème Bataillon de CHASSEURS ALPINS, le 30 septembre 2009 s, auprès de MR LE PROCUREUR de la COUR PÉNALE INTERNATIONALE de la HAYE.

Pour faire valoir ce que de droit.



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30 septembre 2009 3 30 /09 /septembre /2009 17:53


L'ECHO des MONTAGNES, dans le légitime but de vous informer, demande la condamnation de ROMAN POLANSKI et de ses complices ministres ou ex-ministres français qui prennent sa défense.

En effet Jack LANG et BERNARD KOUCHENER osent plaidé en faveur d'un pédophile au nom du Peuple français, au nom du peuple SAVOYARD sur toutes les chaines serviles publiques de baveurie française et francs-maçonniques.
Je leur rappelle le "TALMUD":

                      "Ne pas dénoncer un crime, c'est se rendre complice du crime"!

La pédophilie ne passera pas en SAVOIE!

De plus l'ECHO des MONTAGNES vous donne le scoop suivant:
La ministre de la justice Eveline Widmer-Schlumpf savait vendredi que Roman Polanski serait interpellé samedi à Zurich. L'Office fédéral de la justice l'a exceptionnellement avertie.

KEYSTONE

Rappel des faits:


Roman Polanski, 76 ans, a été arrêté samedi à sa descente d'avion à Zurich. Il se rendait à un festival qui allait le récompenser pour l'ensemble de son oeuvre. Le cinéaste franco-polonais a notamment obtenu un Oscar et la Palme d'or de Cannes pour "Le Pianiste" sorti en 2002.

Il est recherché par la justice américaine après une procédure ouverte en 1977 pour pédophilie. Il pourrait, dans les 40 jours, être extradé vers les Etats-Unis. Il s'est opposé à son extradition et ses avocats ont déposé mardi une demande de mise en liberté.

 

L'ECHO des MONTAGNES vous donne aussi le scoop suivant: ROMAN POLANSKI , outre sa pédophilie notoire et avouée publiquement lors de son entretien avec EL KABACH (sionisme quant tu nous tiens!) a gravité autour de l'ORDRE du TEMPLE SOLAIRE et son immense trafic d'argent concernant le nucléaire de l'EX-République Démocratique Allemande.

Le procureur Steve Cooley,

Steve Cooley, le procureur de Los Angeles qui veut la peau du cinéaste.

le procureur de Los Angeles qui appliquait les lois de son pays, est soutenu par notre journal; on ne verra pas cela en FRANCE, où les juges francs-maçonniques, oublieux de leurs idéaux, obéissent aux politiques sionistes pourris et corrompus et pédophiles.

Pourquoi tu tousses JACK LANG?????????????

Pourquoi tu tousses BERNARD KOUCHENER?????

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30 septembre 2009 3 30 /09 /septembre /2009 17:26
L'ECHO des MONTAGNES, dans le légitime but de vous informer, soutient la SUEDE, dans son combat contre le sionisme, contre le jérusalisme. La Suède refuse de recevoir le ministre israélien des affaires étrangères Publié le 28-09-2009 La Suède vient de refuser de recevoir le fasciste Lieberman et d’entamer des poursuites judiciaires contre le journal ayant mis en cause IsraeL dans le trafic d’organes des Palestiniens décédés. "La Suède a encore une fois refusé de céder aux pressions du gouvernement israélien qui demande à tout prix d’ouvrir une enquête judiciaire sur les rapports publiés par un journal suédois confirmant l’implication d’"Israël" dans le trafic d’organes pratiqué contre des martyrs palestiniens. Selon le Centre Palestinien d’Information (CPI), la Suède a annoncé cette décision en marge des réunions des ministres de la justice et de l’intérieur européens. Elle a également refusé de recevoir le ministre israélien des Affaires Etrangères Avigdor Lieberman, a ajouté le CPI." Source : http://www.almanar.com.lb/NewsSite/NewsDetails.aspx ?id=104490&language=fr
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30 septembre 2009 3 30 /09 /septembre /2009 17:15
L'ECHO des MONTAGNES, dans le légitime but de vous informer, se demande si l'état du Vatican ne fait pas allégence à l'O.N.U., organisation franc-maçonnique mondiale, prônant le Nouvel Ordre Mondial des Illuminatis, secte mondialiste nazie et luciférienne?

Preuve en est:

NATIONS-UNIES ET INTERDEPENDANCE

 

CITE DU VATICAN, 30 SEP 2009 . Hier à New York, l'Observateur du Saint-Siège a pris la parole lors de la 64 assemblée générale de l'ONU consacrée à la crise mondiale, au renforcement du multilatéralisme, au dialogue entre peuples pour la paix, la sécurité et le développement. Mgr.Celestino Migliore a insisté sur la nécessité, relevée aux récents G8 et G20, "de légitimer les accords actuels en les adaptant aux idées nouvelles et aux nouveaux besoins de la communauté internationale en vue de solutions prenant en compte les attentes de chaque pays et continent".

 

  "Plus augmente l'interdépendance des peuples plus s'affirme l'utilité des Nations-Unies comme organisation devant répondre aux questions posées par la croissante complexité des relations internationales". L'ONU va de plus en plus vers "une famille de pays interdépendante qui soit proche de la vérité sur l'homme, ainsi que le prévoit sa charte". Evoquant ensuite le développement des rapports entre pays donateurs et bénéficiaires, il a rappelé que le "développement véritable implique le respect absolu de la vie humaine... Malheureusement, dans certaines régions du monde les aides semblent liées à l'acceptation des pays pauvres de programmes de contrôle démographique par le biais de méthodes qui ne respectent pas la dignité des personnes... Cette pratique n'est pas réciprocité mais imposition, c'est-à-dire de l'aide au développement contre l'acceptation de politique qui relèvent de l'abus de pouvoir".

 

  Puis le représentant du Saint-Siège a évoqué l'égalité qui doit présider au commerce et à la finance internationale, espérant que la création "de sources permanentes de travail, une juste rétribution des productions et l'accès au crédit public comme privé des pays pauvres permettent d'éviter de nouvelles crises mondiales, plus graves encore". Abordant la responsabilité de la protection formulée par le Sommet mondial de 2005, Mgr.Migliore a dit: La reconnaissance "de la dignité de chaque individu implique que les états mettent tout en oeuvre pour éviter et réprimer les génocides, la purification ethnique ou tout autre crime contre l'humanité. En reconnaissant l'inter-connexion des responsabilités de protéger, les états doivent être conscients de l'importance de la collaboration au sein de la communauté internationale comme outil de leur mission et d'une souveraineté responsable".

 

  L'Observateur permanent a également évoqué les souffrances et les frustrations des honduriens, causées "par la profonde crise politique qui frappe leur pays, demandant à tous de déployer des efforts en vue d'une solution rapide". Citant enfin le récent Sommet sur le climat, il a dit que "la protection de l'environnement constitue le point culminant du multilatéralisme car c'est le destin même de l'homme qui en dépend".


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28 septembre 2009 1 28 /09 /septembre /2009 21:17
L'ECHO des MONTAGNES, dans le légitime but de vous informer, vous déclare que la SAVOIE et le COMTE de NICE et bientôt la CORSE sont libérés de la colonisation française, colonisation franc-maçonnique et sioniste.
Les Niçois sont patients, mais maintenant ils ont en assez que l'état corrompu français les promène sur la "Promenade des Anglais".

