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2 septembre 2011 5 02 /09 /septembre /2011 16:34

L'ECHO DES MONTAGNES, dans le légitime but de vous informer, continue sa lutte contre les jérusalistes-maçonniques-sataniques-bankster, qui se réunissent en G8 ou G20 ou G "DSQ".





Preuve en est l'article super de DEAN  HENDERSON:


En 1789, Alexandre Hamilton devint le premier secrétaire au trésor (NdT: ministre des finances) des États-Unis d’Amérique. Hamilton était un des nombreux pères fondateurs qui étaient franc-maçons.

Il avait des relations étroites avec la famille Rothschild, qui était propriétaire de la Banque d’Angleterre et était le leader du mouvement franc-maçon européen. Georges Washington, Benjamin Franklin, John Jay, Ethan Allen, Samuel Adams, Patrick Henry, John Brown, et Roger Sherman étaient tous franc-maçons. Roger Livingston aida Sherman et Franklin a écrire la déclaration d’indépendance des Etats-Unis. Il donna à George Washington ses voeux de prises de fonction alors qu’il était le grand maître de la grande loge maçonnique de New York. Washington lui-même était le grand maître de la loge de Virginie. Des généraux de la révolution américaine, 33 étaient des franc-maçons.

Ceci était très symbolique puisque les maçons du 33ème degré deviennent Illuminés. [1]Les pères fondateurs populistes emmenés par John Adams, Thomas Jefferson, James Madison et Thomas Paine, dont aucun d’entr’eux n’était franc-maçon, voulaient couper complètement les ponts avec la couronne britannique, mais furent subjugués par la faction maçonnique emmenée par Washington, Hamilton et le grand maître de la loge St Andrews de Boston, le général Joseph Warren, qui voulurent “défier le parlement, mais rester loyal à la couronne.” La loge St Andrews était au cœur de la franc-maçonnerie du nouveau monde et commença à distribuer des degrés de chevaliers du temple en 1769.[2]

Toutes les loges maçonniques américaines sont jusqu’à aujourd’hui garanties par la couronne britannique, qu’elles servent en tant que centre de renseignement global et de réseau de contre-révolution et de subversion.

Leur initiative la plus récente est le programme maçonnique d’identification infantile (NdT:CHIP pour Child Identification Program). D’après Wikipedia, les programmes CHIP donnent l’opportunité aux parents de créer gratuitement un kit de matériaux d’identification de leur enfant. Ce kit contient une carte avec les empreintes digitales, une description physique, une vidéo, un DVD de l’enfant, une impression dentaire et un échantillon d’ADN.

Le premier congrès continental se rassembla à Philadelphie en 1774 sous la présidence de Peyton Randolph, qui succéda à Washington comme grand maitre de la loge de Virginie. Le second congrès eut lieu en 1775 sous la présidence du franc-maçon John Hancock. Le frère de Peyton, William, lui succéda comme grand maître de la loge et devint le chef de file des supporteurs de la centralisation et du fédéralisme à la première convention de 1787. Le fédéralisme qui est au cœur de la constitution américaine est identique au fédéralisme exprimé dans la constitution franc-maçonne anderson de 1723. William Randolph devint le premier ministre de la justice de la nation et secrétaire d’état de Georges Washington.

Sa famille retourna en Angleterre, loyale à la couronne. John Marshall, le premier juge de la cour suprême de la nation était aussi un franc-maçon.[3]

Quand Benjamin Franklin voyagea en France pour trouver un financement pour les révolutionnaires américains, tous ses meetings eurent lieu dans les banques Rothschild. Il passa des contrats d’armement avec le franc-maçon allemand le baron Von Steuben. Ses comités de correspondance opéraient au travers des couloirs de communication maçonniques et étaient en parallèle d’un réseau espionnage britannique.

 

En 1776, Franklin devint le de facto ambassadeur en France. En 1779, il devînt le grand maître de la loge française des Neuf Sœurs, à laquelle appartenaient John Paul Jones et Voltaire. Franklin était aussi un membre de la plus secrète loge royale des commandeurs du temple ouest de Carcassonne, dont un des membres était Frederick Prince de Galles. Tandis qu’il prêchait la tempérance aux Etats-Unis, il s’encanaillait allègrement avec ses frères de loge en Europe. Franklin servit de 1750 à 1775 comme receveur général, un rôle souvent relégué aux espions britanniques.[4]

Avec le financement de Rothschild, Alexandre Hamilton fonda deux banques à New York, dont la banque de New York.[5] Il mourut dans un duel au pistolet avec Aaron Burr, qui fonda la banque de Manhattan avec l’aide financière de Kuhn Loeb. Hamilton épitomisait le dédain que les huit familles vouaient au commun des gens en disant: “Toutes les communautés se divisent entre le peu et le nombreux. Les premiers sont les riches et les bien-nés, les autres la masse du peuple… Les gens sont turbulents et changent sans cesse; ils ne peuvent bien juger que très rarement. Il faut donc donner à la première classe une part distinctive et permanente du pouvoir. Ils équilibreront le manque de stabilité de la seconde classe.”[6]

Hamilton ne fut que le premier d’une série de huit familles inféodées à devenir secrétaire au trésor (NdT ministre des finances). Plus récemment,  le secrétaire au trésor de Kennedy était Douglas Dillon, venant de la famille Dillon Read (maintenant partie de UBS Warburg). 

 

Les secrétaires deNixon David Kennedy et William Simon provenaient respectivement de la banque continentale de l’Illinois (maintenant sous contrôle de la Bank of America) et Salomon Frères (aujourd’hui partie de Citigroup). Le secrétaire au trésor de Carter Michaël Blumenthal venait de Goldman Sachs, celui de Ronald Reagan, Donald Regan, venait de Merill Lynch (maintenant Bank of America), celui de Bush père Nicholas Brady venait de Dillon Read (UBS Warburg), les deux secrétaires au trésor de Clinton et de Bush fils, respectivement  Robert Rubin et Henry Paulson venaient de Goldman Sachs; Tim Geithner sous Obama venait de Kissinger Associates et ancien président de la banque fédérale de New York.

 

Thomas Jefferson a toujours défendu l’idée que les Etats-Unis devaient avoir une banque centrale publique de telle sorte que les monarques européens et les aristocrates ne puissent pas utiliser l’impression de la monnaie pour contrôler les affaires de la nation. Jefferson visionnairement déclara: “Un pays qui attend de rester ignorant et libre, attend ce qui n’a jamais existé et n’existera jamais. Il n’y a pas un roi sur cent qui, s’il le pouvait, ne suivrait pas l’exemple des pharaons en prenant d’abord tout l’argent du peuple, puis toutes les terres pour faire du peuple et de ses enfants ses serviteurs à tout jamais… Les établissements banquiers sont plus dangereux que les armées ennemies. Ils ont déjà levé une aristocratie de l’argent.” Jefferson observa la prise de contrôle des Etats-Unis par la conspiration euro-bancaire, pesant dans la balance il déclara: “des actes de tyrannie simple peuvent être attribués à la conjoncture du moment, mais une série d’oppressions a débuté à un moment précis et de manière inaltérable au cours des changement de ministères et qui prouve de manière trop évidente le plan systémique de nous réduire tous en esclavage.”[7]

Mais les arguments de Hamilton sponsorisés par Rothschild en faveur d’une banque centrale états-unienne privée l’emportèrent. En 1791, la Banque des Etats-Unis (NdT que nous nommerons dorénavant ici BEU) fut fondée, avec les Rothschilds comment actionnaires principaux. La charte de la banque devait expirer en 1811. L’opinion publique était en faveur de révoquer la carte et de la remplacer par une banque centrale publique de type jeffersonien. Le débat fut repoussé alors que la nation fut plongée par les banquiers européens dans la guerre de 1812. Dans un climat de peur et de détresse économique, la charte de la BEU fut renouvelée jusqu’en 1816.

Old Hickory, Honest Abe & Camelot

En 1828, Andrew Jackson se présenta à la présidence des Etats-Unis. Tout au long de sa campagne électorale, il fustigea les banquiers internationaux qui contrôlaient la BEU. Jackson râlait: “Vous êtes un nid de vipères. J’ai l’intention de vous exposer et par dieu éternel, je vais vous extirper de là. Si le peuple comprenait le niveau d’injustice amené par notre système bancaire, il y aurait une révolution avant demain matin.” Jackson gagna les élections et révoqua la charte de la BEU. “L’acte de la charte semble être basé sur l’idée erronée que les actionnaires actuels de la banque ont un droit prescriptif sur non seulement les faveurs du gouvernement, mais aussi sur ses récompenses.. Pour leur profit, l’acte exclut le peuple américain de la compétition à l’achat de ce monopole. Les actionnaires actuels et ceux qui héritent de leurs droits en tant que successeurs, établissent un ordre privilégié, habillé de grande puissance politique et jouissent d’immense avantages pécuniaires de par leur connexion avec le gouvernement.