"VAFFANCULO FRANCESE", cité par votre rédacteur en chef, Frédéric BERGER

Démonstration:

NICE Justice : La cour d’appel de Nice



senat-niceNICE JUSTICE — Le problème de la cour d'appel de Nice revêt, sur bien des points, l'aspect d'un mythe. Longtemps, du mois de mars 1614 jusqu'à la fin de l'année 1792, Nice posséda sa propre cour souveraine, ou Sénat, qui étendait son ressort sur l'ensemble des territoires dépendant de l'ancien comté. Nous détaillons dans l’article ci-dessous la suite de l’histoire mouvementée de cette cour d’appel qui fut retirée à Nice en 1860 au moment de l’annexion et que Napoléon III avait promis de nous rendre sous 10 ans.Le Niçois est patient.Pratiquement 150 ans plus tard, créé pour l’occasion, le Collectif Cour d’Appel (CCA)UJA, Barreaux de Nice et Grasse), les Jeunes Chambres Économiques (Antibes Sophia Antipolis, Cannes Mandelieu Le Cannet, Menton Roquebrune Cap Martin, Nice Côte d’Azur, Pays Niçois) et des associations niçoises (Sian d’Aqui et Nissart Per Toujou) entame une action de lobbying afin d’obtenir le retour de cette cour d’appel.Le Niçois est tenace.Dans un pantaï bien Niçois, le CCA procédera le 16 juin à Nice à l’inauguration symbolique de la cour d’appel.Le vendredi 16 juin à 10h00, le CCA donne rendez-vous à l’ensemble des élus de notre département et à tous ceux qui se sentent concernés par le fonctionnement de la justice, sur la place du palais de Justice de Nice. Le cortège empruntera le cours Saleya puis débouchera sur le quai des États Unis qu’il remontera jusqu’à Rauba Capeu où, symboliquement, sera inaugurée notre cour d’appel et salué son retour dans le département des Alpes Maritimes.Les représentants des communautés d’agglomération locales devraient être présents.Mesurons le succès de cette manifestation et voyons si cela peut aider à faire passer la cour d’appel de Nice du mythe à la réalité. qui regroupe des professions juridiques (

palais-du-senat

C’est le 8 mars 1614 qu’est officiellement créé le Sénat de Nice, d’abord installé près du Palais Ducal, puis dans le Palais du Sénat, construit dans la seconde moitié du XVIIe siècle. La composition de cette juridiction fait appel à un nombre assez réduit de magistrats, originellement piémontais, puis niçois à partir de 1624.Le ressort du Sénat est originellement étendu et dépasse largement les simples frontières du comté de Nice, malgré de nombreuses modifications qui interviennent au cours du XVIIIe siècle. Ce Sénat est conçu comme une cour de justice, mais ses attributions s’étendent également dans le domaine extrajudiciaire, en matière administrative, ecclésiastique et, avant tout, politique.En matière judiciaire, le Sénat a une compétence universelle et souveraine, et intervient tant en première instance qu’en appel. Relèvent directement de sa juridiction certaines affaires en raison de leur nature (concernant la souveraineté, la juridiction du souverain, les communautés, les procédures d’extradition ou d’exequatur ou les affaires militaires…), de la qualité des parties (grands officiers, étrangers, vassaux, pupilles…) ou de la valeur du litige.senat-niceLe Sénat peut également évoquer une affaire pendante devant une juridiction inférieure, surtout dans le but d’assurer « une exacte observation des lois » en matière criminelle. En appel, sont portées devant le Sénat les sentences des Préfets ou juges-mages et de divers autres tribunaux spéciaux. Il se prononce surtout en matière criminelle concernant les délits passibles d’une peine corporelle, afflictive ou pécuniaire importante, et sur les jugements de torture. Sont également renvoyés obligatoirement devant lui, pour confirmation ou réformation, les accusés passibles de la peine de mort ou des galères.Avec la Révolution, et l’entrée des Français à Nice, le 28 septembre 1792, le Sénat de Nice est supprimé.À la chute de l’Empire, le gouvernement sarde rétablit l’ancienne organisation judiciaire par l’édit royal du 21 mai. Le Sénat de Nice recouvre ses attributions traditionnelles et reprend ses activités. Un édit du 19 avril 1816 vient élargir son ressort et déterminer les règles de fonctionnement des tribunaux qui y sont inclus : les Préfectures de Nice et de Sospel, puis de San Remo, le Conseil de Justice d’Oneille, et, au-dessous, les juges de mandement.À partir du 4 mars 1848 (octroi du Statuto), pour éviter toute confusion avec la chambre législative nouvellement créée, les Sénats seront désignés sous le titre Cours d’Appel et leurs membres sous celui de conseillers. Au moment de l’annexion du comté de Nice par la France en 1860, le ressort de la Cour d’Appel de Nice, qui ne survivra pas au changement de souveraineté, s’étend sur les tribunaux de Nice, Oneille (Imperia) et San Remo.D’après Marc ORTOLANI et Olivier VERNIER

cour-d-appel-Nice


En 2010, cela fera 150 ans que le pays Niçois aura été annexé par la France de Napoléon III.
Cette annexion, à tort appelée "rattachement", fut le fruit d'une forfaiture désormais démontrée .
En 1860, le simulacre de consultation populaire (plébiscite) se fit dans des conditions décidées à l'avance, sous occupation militaire, organisé par la force annexante en violant radicalement le droit international toujours en vigueur aujourd'hui...
Christian Estrosi (UMP) souhaite fêter l'anniversaire de ce méfait en falsifiant une fois de plus l'histoire du peuple Niçois! Toutes celles et ceux, profondément attachés au principe démocratique et au droit des peuples , se sentiront à coup sûr concernés. Nous vous invitons à consulter nos médias libres niçois afin de vous faire une opinion objective et à signer cette pétition, qui bien plus qu'une doléance, et le refus de voir fêter l'asservissement d'un peuple souverain de droit, où qu'il soit...








Estrosi fête la forfaiture, nous la dénonçons !
par Libera_Nissa


Nice n’est française qu’en vertu du traité de Turin signé le 24 mars 1860 par Victor-Emmanuel II et Napoléon III qui désirait transformer le Pays de Nice en bouclier à ses frontières. Mais 143 ans de domination française ne constituent qu’une parenthèse dans ses vingt-cinq siècles d’Histoire… Souvent attaquée, pillée et rançonnée par les troupes françaises, Nice a vu sa liberté confisquée frauduleusement par Napoléon III, puis par la IIIe République, héritière de cette forfaiture. Aussi ancienne que Lutèce, érigée en commune libre et indépendante dès 1108, source d’une ancienne et riche culture, Nice n’avait rien à apprendre et tout à craindre du jacobinisme parisien dont le but a toujours été de gommer son histoire. Le peuple niçois colonisé et précipité de surcroît dans trois guerres meurtrières dont il n’avait que faire, a toujours résisté à cette assimilation et certains osent le lui reprocher.

Depuis près de deux millénaires, le Pays de Nice est titulaire de droits certains. Annexé comme la Savoie, par le biais d’une occupation militaire suivie d’un plébiscite truqué, Nice s’est rebellée en 1871, exprimant par la voie des urnes sa légitime volonté d’indépendance. La IIIe République étouffa la voix des Niçois en instaurant la dictature à Nice. C’est pourquoi, depuis lors, le problème est pendant et beaucoup de Niçois ne l’ont pas oublié.

Dans cette étude, particulièrement brillante et extrêmement documentée, l’auteur apporte la preuve que le traité de Turin est caduc pour de multiples raisons de droit et de fait : Mars 1860, traité invalide et par la suite non respecté. Avril 1860, occupation militaire française suivie d’un plébiscite truqué. 1871, dictature à Nice. 1940 : suspension du traité de Turin. Février 1947, traité de Paix international : non respect des clauses fixant les modalités de remise en vigueur du traité de Turin…

Nice et la Savoie sont donc libres de choisir leur destin (comme la Corse, car le traité de Versailles signé en 1768 est également abrogé).






Une ile LA CORSE : DRAPEAU DE LA CORSE [auFeminin.com] Tous les grands pays d’Europe sont fédéraux ou accordent des pouvoirs très étendus aux régions ; le centralisme français est une exception anachronique appelée à disparaître. Nice et la Savoie, lasses de subir injustement les effets désastreux de la décadence française, sont fondées à réclamer l’indépendance à laquelle elles ont droit.