 

N’y aurait-il pas péril en la demeure si par les vertus d’un tel acte légal qui concentre l’influence dans les mains d’un directoire auto-élu, dont les intérêts s’identifient à ceux d’actionnaires étrangers; N’y aurait-il pas sujet à trembler pour l’indépendance de notre pays en guerre… pour contrôler notre monnaie, recevoir nos budgets publics et retenir l’indépendance de milliers de nos citoyens; ceci serait plus dangereux et plus formidable que la puissance militaire et navale de l’ennemi. Il est regrettable que les riches et puissants plient trop souvent pour leur seul profit les actes du gouvernement… Pour rendre les riches plus riches et plus puissants. Beaucoup de nos riches citoyens ne sont pas satisfaits de la protection égalitaire et des bénéfices égaux, ils nous ont en revanche induit à les rendre plus riches par actes du congrès. J’ai rempli mon devoir envers mon pays.”[8]

Le populisme prévalut et Jackson fut ré-élu. En 1835, il fut la cible d’une tentative d’assassinat. Le tireur était un certain Richard Lawrence qui confessa qu’il “était en contact avec des puissances en Europe”.[9]

En 1836, Jackson refusa toujours de renouveler la charte de la BEU. Sous son mandat, la dette nationale états-unienne revînt à zéro pour la première et dernière fois de l’histoire de notre nation. Ceci rendît furieux les banquiers internationaux, qui dérivent une grosse partie de leurs revenus du repaiement des intérêts de la dette des nations. Le président de la BEU Nicholas Biddle coupa le robinet des fonds au gouvernement états-uniens en 1842, plongeant le pays dans une dépression économique. Biddle était un agent de la banque de Paris Jacob Rothschild.[10] 

 

De plus, la guerre avec le Mexique fut également déclenchée contre Jackson. Quelques années plus tard, la guerre civile fut déclanchée avec les banquiers de Londres finançant le Nord et les banquiers de France finançant le Sud.

La famille Lehman fit une fortune en passant des armes au Sud et du coton au Nord. En 1861, les Etats-Unis étaient de nouveau endettés de 100 millions de dollars. Le nouveau président Abraham Lincoln se joua lui aussi des banquiers européens en faisant imprimer les fameux “Lincoln Greenbacks” pour payer les factures de l’armée du Nord.

Le journal des Rothschild “Times of London” écrivit: “Si cette politique malicieuse qui a son origine dans la république d’Amérique du nord, devait devenir à la longue une réalité fixe, alors ce gouvernement pourra fournir sa propre monnaie sans coût. Il paiera ses dettes et sera sans dette. Il aura tout l’argent nécessaire pour subvenir à son commerce. Il deviendra prospère au-delà de tout ce qui a été vu jusqu’ici dans l’histoire des gouvernements civilisés du monde. Le savoir-faire et la richesse de tous les pays ira en Amérique du Nord. Ce gouvernement doit être détruit ou il va détruire toutes les monarchies de la planète.”[11]

Le Périodique, pamphlet des euro-banquiers “Hazard Circular” fut dénoncé par les populistes en colère. Le périodique déclarait: “La grande dette que les capitalistes vont créer est faite de la dette générée par la guerre et doit être utilisée pour contrôler la valeur de la monnaie. Pour ce faire, des bons du trésor doivent être imprimés et utilisés comme base bancaire. Nous attendons maintenant le secrétaire au trésor Salmon chase qui doit faire cette recommandation. Cela ne permettra pas de faire circuler les greenbacks comme monnaie, car nous ne pouvons pas contrôler cela. Nous contrôlons les bons du trésor et à travers eux le système bancaire.” La loi sur la banque nationale de 1863 réinstaura la banque privée centrale américaine et des bons de guerre de Chase furent émis. Lincoln fut ré-élu l’année suivante, jurant de répudier cette loi après avoir pris ses fonctions en 1865. Avant qu’il ne puisse faire quoi que ce soit, Lincoln fut assassiné au théâtre Ford par John Wilkes Booth. Booth avait des connexions importantes avec les banquiers internationaux. Sa petite fille écrivit un livre “Cet acte fou” qui décrit dans le détail les relations de Booth et ses contacts avec “de mystérieux européens” juste avant l’assassinat de Lincoln.

Après avoir tiré sur Lincoln, Booth fut aidé par des membres d’une société secrète connue sous le nom de Chevaliers du Cercle Doré (CCD). Cette société avait d’étroites relations avec la société française des saisons, qui produisit Karl Marx. CCD ont fomenté beaucoup de la tension qui causa la guerre civile et le président Lincoln avait ciblé particulièrement ce groupe. Booth était membre des CCD et était connecté par le truchement du secrétaire d’état de la confédération Judah Benjamin à la maison des Rothschild. Benjamin s’enfuit en Angleterre après la guerre civile. [12]

Près d’un siècle après l’assassinat de Lincoln pour a voir fait imprimer les greenbacks, le président John F. Kennedy se trouva lui aussi sous les feux des huit familles.

 

Kennedy avait annoncé une “descente” sur les paradis fiscaux et proposa une augmentation des impôts pour les grandes compagnies minières et pétrolières. Il supportait l’élimination des vides juridiques qui permettaient l’évasion fiscale des super-riches. Ses politiques économiques furent publiquement attaquées par le magazine “Fortune”, le Wall Street Journal et à la fois David et Nelson Rockefeller. Même le propre secrétaire au trésor de Kennedy Douglas Dillon, qui venait de la banque d’affaires Dillon Read (UBS Warburg) s’opposa aux propositions de Kennedy. [13]

Le destin de Kennedy fut scellé en Juin 1963 quand il autorisa l’impression par son département du trésor de la somme de 4 milliards de dollars dans une tentative de contre-balancer le taux d’intérêt usurier pratiqué par la clique des banquiers internationaux en contrôle de la banque privée de la réserve fédérale. La femme de Lee Harvey Oswald, qui fut abattu par Jack Ruby, lui-mème abattu, dit à l’écrivain A.J. Weberman en 1994: “La réponse à l’assassinat de Kennedy est à chercher avec la banque fédérale. Ne  sous-estimez pas ceci. Il est faux de blâmer l’assassinat sur Angleton et la CIA seulement. Ils ne sont qu’un doigt de la même main. Les gens qui  fournissent l’argent sont au dessus de la CIA.”[14] Dû au zèle du nouveau président Lyndon Johnson qui de suite hypertrophia la guerre du Vietnam, les Etats-Unis s’enfoncèrent bien plus dans la dette. Ses citoyens furent terrorisés à garder le silence. S’ils peuvent tuer le président; ils peuvent tuer n’importe qui.

 

La maison Rothschild

 

La maison hollandaise des Orange fonda la Banque d’Amsterdam en 1609 comme étant la première banque centrale de l’histoire mondiale. Le prince William d’Orange se maria dans la maison anglaise des Windsor, prenant pour épouse Marie, la fille du roi James II. La confrérie de l’ordre d’Orange, qui a fomentée récemment la violence protestante en Irlande du Nord, mit William III sur le trône d’Angleterre d’où il régna sur à la fois l’Angleterre et la Hollande. En 1694, William III fît alliance avec l’aristocratie britannique pour lancer officiellement la Banque d’Angleterre. La vieille dame de la rue du chas d’aiguille, comme est connue la Banque d’Angleterre, est entourée de murs de 9 mètre de haut. Trois étages en dessous est stocké la réserve d’or la plus importante au monde.[15]

Les Rothschilds et leurs partenaires consanguinement dégénérés des huit familles prirent le contrôle graduellement de la banque d’Angleterre. L’établissement quotidien de la valeur de l’or à Londres s’effectua à la banque N.M. Rothschild jusqu’en 2004. Comme l’assistant gouverneur de la banque d’Angleterre Georges Blunden le fit remarqué: “La peur est ce qui rend la puissance de la banque si acceptable. La banque est capable d’exercer son influence quand les gens sont dépendants de nous et ont peur de perdre leurs privilèges, ou quand ils ont peur.”[16]

Mayer Amschel Rothschild vendit les mercenaires allemands hessiens du gouvernement britannique pour combattre contre les révolutionnaires américains, envoyant les dividendes à son frère Nathan à Londres, où la banque Nathan and Meyer Rothschild & fils (NdT: connue sous le vocable N.M Rothschild) était établie. Mayer était un élève sérieux de Cabala et commença sa fortune avec de l’argent sous-tiré d’un administrateur royal de William IX opérant dans la région du Hesse-Kassel et un franc-maçon connu.