 

LES HEROS NICOIS:

Résistants niçois issus de la socièté civile lors de l'occupation française de 1792 à 1814...Cette déclaration est attribuée à Tchoa Fulconis dit Lalin qui fut torturé puis cloué, par les français, sur la porte de sa mère à l'Escarène:
« Je défends mon pays, vous êtes les plus nombreux et nous multiplions nos forces par la ruse et l’audace. Que nous font vos libertés promises et la gloire d’appartenir à une nation plus grande que la notre ? Nous leur préférons les franchises de nos ancêtres et nos petites tribus montagnardes. Nous n’avons pas été vous attaquer chez vous, c’est vous qui êtes venus nous piller et nous chasser de nos foyers. Faites de moi ce que vous voulez, le sacrifice de mon existence appartient à mon pays et à mon roi »
Honneur aux Barbets !

 

Hormis en France,Jousé Garibaldi,est reconnu comme étant l'un des plus grands hommes(voir LE plus grand)qu'ait connu le 19eme siècle! Surnommé "le Héros des deux mondes",le plus célèbre des héros Niçois,très attaché au pays niçois,se battit férocement contre l'annexion frauduleuse dont était victime le pays qui l'avait vu naître .
Garibaldi nous lègue,entre autre, sa célèbre protestation au parlement de Turin en 1860 qu'il fit avec Laurenti-Roubaudi donnant au peuple niçois les armes juridiques pour faire valoir, aujourd'hui comme demain , les droits inaliénables à sa liberté .
Parmis ses citations les plus célèbres:
"Nissa es francèsa couma iéu sieu tartarou"
(Nice est française comme je suis tartare)
et "Ni français,ni Italien: Citoyen Niçois" !

 

L'image la plus connue d'un vieil homme entouré de livres poussiéreux, ne doit pas nous faire oublier que Henry Sappia était un grand républicain et qu'il a eu une vie très tumultueuse.
Futur fondateur de la revue "Nice-historique" et de "l'Academia nissarda",alors en exil à Londres,après le soulèvement séparatiste de Nice qui suivit les élections du 8 février 1871.Il écrivit "Nice Contemporaine"pour ses compatriotes Niçois victimes d'une terrible répression militaire.

Suite à l'agression Franco-Turc de 1543,alors que les défenses Niçoises faiblissaient, une bugadière, Catherine Ségurane, monta aux créneaux, assomma avec son battoir à linge un porte-étendard Turc et lui arracha son drapeau.
Son image est souvent utilisée à tort et à travers, en particulier par des ultras nationalistes français, qui ne connaissent visiblement pas l'histoire de l'héroïne niçoise !

 

 

Le pays de Nice libre selon le Traité de paix international de 1947

Liberà Nissa: Un Drech.

Nissa_Savo_aLes peuples Niçois et Savoisiens réclament l'application du droit international pour préparer l'avenir de leurs pays. La caducité du traité d'annexion du 24 mars 1860 est effective. En effet, ce traité a été suspendu durant la seconde guerre mondiale. Le traité de Paix de 1947 a disposé trés précisemment dans quelles formes et délais devaient être remis en cours les traités liant, avant la guerre, les belligérants à l'Italie ; le traité de Paix disposait également que les traités qui ne feraient pas l'objet de ces procédures seraient purement et simplement abrogés. Après vérification auprès du secrétariat des Nations Unies, il s'avère que la République française n'a pas enregistré le traité du 24 mars 1860 aux Nations Unies comme le prévoyait impérativement le traité de Paix de 1947. Le traité du 24 mars 1860 signé à Turin est donc abrogé purement et simplement du fait des dispositions formelles du traité de Paix international de 1947.

image_025Charte des Nations Unies:

Chapitre XVI Dispositions diverses (Article 102)

1. Tout traité ou accord international conclu par un Membre des Nations Unies après l'entrée en vigueur de la présente Charte sera, le plus tôt possible, enregistré au Secrétariat et publié par lui.

2. Aucune partie à un traité ou accord international qui n'aura pas été enregistré conformément aux dispositions du paragraphe 1 du présent Article ne pourra invoquer ledit traité ou accord devant un organe de l'Organisation.

Traité de paix du 10 février 1947 (Section IX Traités bilatéraux Article 44):

1. Chacune des Puissances Alliées ou Associées notifiera à l'Italie, dans un délai de six mois à partir de l'entrée en vigueur du présent Traité, les traités bilatéraux qu'elle a conclus avec l'Italie antérieurement à la guerre et dont elle désire le maintien ou la remise en vigueur. Toutes dispositions des traités dont il s'agit qui ne seraient pas en conformité avec le présent Traité seront toutefois supprimées.

2. Tous les traités de cette nature qui auront fait l'objet de cette notification seront enregistrés au Secrétariat de l'Organisation des Nations Unies, conformément à l'article 102 de la Charte des Nations Unies.

3. Tous les traités de cette nature qui n'auront pas fait l'objet d'une telle notification seront tenus pour abrogés.

La constitution française (Articles 5. et 55).

Art. 5. - Le Président de la République veille au respect de la Constitution. Il assure, par son arbitrage, le fonctionnement régulier des pouvoirs publics ainsi que la continuité de l'Etat.

Il est le garant de l'indépendance nationale, de l'intégrité du territoire et du respect des traités.

Art. 55. - Les traités ou accords régulièrement ratifiés ou approuvés ont, dès leur publication, une autorité supérieure à celle des lois, sous réserve, pour chaque accord ou traité, de son application par l'autre partie.


Juridiquement, les peuples Niçois et Savoisiens sont donc libres de choisir leurs destins à condition qu'ils en fassent la demande formelle ! Concernant le Pays Niçois, associé à la protestation officielle de Garibaldi et Laurenti-Roubaudi ainsi qu'à tous les arguments formulés par la Ligue Niçoise, le traité de paix de 1947 nous donne la possibilité d'exiger nos droits inaliénables à la souveraineté devant les instances internationales !

"pour que le droit des gens ne soit pas une vaine parole"... Jousé Garibaldi

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28 septembre 2009 1 28 /09 /septembre /2009 18:33

L'ECHO des MONTAGNES, dans le légitime but de vous informer, vous donne le nouveau calendrier des rencontres du SHIASTU avec MR NOËL BARBICHON, dans les HAUTES ALPES.

Je vous rappelle mon article sur le sujet, clic sur le lien suivant pour tout savoir:

LE SHIATSU
Clic sur le l'image pour l'agrandir:

                
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28 septembre 2009 1 28 /09 /septembre /2009 17:09

L'ECHO des MONTAGNES, dans le légitime but de vous informer, vous livre cette magnifique plaidoirie de MR GOUASMI, président du PARTI ANTISIONISTE, concernant les chrétiens en FRANCE.

A écouter religieusement:






Le sionisme voila l'ennemi du monde:



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26 septembre 2009 6 26 /09 /septembre /2009 01:41

L'ECHO des MONTAGNES, dans le légitime but de vous informer, vous publie sa plainte auprès du T.P.I. de la HAYE, PAYS-BAS, pour "crimes contre l'humanité de la part des dirigeants de la FRANCE et de ses juges et de leurs complices chefs d'ETAT et de Gouvernement des différents pays du monde.
Recopier cette plainte, faites la circuler, et porter vous même plainte contre ces barbares, car la SANTE a un goût de sang pour les étudiants de la SORBONE NOUVELLE, contaminé par l'AMIANTE!