Barings, contrôlée par Rothschild, domina le commerce de l’opium chinois et des esclaves africains. Il finança l’achat de la Louisianne (NdT: à Napoléon). Quand plusieurs états refusèrent de payer leurs dettes, Barings soudoya Daniel Webster pour faire des discours prônant le repaiement des dettes. Les états tinrent leur ligne de refus, et en 1842, la maison Rothschild coupa le robinet d’argent plongeant les états-unis dans une dépression. Il a souvent été dit que la fortune des Rothschild dépendaient de la banqueroute des nations. Mayer Amschel Rothschild déclara: “Je ne m’intéresse pas de savoir qui contrôle les affaires d’une nation, aussi loin que je puisse contrôler sa monnaie.”

La guerre ne fut pas néfaste à la fortune familiale non plus. La maison des Rothschild finança la guerre de Prusse, la guerre de Crimée et la tentative britannique de saisir le canal de Suez aux Français. Nathan Rothschild fît un gros pari financier sur Napoléon à la bataille de Waterloo, tout en finançant également la campagne péninsulaire du duc de Wellington contre ce même Napoléon. Les deux guerres aux Etats-Unis contre le Mexique et la guerre civile, furent de véritables mines d’or pour la famille.

Une biographie de la famille Rothschild mentionne une réunion à Londres où un “syndicat banquier international” décida de monter le Nord contre le Sud des Etats-Unis comme partie intégrante de la stratégie du “diviser pour mieux régner”. Le chancelier allemand Otto Von Bismark dit une fois: “La division des Etats-Unis en des fédérations de force égale fut décidée bien avant la guerre civile. Les banquiers craignaient que les Etats-Unis déçoivent leur domination financière du monde. La voix des Rothschilds prévalut.” Le biographe de la famille Derek Wilson dit que la famille était le banquier officiel européen pour le gouvernement Etats-Unien et un grand supporteur de la BEU.[17]

Un autre biographe Neill Fergusson nota un “vide substantiel et non expliqué” dans la correspondance des Rothschild entre 1854 et 1860. Il a dit que toutes les copies des lettres émanant des Rothschild de Londres pendant la période de la guerre civile américaine “furent détruites sur ordre de partenaires successifs”.[18]

Des troupes françaises et britanniques avaient encerclé les Etats-Unis au faîte de la guerre civile. Les britanniques envoyèrent 11 000 soldats au Canada, contrôlé par la couronne britannique et qui protégeait les agents confédérés. Napoléon III de France installa un membre de la famille autrichienne des Habsbourg L’archiduc Maximilien comme empereur marionnette de Mexique, où les troupes françaises se massèrent à la frontière du Texas. Seule l’envoi et le déploiement à la 25ème heure de deux navires de guerre russes par le Tsar Alexandre II allié des Etats-Unis en 1863, empêcha une re-colonisation des Etats-Unis.{19]

La même année le Chicago Tribune écrivît: “Belmont (Auguste Belmont était un agent des Rothschild et avait une course de chevaux de la triple couronne nommée après lui) et les Rothschild… qui ont acheté les bons de guerre confédérés…”

Salmon Rothschild dit de Lincoln mort: “Il rejette toute forme de compromis. Il a l’apparence d’un paysan et ne peut raconter que des histoires de bars.” Le baron Jacob Rothschild était tout aussi flatteur à l’égard des citoyens américains, il commenta un jour au ministre états-unien envoyé en Belgique Henry Sanford à propos du plus du demi million de citoyens américains qui moururent lors de la guerre civile: “Quand votre patient est désespérément malade, vous essayez des mesures désespérées, y compris les saignées.” Salmon et Jacob ne faisaient que continuer une tradition familiale. Quelques générations auparavant Mayer Amschel Rothscild avait dit à propos de sa stratégie d’investissement: “Lorsque les rues de Paris sont inondées de sang… J’achète.”[20]

Les fils de Mayer Rothschild étaient connus sous le nom des cinq de Francfort.

Le plus vieux Amschel, s’occupa de la banque de Francfort avec son père, tandis que Nathan géra les affaires de Londres. Le plus jeune Jacob fut envoyé à Paris, tandis que Salomon dirigea la branche de Vienne et Karl celle de Naples. L’écrivain Frederick Morton estime que dès 1850, les Rothschilds pesaient 10 milliards de dollars.[21] Quelques chercheurs pensent que leur fortune aujourd’hui s’élèverait à plus de cent mille milliards de dollars.

Les Warburgs, Kuhn Loebs, Goldman Sachs, Schiffs, Rothschilds, se sont mariés entr’eux et forment une heureuse famille bancaire. La famille Warburg qui contrôle la Deutsche Bank et la BNP se lia avec les Rothschilds en 1814 à Hambourg, tandis que la puissante Jacob Schiff des Kuhn Loeb partagea ses quartiers avec les Rothschilds dès 1785. Schiff immigra aux Etats-Unis en 1865. Il joignit ses forces avec Abraham Kuhn et maria la fille de Salomon Loeb. Loeb et Kuhn épousèrent les sœurs de l’un l’autre ainsi fut scellée la dynastie Kuhn-Loeb. Felix Warburg se maria avec la fille de Jacob Schiff. Deux fille Goldman marièrent deux fils de la famille Sachs, créant ainsi Goldman Sachs. En 1806, Nathan Rothschild maria la plus âgée des filles de Levi Barent Cohen, un financier de renom à Londres.[22] Ainsi Abby Joseph Cohen de Merill Lynch et le secrétaire à la défense de Clinton William Cohen, sont des descendants probables des Rothschilds.

Aujourd’hui, les Rothschilds sont à la tête d’une empire financier extensif, qui implique des parts importantes dans la plupart des banques centrales mondiales. Le clan d’Edmond de Rothschild possède la Banque Privée SA à Lugano en Suisse et la banque Rothschild AG de Zürich.

La famille de Jacob Lord Rothschild possède la puissante Rothschild Italia De Milan. Ils sont les membres fondateurs du club très exclusif des Iles à dix mille milliards de dollars, qui contrôle les géants industriels tels la Royal Dutch Shell, les industries chimiques impériales, la banque Lloyds de Londres, Unilever, Barclays, Lonrho, Rio Tinto Zinc, BHP Billiton et la branche DeBeers anglo-américain. Le club domine la distribution mondiale de pétrole, d’or, de diamants et de bien d’autres matières premières vitales.[23]

Le Club des Iles donne le capital du Quantum Fund NV de George Soros, qui fît des gains substantiels en 1988-99 après l’effondrement des monnaies en Thaïlande, Indonésie et Russie. Soros fut un actionnaire principal de la compagnie pétrolière de Georges W. Bush Harken Engergy. Le Club des Iles est dirigé par les Rothschilds et inclut la reine Elisabeth II d’Angleterre et d’autres aristocrates européens et membres de familles royales.[24]

L’entité dépositrice du plus de richesses pour les Rotshschild aujourd’hui est peut-être la Rothschilds Continuation Holdings AG, une holding bancaire secrète, basée en Suisse. Vers la fin des années 1990, les tenants de l’empire global Rothschild étaient les barons Guy et Elie de Rothschild en France et Lord Jacob et Sir Evelyn Rothschild en Grande-Bretagne.[25]

 

Evelyn était le président de la revue “Economist” et un directeur de DeBeers et IBM GB.

Jacob fut derrière la campagne d’Arnold Schwarzenegger pour les élections de gouverneur de Californie. Il prît contrôle des parts de Khodorkovsky avec Yokos Oil juste avant que le gouvernement russe ne l’arrête. En 2010, Jacob rejoignit Ruppert Murdoch dans un partenariat d’extraction pétrolier en Israël par Genie Energy, une compagnie subsidiaire de IDT Corporation.[26]

Quelques mois plus tard, Sarah Palin alloua les services de l’ex-PDG de IDT comme chef de personnel.[27]

Sarah Palin est-elle le choix de Rothschild pour 2012 ?


Article original en anglais : The Federal Reserve Cartel: Freemasons and The House of Rothschild publié le 2 juin 2011.