PLAINTE auprès du TRIBUNAL PÉNAL INTERNATIONAL
de LA HAYE pour crimes contre l'Humanité commis à la SORBONE NOUVELLE PARIS3, 17,rue de la SORBONNE, 75 231 PARIS cedex05.

adresse postale:
Po Box 19519
2500CM
The HAGUE
The Nederlands
L'ECHO des MONTAGNES vous fournira sur simple demande par courriel, le modèle de cette plainte qu'il suffira de "copier-coller" en y mettant vos noms et qualités.
@ de votre journal préféré: echosdesmontagnes@gmail.com

LA PLAINTE:

REQUÊTE à Monsieur LUIS MORENO-OCAMPO,
Procureur auprès de la COUR PENALE INTERNATIONALE de la HAYE
PAYS-BAS.

et

REQUÊTE à MR le Président de la République Française, Mr NICOLAS SARKOSY de NAGY-BOCSA,
Palais de l'Elysée
55,rue du Faubourg Saint -Honoré
75008 PARIS
(Lettre en recommandé avec accusé de réception)

His Excellency, MR FREDERIC BERGER , REPRESANTANT L'ETAT SOUVERAIN DE SAVOIE, rédacteur en chef de l'ECHO des MONTAGNES et Ambassadeur Européen de l'I.E.T. WHF a l’honneur de vous demander, par application de l’article 8 du Traité de Rome du 17 juillet 1998 instaurant la Cour Pénale Internationale de la Haye, de bien vouloir saisir d’un plainte:


- d’une part le Conseil de Sécurité (articles 12 et 13 b) à l’encontre de:

LES MAGISTRATS ET LA FRANCE


 

 

Compléments de la plainte à l'encontre de l'État français,

son ministère public, ses pouvoirs exécutifs et pouvoirs publics.

 

 

Monsieur le Procureur de la COUR PENAL INTERNATIONAL

 

Suivant la plainte que j'ai portée auprès de vous le 13 mai 2008, je tiens à soumettre à votre attention ma lettre du 14 juillet 2008 adressée au Président de la République Française, jointe.

Il s'agit de 76 magistrats - soixante-seize - qui, sur cette affaire d'empoisonnements à l'amiante dans une Université, n'ont simplement pas fait leur travail.

Cela devient coutume.

 

Pourquoi nos magistrats ne sont-ils pas rendus responsables de leurs actes comme ils le sont dans d'autres pays européens ? Le pouvoir des juges repose ICI sur une véritable imposture concernant le plan constitutionnel. Ces officiels, en effet, se permettent d'exercer un pouvoir sans en avoir été investi par une quelconque élection alors que c'est la règle en démocratie, observée par les deux autres pouvoirs, le législatif et l'exécutif.

 

Après le scandale des 100 juges d'Outreau, inexistants autant qu'incompétents, le pouvoir de juger son prochain ne saurait plus être sanctifié via simple concours technocratique, d'autant que le dit pouvoir se trouve exercé hors de tout contrôle populaire, ce qui est contraire à tous les principes républicains. Pourquoi leur accorder l'impunité ?

 

Qu'est-ce qui peut justifier l'inviolabilité de ces derniers alors que, censés être les plus sages, ils se voient munis d'une telle autorité de nuisance, exercée avec les dégâts qui en résultent ?

 

- Je ne m'étendrai pas sur la corruption financière qui règne ICI. Madame Eva JOLY a su nous préciser les déviations, la disparition de sommes colossales, le mépris de tout droit.

 

Pour exemple, les "Francs de Polynésie Française" ni Français ni Européens, parfaitement valables en leurs lieux, n'existent pas en fait, non reconnus internationalement.

 

Ces malversations font le bonheur de banques bien Françaises - elles - et du Trésor Public qui y trouvent leurs comptes sur des fonds doubles à doubles-fonds dans un offshore paradisiaque.

 

- Plus grave : 40.000 enfants disparaissent chaque année, victimes de prédateurs. 45.000 en 2006. Si tous ne sont pas torturés, violés et tués, comme le décrit le Juge Pierre ROCHE, Président des Chambres de Montpellier à la mort fort suspecte, certains sont simplement vendus. Une industrie "de chez nous", Monsieur le Procureur, avec sa marchandise. Nos Gilles de Rais fonctionnarisés profitent de l'aubaine en groupes organisés, sous une protection évidente. Rien ne bouge.

 

Sans police ni justice, nous n'avons plus d'autre ressource que de nous adresser à vous. Les requêtes à la CEDH sont refusées par centaines de milliers, ce qui révèle à la fois le degré de corruption et l'incapacité de faire face. Plutôt que d'énoncer la réalité, cette Cour Européenne la cache, d'autant qu'elle est financée par les États criminels qu'elle est censée juger.

 

Nous avons un besoin absolu d'autorité extérieure.

 

- Pour le drame sans précédent de l'amiante, j'ai su ouvrir une voie directe qui dénonce ce crime contre l'humanité en France avec pour exemple une Université parisienne la Sorbonne Nouvelle, et prévenir ainsi une jeunesse étudiante désinformée.

 

Les pays qui envoient leurs étudiants dans nos cages à poisons devront utiliser le chemin inverse : commencer par la protection de populations internationales innocentes à la merci de l'incurie de nos pouvoirs publics, pour remonter vers la cause de ces maux multiples, l'État Français aux fonctions prouvées : mensonges, manipulations et meurtres, sous la traditionnelle façade.

 

Car cet État tue. Son peuple devra le réaliser au vu des vagues d'empoisonnements collectifs qui s'annoncent. Le monde international devra nécessairement remettre les choses dans l'ordre qu'il n'aurait jamais dû quitter.

 

- Pour ce qui est de mon action personnelle, veuillez trouver jointe, ma 7e plainte à un Procureur de la République, Madame OBADIA, qui s'occupe des DTA (Dossiers Techniques Amiante) et des multiples façons dont il est éludé en France par les uns et les autres : 70% des entreprises sont irrégulières, amnistiées d'office !

C'est pis encore pour le plomb (le saturnisme), sans contrôle aucun.

 

Jamais notre pays n'a été, à ce point, à la merci des forces de l'argent, de la tyrannie, d'une corruption totalitaire et de l'absence de moralité. L'ensemble de ces crimes contre l'humanité se pratique de nos jours en France, sous les symboles inexistants de "liberté, égalité, fraternité".

 

D'où mon cri vers vous, Monsieur le Procureur.

 

Je ferai mon possible pour parvenir à une formulation recevable pour le TPI. Que votre autorité établisse, s'il vous plaît, pour notre pays dit de pointe, les monstruosités semblables à celles constatées en Afrique et en Serbie, où des primates sophistiqués font passer leurs vices avant toute démocratie, en une absence de compassion caractérisée, totalement illégale.

 

Avec mes respects citoyens,"

Pièces jointes:

--Pièce sous-côte 1:


LES LANCEURS D’ALERTE

LES FRÈRES BLANDIN

 

 

Échange avec François Félix BLANDIN

 

Trois sauveurs de vies furent cassés en France, sans ambages. De véritables experts sur le terrain, pas sur le papier. Des hommes concernés. Ils avaient su découvrir des matériaux de substitution pour remplacer l’amiante, moins chers que l’amiante. Entrepreneurs, ils avaient recouvert plus de 800 bâtiments scolaires, les premières tours de la Défense, les aéroports d’Orly, les stations RER : une bénédiction pour tous.

Ni Jussieu, ni Censier la Sorbonne Nouvelle, ni la Maison des Sciences et de l’Homme, n’avaient lieu d’être amiantés dans les années 60. Ces trois frères durent protéger des centaines de milliers de vies plus de 30 ans. La France sait produire des personnes extraordinaires. Elle sait aussi s’en débarrasser. L’on y trouve des génies face à une médiocrité pure. « Des lotus sur les fosses d’aisance » disent les indiens.

 

F.F.B. : À défaut du pouvoir politique, le seul moyen de faire avancer les choses venait dès lors, de la partie commerciale ou d’une décision du domaine privé. L’on se rapproche naturellement de la citoyenneté par la production d’une entreprise salubre.

 

Le pouvoir et l’argent faisaient passer le copinage avant toute nécessité de protection, l’hygiène et la sécurité. Or, ces sauveurs, ces lanceurs d’alerte, font partie de ta famille. Ils surent garder le cap de l’intégrité et du sens. Michel, ton père. Puis ton oncle Henri. Et mon ami Philippe.

 

F.F.B. : Finalement, force est de constater que ce n’est pas une décision de la législature qui sut s’imposer à la puissance financière, mais l’intention citoyenne et l’intervention technique. On n’a pas eu à imposer une réglementation pour supplanter l’amiante. Le flocage d’amiante fut remplacé à plus de 50%. Les empoisonneurs furent supplantés, c’est un fait. Il y a 50 ans, on avait déjà gagné.

 

Nouvelle preuve pour lors, de l’homicide de l’État avec sa volonté de poursuivre en dépit de l’apport des frères BLANDIN et des solutions à l’œuvre. Voilà ce que tes parents nous permettent de constater par leurs travaux et découverte salubre. Leur contribution révèle la responsabilité criminelle étatique. Outre les coutumes de mafias à fric qui nous saccagent, du statu quo avec ses tenailles, et des carnassiers du lucre.

 

F.F.B. : Une simple machine permettant de réaliser des flocages sans amiante, et dont le brevet fut déposé en 1951, suffit.

 

Et l’extraordinaire clarté d’esprit de tes parents. Philippe affirmait : « Pas de compromis avec l’amiante ». Il fut mon mentor. Je lui rendais visite deux à trois fois par semaine durant deux ans avant sa mort. J’ai dû le rencontrer une centaine de fois. Je lui ai fait connaître Catherine KORBA en 1999, le médecin de prévention - une espèce rare - que nous avons eu la chance d’obtenir 6 mois à Censier la Sorbonne. Le président de la Faculté, Jean-Louis LEUTRAT (« déridéra » ajoutaient les étudiants), l’a renvoyée : elle prévenait vraiment ! Elle disait la vérité, vraiment. La vérité à Censier. Il faut oser. Une personnalité attachante plus que nos habituels spécialistes sûrs de leurs savoirs, et bien peu de la réalité.

Michel PARIGOT et Michel LEDOUX de l’Andeva oublièrent vite ce médecin exceptionnel, plutôt que de la défendre. Elle venait, pourtant, de se faire renvoyer de Jussieu pour avoir découvert les mauvais chiffres de certains labos (400 f/l), et posé des questions clef au Professeur RAIX, le responsable en charge. C’était il y a 10 ans. Les experts « sur le papier » nous trahissent facilement. Ce sont des pions. Les pions du pouvoir.

Pas Philippe. Sa devise : « Sécurité d’abord » lui interdisait les jeux du monde.

 

F.F.B. : L’absence d’amiante fut également pour BLANDIN et Cie un argument commercial considérable.

 

Ton oncle Philippe avait vécu des « instants ». Les japonais appellent ces moments de transformation des « satori ». À 20 ans, alors qu’il s’enfonçait dans la neige au Parc de Versailles, il se retourne. Les seuls pas imprimés dans l’immense paysage laiteux se dirigeaient vers lui sur des km alentour. Il comprit, tout à coup, la solitude de l’être intégré vers qui tout converge. Cette expérience bouleversa sa vie. Il perçut son immensité un instant. Cela suffit.

 

Il possédait une intelligence supérieure, un humour corrosif sans esbroufe, se faisant photographier goguenard, devant un tombeau du Père Lachaise. Surréaliste et drôle.

 

F.F.B. : D’emblée avec Henri et mon père, il a cherché à remplacer l’amiante.

 

Qu’est-ce qui t’a poussé à devenir toi-même Conseiller en Prévention pour ta société l’APRB ?

 

F.F.B. : Avoir été formé par de très grands experts dès l’enfance, où je me retrouvais avec mon père, sur les chantiers.

 

Quel était le but principal de la Cie BLANDIN et Cie ?

 

F.F.B. : Utiliser une machine capable de projeter des fibres de roches et des fibres minérales artificielles en remplacement de l’amiante. La Cie assura aussi la confection et la pose de faux plafonds, activité qu’elle arrêta à la fin des années 60.

 

Philippe me parlait souvent de la mort. La mort imposée qui satisfait les crabes, celle qui rapporte. Les trois frères luttaient en fait, contre la mort, la mort d’homme donnée par l’homme. Combat sans merci. Ils en avaient profondément conscience avec un sens du but à atteindre. Ils refusaient même d’accepter les travailleurs (ils en avaient 600) ayant touché à l’amiante. Ils désiraient une atmosphère non-contaminée, moralement ni physiquement.

 

F.F.B. : Exact.

 

Tout jeune, ton oncle Philippe, roulant sur la route, tombe sur une affiche énorme : « Sécurité d’abord ». Comme touché par la foudre, il saisit l’impact du sens profond de ces mots dans ses viscères. Il se trouvait dans l’état de disponibilité entière qui permet d’apprendre.

 

F.F.B. : Il m’a beaucoup appris.

 

La SELOTI, qu’est-ce que c’est ?

 

F.F.B. : Une des trois entreprises de projection d’amiante française qui subsistaient après la guerre.

 

Et JEP industries ?

 

F.F.B. : JEP industries, un pilier de l’Éducation nationale, n’avait jamais employé l’amiante. Or, il existait une énorme compétition dans le monde du bâtiment. L’amiante restait friable en pulvérisation, sensible aux chocs et aux vibrations. Avec une importance donnée aux flocages et calorifugeage en priorité. La découverte BLANDIN palliait dès lors aux manques, d’où une coopération fructueuse.

 

Que disaient ton père et tes oncles alors qu’on leur a interdit toute contribution civique et humaine ? Alors qu’on s’était débarrassé du cadeau extraordinaire qu’ils représentaient, pour choisir une contamination à l’amiante grande échelle, saccageant des centaines de milliers de concitoyens ?

 

F.F.B. : Ils estimaient avoir fait œuvre utile. Car si une mesure d’interdiction des flocages à base d’amiante put être prise en 1977, c’est parce qu’ils avaient mis au point un procédé 25 ans plus tôt… qui fut un apport pour tous. Les demandes de M. BIGNON, avant qu’il ne rejoigne le C.P.A, n’auraient jamais pu aboutir sans la preuve que les matériaux de substitution existaient.

 

Je me souviens avertir Philippe : « Censier a été bâti sans permis de construire, et floqué sur des km de poutres de fer. Cela épingle les responsables ». Il répondait aussitôt : « La vitesse avec laquelle ils se désépinglent ». Il connaissait sur le bout du doigt ces officiels qui font durer l’horreur, ces chevilles persistantes du meurtre organisé.

 

Avec lui, nous étions loin la « mentalité fonctionnaire » redondante, que ce soit celle des hautes instances du CPA (Comité Permanent Amiante), ou de moindres échelons comme l’ANDEVA et Cie. Même enseigne, en fait. Trucs, jeux de pouvoir, ronds-de-jambes, compromis, omertà. L’ANDEVA et son avocat LEDOUX se sont aussi tus sur l’A.P.D.A de Dunkerque (3000 dockers touchés) parce que cette association ne faisait pas partie de leur clique (!?). Nous nous trouvions forcément dans une dimension où mensonges, médiocrité et redites, n’avaient plus cours. Loin des pratiques du Ministère de l’Éducation nationale telles qu’on les découvre dans L’Observatoire national de l’enseignement supérieur, ou certains rapports du C.C.H.S. (Comité Central Hygiène et Sécurité du Ministère chargé de l’enseignement supérieur et de la recherche).

 

On triche beaucoup dans ce ministère. Valérie PRÉCRESSE, l’actuelle ministre, écrira au Député-Maire JOISSAINS MASSINI : « Chère Maryse ». À la rigueur lui fera la bise, mais ne répondra jamais à ses questions sur l’amiante. En effet, Maryse JOISSAINS MASSINI a porté plainte contre 13 ministres, certains très connus (D.S.K, MONORY, FABIUS, etc.). La mort par amiante, ça ne pardonne pas. C’est irréversible, et ne sable aucun champagne. Pas de compromis avec la mort.

 

L’embrigadement ne cadre pas avec les exigences de Santé publique.