Notes

[1] The Temple & the Lodge. Michael Bagent & Richard Leigh. Arcade Publishing. New York. 1989. p.259

[2] Ibid. p.219

[3] Ibid. p.253

[4] Ibid. p.233

[5] The Robot’s Rebellion: The Story of the Spiritual Renaissance. David Icke. Gateway Books. Bath, UK. 1994. p.156

[6] Democracy for the Few. Michael Parenti. St. Martin’s Press. New York. 1977. p.51

[7] Fourth Reich of the Rich. Des Griffin. Emissary Publications. Pasadena, CA. 1978. p.171

[8] Ibid. p.173

[9] Rule by Secrecy: The Hidden History that Connects the Trilateral Commission, the Freemasons and the Great Pyramids. Jim Marrs. HarperCollins Publishers. New York. 2000. p.68 [10] The Secrets of the Federal Reserve. Eustace Mullins. Bankers Research Institute. Staunton, VA. 1983. p.179

[11] Human Race Get Off Your Knees: The Lion Sleeps No More. David Icke. David Icke Books Ltd. Isle of Wight. UK. 2010. p.92

[12] Marrs. p.212

[13] Idid. p.139

[14] Ibid p.141

[15] Icke. The Robot’s Rebellion. p.114

[16] Ibid. p.181

[17] Rothschild: The Wealth and Power of a Dynasty. Derek Wilson. Charles Schribner’s Sons. New York. 1988. p.178

[18] The House of Rothschild. Niall Ferguson. Viking Press New York 1998 p.28

[19] Marrs. p.215

[20] Ibid

[21] “What You Didn’t Know about Taxes and the Crown”. Mark Owen. Paranoia. #41. Spring 2006. p.66

[22] Marrs. p.63

[23] “The Coming Fall of the House of Windsor”. The New Federalist. 1994

[24] “The Secret Financial Network Behind ‘Wizard’ George Soros”. William Engdahl. Executive Intelligence Review. 11-1-96

[25] Marrs. p.86

[26] “Murdoch, Rothschild Invest in Israeli Oil Shale”. Jerusalem Post. November 22, 2010

http://www.globalresearch.ca/PrintArticle.php?articleId=25179       Page 6 of 7

The Federal Reserve Cartel: Freemasons and The House of Rothschild       6/9/11 11:48 AM

[26] “Murdoch, Rothschild Invest in Israeli Oil Shale”. Jerusalem Post. November 22, 2010

[27] “Sarah Palin hires chief of staff for PAC », Huffington Post. February 2011


A suivre...et n'oubliez pas qu'HITLER ADOLF était jérusaliste-maçonnique...!!!

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1 septembre 2011 4 01 /09 /septembre /2011 19:35

                                                  

 L’ÉCHO des MONTAGNES, dans le légitime but de vous informer, vous rappelle que la FRANCE, puissance colonisatrice de la SAVOIE, est putative en SAVOIE.

 

II en est de même de ses services putatifs, comme les tribunaux,  les services fiscaux, la gendarmerie (notamment le gendarme LESTERLIN de MOUTIERS SAVOIE), du conseil général avec HERVE GAYMARD (dont la famille était des collabos durant la 2ème guerre jérusaliste-maçonique-mondiale pour la création d'Israël) et de tous les services d'occupation de la SAVOIE, sauf et oui, sauf, du Service des DOUANES en SAVOIE.

 

Je reviendrais pour faire l'éloge du service séculier et millénaire des douaniers en SAVOIE.

Ces "gabelous" n'ont rien à voir avec ceux de la Polynésie française, dénoncés à juste titre par RENÉ HOFFER, président de la "Polynésie Française", qui couvrent le trafic des "XPF", trafic encensé par DOMIQUE STRAUS-KAHN (dit DSQ), par CHRISTINE LAGARDE (dit CRI CRI DE BILDERBERG) par FRANCOIS BAROIN, dont le papa Michel était grand maître du grand orient de France!!!!

 

Fermez le ban des maçons-jérusalistes-sataniques, qui vous ruinent en créant de fausses crises financières, qui enrichissent leur copain bankster et appauvrissent le peuple (trop con, car il vote UMP).


Donc ne votez plus UMP en FRANCE, car l'UMP c'est la dictature et non la démocratie.

Les peuples arabes vous montrent le chemin, suivez -le!!!