 

F.F.B. : L’activité de la société BLANDIN, entreprise du BTP spécialisée dans l’isolation par projection, sut contribuer naturellement sans passer par aucun rouage ni subterfuge. C’était simple et net.

 

Tant qu’il n’y aura pas le respect de l’autre, du travail accompli, de la vie humaine, de la précaution et la santé, nos officiels passeront à côté, morts à eux-mêmes et aux autres. L’Éducation nationale n’a pour but que de conditionner davantage, produire de nouveaux pions. Jamais assez. Les faire voter surtout.

 

Dès 1951 quand elle a vu le jour, la découverte salubre des trois frères éclaira l’horizon des risques pour tous. Tes parents connaissaient-ils les dangers de ces fibres cancérigènes irréversibles ?

 

F.F.B. : Les autorités en charge de l’école Centrale parlaient ouvertement des dangers. Le tableau 30 des maladies professionnelles dues à l’amiante avaient été créé un an plus tôt, en août 1950. Maladies inscrites déjà dès 1945 dans le tableau 25 qui regroupait les maladies dues à l’amiante et à la silice. Sur nos annonces et devis, il était précisé « sans amiante, sans silicate, sans silice libre ».

 

Michel, ton père, rencontrait-il des malades de l’amiante ?

 

F.F.B. : Il avait beaucoup d’amis parmi le personnel des entreprises concurrentes, qui utilisaient toutes l’amiante. Il les a vu disparaître les uns après les autres dès les années 50. Ces anciens du métier avaient repris leur activité après la guerre.

 

À quelle période fut inventé le procédé d’isolation par projection d’un flocage d’amiante ?

 

F.F.B. : Dans les années 20 sont apparus les premiers procédés de flocage, tous à base d’amiante. Le procédé anglais, le LIMPET, utilisé dans le monde entier, principalement dans les chantiers navals, pour la réparation des flocages dégradés, protégeait la coque et les séparations de compartiments. Les compagnies n’assuraient les navires qu’à condition qu’il y ait des protections anti-feu à base d’amiante.

 

Et votre historique ?

 

F.F.B. : Mon oncle Henri suivait ses études d’ingénieur à Centrale. Avec un stage de fin d’Étude dans une entreprise de projection d’amiante. Il se trouvait rattaché à la direction de l’entreprise, parfaitement au courant des risques. Raison pour laquelle Henri a voulu créer une entreprise d’isolation protégée, élaborée avec ses deux frères. Il n’y avait, malheureusement, aucune machine capable de projeter des fibres de roche. Il a fallu la concevoir et déposer un brevet. Les informations sur les dangers restaient secrètes. Seuls les industriels du BTP étaient au courant de dégâts énormes et de morts d’hommes.

 

Ces industriels semblent, hélas, tellement pris dans les rouages imposés par cette société. Vois le manque de passion que je rencontre chez nos experts et personnes concernées : j’avais supplié plusieurs fois Henri PEZERAT (le scientifique de l’Andeva), Yves HUBERT (le toxicologue), et Marcel SUSZWALAK (le docker de Dunkerque), de venir rencontrer Philippe dans son jardin aux bambous, rue Sambre et Meuse. Une chance. Et un lieu ! Une occasion de rencontre humaine. Lui, les attendait. De plus, Marcel et lui s’écrivaient. Mais aucun des trois ne s’est déplacé sur deux ans (!?). J’en suis resté abasourdi, réalisant l’état de démission et manque d’intérêt qui existe dans ce pays. Un « chacun pour soi », pris, grippé, en premier chef. Le « moi d’abord, et le reste on s’en fout ». L’autre n’est plus rien dans cette mentalité égoïste générale... auto-satisfaite, renfermée.

 

Mais l’autre, c’est soi. Surtout avec l’amiante. Les spécialistes qui devraient être concernés ne l’ont toujours pas compris et sans doute jamais. Ils ont tué l’enthousiasme, la découverte, l’exploration. La simplicité. La réalisation. La compassion. Quelque part, il leur manque une case essentielle, la case départ.

 

Toute une mentalité encastrée reste à éradiquer. C’est sans espoir. Sauf si le système financier s’écroule entièrement. Ce sera notre chance à souhaiter, la fin de cette corruption criminelle collective, apathique et inutile. Car sans argent, ces personnages soit disant importants et ceux qui les suivent n’existent plus. Leur poudre aux yeux s’évanouit. Leur façade ne fait que cacher une monstrueuse réalité, la mort par amiante en France.

 

 

 

Michel Langinieux, le 29 janvier 2009


Pièce sous-côte2:


Plainte à l'encontre de l'État français, son ministère public,

ses pouvoirs exécutifs et pouvoirs publics.


Monsieur le Procureur du Tribunal pénal international


Les questions de prévention en France relèvent essentiellement du Livre II, Titre III du Code du travail. Ce livre II trouve son origine dans la Loi du 13 juin 1893 sur la protection, l'hygiène et la sécurité, contre les poussières industrielles. Le Rapport parlementaire sur l'amiante initie l'affaire à cette même date : un "drame de la santé au travail sans précédent". Les recherches de Madame PRADA-BORDENAVE, Maître des requêtes au Conseil d'État, et de Monsieur Pierre SARGOS, Président de la Chambre Sociale de la Cour de cassation, confirment cette position, ainsi que l'obligation de sécurité de résultat instituée par le Décret du 11 mars 1894. Il est maintenant prouvé depuis 115 ans, plus spécifiquement depuis 1906, que l'on attrapait des maladies mortelles dans les usines dès 1890 à 1895 pour l'amiante ; et que l'État n'a rien fait : double carence du devoir de réglementation et du devoir de contrôle de l'application (Pièce 10). Or, la législation française a créé à l'encontre de l'État une véritable obligation de police qui s'attache à la sécurité des personnes. Se manifeste, dès lors, une catastrophe sanitaire sans précédent, l'inspection du travail n'ayant finalisé aucune enquête des décennies durant, et l'État enfin reconnu responsable de "carences fautives" par le Conseil d'État, le 3 mars 2004. Pis : face à l'inefficacité des incriminations pénales et l'échec du système de prévention des risques professionnels, aucun employeur déféré devant les juridictions compétentes n'a été de ce jour, mis en prison. Aucun empoisonneur n'a été arrêté. Cet état de fait a donné latitude aux employeurs responsables de persister en toute impunité, à empoisonner autrui de fibres irréversibles, et rouler sans scrupules des concitoyens dans leur farine amiantée. Plus grave, aucun Procureur de la République ne fut à l'origine de poursuites. Aucune modification de la politique pénale désastreuse menée dans ce domaine n'a été envisagée. L'on tue depuis un siècle des populations entières en France, en toute connaissance de cause, alors qu'aucun officiel n'agit dans un pays anesthésié, paralysé d'indifférence et de peurs. Des centaines de milliers de victimes passées et à venir cumulent, face à un immobilisme établi d'inexistence civique, juridique, politique. À la merci de pouvoirs exécutifs littéralement absents - il semble n'y avoir personne en charge depuis la loi de 1893 - alors même qu'une foison inextricable de mots imbriqués dans des mots remplace les faits, que le faire semblant remplace le faire, notre pays se trucide sous des siècles de conditionnements traditionnels, dans l'incapacité d'appréhender une réalité et de la résoudre. La vie humaine se voit, à ce point, traitée en sous-produit, une quantité négligeable. L'indispensable nécessité de recherche, de prévention, de médecine du travail, a été supprimée. Une même réponse administrative - un seul "parle toujours" - témoigne que personne ne prend responsabilité (l'Abbé PIERRE pendant 50 ans lança son S.O.S. pour récolter inexorablement le même refus, ce même non-recevoir qui élude sens, discernement, capacité d'agir et de participer). Tel "NON" à la base reste un "NON" d'office. Cette inexistence imposée tue. La France dévoile finalement l'envers de son décor, un système loin de l'image qu'elle apprécie projeter.

L'argent y passe avant les gens. Avant les enfants. La valeur la plus sacrée, la vague montante, devient victime d'empoisonnements collectifs.
D'ici dix ans, la moitié de la population enfantine sera affectée à un niveau ou un autre, par un poison ou un autre, irradiations incluses. Les chiffres actuels s'annoncent catastrophiques. Le pays, incapable de redresser la barre, s'enfonce dans une criminalité économique : Atteinte systématique aux droits de l'Homme, aux droits fondamentaux des citoyens : Abus de confiance. Associations de malfaiteurs. Meurtres autorisés. Abus d'autorité. Corruption. Faux et usage de faux. Atteinte à la liberté d'expression. Atteinte à l'action de la justice. Empoisonnements systématiques de la population civile. Inertie de l'ordre social. . Ces chefs d'accusation dénoncent des :
CRIMES CONTRE L'HUMANITÉ. LA NON-DÉNONCIATION DE CES CRIMES. Non-assistance à personne en danger. Mise en danger délibérée de la vie d'autrui. Administration de substances nuisibles. Empoisonnement par exposition forcée de poussières d'amiante et de plomb contre les personnes (ou tout autre chef pouvant apparaître au cours de l'instruction). . Ces chefs d'accusation renforcent : LE CRIME SOCIÉTAL DE L'ÉTAT. DES CRIMES CONTRE L'ORGANISME HUMAIN PERPÉTRÉS PLUS D'UN SIÈCLE. Les rapports parlementaires et du Sénat sur l'amiante - étayés, fouillés - débouchent sur une réalisation noir sur blanc, irréversible : les États Généraux de l'état d'immobilisme en France soulignant un acte fautif de 150 années environ, dû à l'indifférence, l'apathie, la morgue. Quelques phrases clef du Rapport du Sénat définissent cette situation extrême d'omertà, et impliquent l'incurie de la médecine du travail et de la magistrature plus précisément ces 40 dernières années (Pièce 12). Les pouvoirs publics Français se sont trouvés pendant plus d'un siècle, dans l'incapacité de comprendre, réparer, tirer des leçons pour l'avenir. - Dès lors, la catastrophe sanitaire (page 9 de ces rapports). - L'épidémie à venir inéluctable et irréversible (page 10) : . L'INSERM prédit de 10.000 à 20.000 décès par an en France entre 2010 et 2020 (soit 100.000 au mieux et 200.000 au pis, sur 10 ans). Ce mal se perpétuera jusqu'en 2050 à 2060 environ. . La Fédération Française des Sociétés d'Assurances (FFSA) arrive aux mêmes conclusions : 100.000 à 200.000 décès dans les 20 prochaines années (Le Monde, 26 juin 2002). - L'inertie de nos décideurs (page 12). - Les risques de l'amiante, depuis quarante ans au moins, étaient connus, documentés, accessibles aux scientifiques, aux médecins, aux inspecteurs du travail, aux gestionnaires des régimes sociaux, aux fonctionnaires des administrations centrales concernées, pour peu que ceux-ci se donnassent la peine de chercher l'information et de la faire remonter aux décideurs, c'est-à-dire aux pouvoirs publics (page 14) : - Le dossier pénal pourrait être le plus important du siècle (page 15). Crime sociétal (Mission parlementaire, page 15). L'acte fautif (Mission parlementaire, page 357). - Une véritable culture du mensonge (page 35). - L'indifférence de l'ensemble des acteurs, employeurs et pouvoirs publics notamment qui, dans cette affaire, est inexplicable. Une indifférence singulière face à une menace connue de longue date (page 35). - L'administration incapable de passer de la connaissance à la prise de décision (page 35) : - La passivité des "donneurs d'alerte" institutionnels (page 61) : - Le silence de la médecine du travail et de l'inspection du travail (page 64) : - L'État "anesthésié" (page 71). - L'État a failli à sa mission de sécurité au travail (page 76). - Le décret de 1977 (protection des travailleurs contre l'amiante) a été mal appliqué (page 88). - La responsabilité des employeurs (page 93). - La responsabilité de l'État confirmée plusieurs fois pour défaut de réglementation spécifique, tardive, insuffisante (page 99). - La responsabilité pénale (page 102). - Les procédures pénales bloquées devant les tribunaux (couverture arrière de l'ouvrage sur les rapports). - Le ministère de la Justice responsable de l'action publique et des politiques d'action publique (page 104). La violation de la loi (Mission parlementaire, page 365 et 398). - Le risque d'amiante encore présent (page 194). - Les populations principalement exposées dans les bâtiments scolaires et universitaires (pages 199 à 201). Ces rapports du Sénat (2005) et de l'Assemblée nationale (2006) - bien qu'éludant ouvertement les témoignages de victimes (les élites seules ont droit à la parole !) - tiennent lieu d'acte d'accusation. Ces rapports incriminent la responsabilité de l'État. Un acte juridique international devant la démission de la France devient nécessité absolue. L'Europe doit pallier aux carences fautives cernant ce drame hors norme : ainsi fournir une expertise publique internationale pour peser sur l'intolérable. En effet, aucune structure institutionnelle ne pourra être indépendante ICI, sous une mainmise qui s'apparente à une main basse. Une véritable junte hypocrite, manipulatrice et sophistiquée, viole systématiquement la loi, la justice, la démocratie. "L'élite française ne fait plus évoluer le monde" dirait Madame Eva JOLY. * Pour illustrer ce tableau de fond, un exemple notoire : l'université la Sorbonne Nouvelle, à Paris, démontre les façons dont les poisons, les affaires et la justice s'administrent en France. La loi de l'inertie reste la plus forte. Voici présentée sur une recherche personnelle de 12 années (juillet 1996), cette catastrophe bien cachée. . Avril 1964 : Le Centre Censier fut construit (sans permis), floquant d'amiante 6 km et demi de poutres de fer, tout en ignorant les règles d'urbanisme (Pièce 1). Sacré coup d'envoi de l'Éducation Nationale sur des mensonges et l'illégalité. . 1979 à 1983 : Les bâtiments amiantés sont encoffrés (assurés 10 ans), en oubliant armoires techniques et puits d'ascenseurs qui continuèrent à polluer de 30 à 35 ans. . 1993-1994 : Travaux de "surélévation de la bibliothèque" accomplis sans précautions (un bâtiment de trois étages implanté dans deux bâtiments reconnus amiantés, sur des poutres floquées). Avec l'effet de libérer des pics de fibres cancérigènes par milliards de milliards sur la Fac et le quartier. "Ces travaux ont fait l'objet d'un avis favorable de la Commission de sécurité. Signé la Direction de protection du public, le 3 février 1993", soit six mois avant le début des travaux dangereux. Travaux accomplis sous l'œil de la Préfecture de police, la Commission de Sécurité, la SOCOTEC et les officiels de Censier. Preuve accablante de ces catastrophes sanitaires autorisées en France en connaissance de cause, impliquant les pouvoirs publics et la Sorbonne Nouvelle, dont l'intendant Bernard DHOOGE agent ACMO, en charge de l'hygiène et de la sécurité, et les architectes responsables. (Pièce 2). . Avril 1995 : Mort de la technicienne Jacqueline SUZZONI d'un cancer de la plèvre, 31 années après la construction de Censier (suivie d'une dizaine de décès de broncho-pneumonie et de 17 malades). Sans aucune enquête indépendante, même prévue. . Juillet-août 1995 : Déflocage sauvage des cages d'ascenseurs par une entreprise non certifée, sans sas, sans combinaisons, sans douches, sans précautions, gardant les personnels sur place, les travailleurs en shorts, à la suite des mauvais chiffres relevés dans le couloir du 5e et la salle de classe 510 par le laboratoire L.H.C.F, le 2 juin 1995. . Décembre 1996 : L'administration de la Sorbonne Nouvelle reconnaît, après l'expertise du Bureau VERITAS du 13 août 1996 "Coffrages endommagés, zones dégradées, traversées des câbles, têtes techniques non-protégées. Envisager des travaux de traitement du flocage en tête des gaines techniques aux R+5" :
- "Un taux élevé de pollution dans le couloir du Cavi". "Présence d'amiante non stabilisé dans les deux ascenseurs par la société OTIS". "État de dégradation de ce flocage". "Déposer les deux trémies par une société spécialisée (juillet-août 95)". Or, il n'y avait pas de "société spécialisée" en 1995. "Un pied de poteau a relevé une présence d'amiante". "La partie supérieure des gaines techniques n'a pas été traitée et le joint de dilatation entre les bâtiments n'est pas étanche". "Une opération de stabilisation ou de dépose sera entreprise dès cette année (vacances été 1997) sur la partie supérieure des gaines techniques et sur les joints de dilatation" : SANS SUIVI. "La protection mécanique des poteaux sera améliorée. Ces interventions sont prévues pour les vacances de Noël 1996". SANS SUIVI. Censier la Sorbonne Nouvelle s'épingle naturellement, ainsi que son Ingénieur expert Alain CARREY qui, lui, affirme en 1998 deux ans après, le contraire de ce rapport administratif. (Pièce 3). . Août 1998 : Désastre majeur durant un dépoussiérage des armoires techniques par une entreprise non-certifiée. Taux montant jusqu'à 480 f/l d'air (dix ans plus tard, la Sorbonne Nouvelle refuse toujours de montrer les chiffres du labo FLLA sur le papier). En portant plainte contre le Bureau VERITAS, S.A. COMOBAT et EUROSAN DÉCONTAMINATION, Ordonnances de référé 28 octobre 1998, ref. 62972/98 (KL), 18 novembre 1998, ref. 63550/98 (FF), 13 nov. 1998, ref. 63808/98 (KL), le Maître d'Ouvrage (la Fac Censier) reconnaît implicitement sa responsabilité dans le choix d'une entreprise non-qualifiée (Arrêté 26 décembre 1997, sur l'Article 5.1 du 14 mai 1996 : l'obligation de qualification des entreprises). . Novembre 1998 : Note urgente de l'expert judiciaire Marcel DELPORTE : "J'ai conclu à la subsistance d'un risque réel d'exposition et d'inhalation de poussières d'amiante pour les personnes, ainsi qu'à l'existence d'un risque réel de pollution environnementale. J'ai affirmé l'urgence à faire cesser les raisons de l'exposition". Cette note fut cachée à sa Fac par le Président LEUTRAT qui affiche profusément le contraire sur tous les murs : "Au vu des résultats d'analyses et de ses propres constatations, l'expert judiciaire considère qu'il n'y a pas de danger pour les usagers" (!). Mensonge criminel s'il en est. . Juillet-août 1999 : Le ministère de l'Éducation nationale assainit les armoires techniques pour un coût d'environ 5,4 millions de francs.

. Le Chef du Service de l'intendance et agent de sécurité, M. Bernard DHOOGE, fit dès lors, ouvrir les gaines techniques interdites 25 ans durant, sans précautions, assurant "il n'y a pas d'amiante à Censier". Information annoncée sur la "requête de Michel LANGINIEUX à la C.E.D.H.", page 3. (Pièce 5). . Juillet 2000 : Suivant la Commission rogatoire de Philippe COURROYE du 17 décembre 1999, la police judiciaire cerne la responsabilité de Censier sur sept points de : - non-respect de l'obligation générale des risques (articles 2 et 27). - non-respect de l'information et la formation des travailleurs (articles 3 et 4). - non-respect des moyens de protection collective et individuelle (articles 5, 28, 29, 30). - non-respect du contrôle d'une valeur limite (articles 5 et 30). - non-respect des mesures d'hygiène (article 6). - non-respect de l'obligation d'établir une fiche d'exposition (article 31). - non-respect de la mise en œuvre d'une recherche médicale appropriée (article 32). Aucun des magistrats impliqués n'en a tenu compte. . 76 magistrats - soixante-seize - furent concernés par cette affaire (incluant la chaîne de contrôle) en totale non-application de droit administratif et pénal : l'incapacité de ces spécialistes d'accomplir leur travail juridique se voit couchée sur leurs écrits, avec noms, prénoms, fonctions. . Mai 2002 : Ordonnance de non-lieu du Juge Michèle VAUBAILLON : "Il n'existe pas de danger pour le personnel et les étudiants de la faculté". Ordonnance incomplète imprimée sans les notifications requises (Art. 183, 507, 508, C. p.p.). Il s'agit pourtant d'un droit constitutionnel européen (pièce 4). . Malades et morts de cancers du poumon persistent et cumulent, d'où la recherche de Michel LANGINIEUX envoyée au Président de l'Assemblée Nationale Jean-Louis DEBRÉ. Ce dernier avait posé une question aux Ministres De ROBIEN et BERTRAND sur l'état de lieux (pièce 11). . Septembre 2007 : Malgré le signal d'alarme lancé aux plus hauts officiels, rien ne bouge (sauf pour une reconnaissance et grand nombre de remerciements) (Pièces 6 et 7). . Mars 2008 : Défense de Maître Alexandre FARO pour Michel LANGINIEUX devant la 17e chambre correctionnelle, contre une double "diffamation" de la partie adverse (Pièce 13). Partie intrinsèque de ma plainte initiale, je porte plainte en tant qu'étudiant de 1993 à 1997, contre l'Université la Sorbonne Nouvelle et tous responsables impliqués, y compris l'avocate Anne WILLIÉ qui, depuis dix ans, gagne sa vie sur la vie des étudiants (Pièce 14). Atteinte systématique aux droits de l'Homme, aux droits fondamentaux des citoyens : Abus de confiance. Meurtres autorisés. Abus d'autorité. Corruption. Faux et usage de faux. Atteinte à la liberté d'expression. Atteinte à l'action de la justice. Non-assistance à personne en danger. Mise en danger délibérée de la vie d'autrui. Administration de substances nuisibles. Empoisonnement par exposition forcée de poussières d'amiante contre les personnes (ou tout autre chef pouvant apparaître au cours de l'instruction). Plainte également contre les associations nationales "des victimes de l'amiante", L'ANDEVA, LE COMITÉ ANTI AMIANTE JUSSIEU, BAN ASBESTOS, ainsi que leurs avocats et experts, pour s'être tus sur ce drame, en toute connaissance de cause pendant onze ans.
Non-assistance à personnes en danger, indifférence, népotisme, incapacité d'action et de compassion. Inexistence civique.
Notre démocratie qui a su éventrer l'Afrique depuis plus de 60 ans se retourne de nos jours, délibérément contre les siens, petits et grands : amiante, plomb, mercure, aluminium, métaux lourds. Ces plaintes annoncent, à ce point, une plainte globale qui inclura les empoisonnements collectifs imposés : deux prochaines déferlantes concernent les pesticides, et les antennes G3 (UMTS). Cette plainte globale pourra inclure toute autre plainte ciblée, ainsi celle de l'A.S.E. contre Censier, jointe (pièce 8), ou les possibilités d'agir offertes (pièce 9).


Monsieur le Procureur, Je déclare, en conscience et loyauté, exacts les renseignements qui figurent sur cet envoi. Renseignements indispensables pour la défense des citoyens français et des étudiants internationaux, face à la criminalité et corruption étatiques subies ici. C'est une question de dignité : sauvegarder les droits de l'homme devant des violations graves d'associations criminelles qui utilisent les rouages d'une démocratie incapable d'assumer, pour exercer en toute impunité leurs méfaits sur le peuple sans souci des enfants. Avec mes respects,"

 

 

 

 Plainte déposée par leur EXCELLENCE FRÉDÉRIC BERGER, représentant de l'État de SAVOIE, le 26 septembre 2009, auprès de MR LE PROCUREUR de la COUR PENALE INTERNATIONALE de la HAYE.

                    Pour faire valoir ce que de droit.

                              Son EXCELLENCE FREDERIC BERGER


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