Preuve en est que la FRANCE est une dictature, colonisatrice de la SAVOIE, par le document suivant et vous comprendrez, chère (é)lectrice et cher (électeur) qu'il ne faut plus voter pour l'UMP de SARKOKOKO et de BAROIN.

Car c'est un régime dictatorial, qui embastille des innocents, car dans l'affaire suivante, votre rédacteur en chef, Frédéric BERGER, n'a rien à voir avec cette amende (peu importe le montant, c'est le principe nazi qu'il faut retenir, car HITLER  a crée Usraël)!


Voila le dossier:


 

M.Frédéric BERGER

17 rue BARRAL

73460 FRONTENEX LE 1er septembre 2011






  1.  
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              1.  
                1. JEAN CLAUDE MARIN

Procureur de la République

Tribunal de Grande Instance de Paris

75 055 Paris cedex 01



OBJET : PLAINTE POUR CONCUSSION

LRAR

COURRIEL

pj : avis d'opposition administrative


Par la Présente j'ai l'honneur de porter plainte pour concussion en vos mains .


LES FAITS : L'association dite de l'Observatoire pour la sauvegarde du 7ème Bataillon de Chasseurs Alpins a porté plainte contre le gendarme LESTERLIN, de la brigade autonome de Moutiers (SAVOIE) pour violation de domicile,

L'association a été condamné sans recevoir le jugement, donc impossibilité de faire valoir ses droits d'appel dans un pays démocratique.

Preuve en est, l'avis d'opposition administrative ci-jointe, réclamant une paiement de 772euros.


DISCUSSION BRÈVE :


Cette amende est adressée à M.FRÉDÉRIC BERGER, qui est une personne physique, qui n'a rien à voir avec la personne morale de la dite association.


DATE DE LA COMMISSION DU DÉLIT DE CONCUSSION : le 26/08/2011


AUTEUR DU DÉLIT : François Baroin

Ministre de l’Économie, des Finances et de l’Industrie

domicilié: télédoc 146, 139 rue de BERCY 75 572 PARIS CEDEX 12



Cette plainte sera complétée par les documents que vous demanderez et les documents concernant les fonctionnaires complices de concussion en SAVOIE .


CODE PÉNAL : Ce délit et prévu et réprimandé par l'article 432-10 DU code pénal.




Frédéric BERGER

 

 


 

et cliquez sur le texte ci-dessous pour le lire en myopie avancée.

 


Voila ce qui attend les Françaises et les Français qui voteront UMP, SARKOSY et BAROIN:

 

 

 

VIVE LA SAVOIE SOUVERAINE, qui donne comme con--signe de vote pour les Françaises et les Français: ABSTENTION.

 

 

suite pas triste au prochain numéro...avec enregistrement  des complices de la concussion: oups

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31 août 2011 3 31 /08 /août /2011 18:56

 


 


L’ÉCHO des Montagnes, dans le légitime but de vous informer, vous donne des nouvelles de l'élection présidentielle en FRANCE pour le "printemps arabe" de 2012.

                                                    

Je vous rappelle qu'à cette mauvaise occasion le mot d'ordre de la SAVOIE SOUVERAINE est: ABSTENTION ou "COÏT INTERUPTUS"!

 

CLIQUEZ SUR:

 

JO_2012.pdf

JO_2012.pdf

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Bravo

 A vous de juger...

 

                            LE NOUVEAU SYMBOLE DE L'UMP
 
                                                   


Selon NICOLAS CIASARKOSUCE et CLAUDOT GEANT, le «Préservatif» représentera désormais, en lieu et place de la matraque, le premier parti de droite de France.

 LesUMP estiment que le préservatif reflète mieux l’image actuelle de l'UMP car : 
 
    
—  il tolère l’inflation
—  il vide les bourses
—  
il ralentit la production

—  il détruit la prochaine génération

—  il protège les glands, et
—  vous donne un sentiment de sécurité alors que vous vous faites baiser... 

 

 

 

                                                                           

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31 août 2011 3 31 /08 /août /2011 17:09

L’Écho des Montagnes, dans le légitime but de vous informer, salut l'arrivée courageuse de JOËL BOUARD, dans le club très ouvert des citoyens courageux luttant contre les juges-jérusalistes-maçonniques-sataniques-pervers!


Votre journal vous rappelle que CHRISTINE LAGARDE DE BILDERBERG a porté plainte contre votre jornal pour "incitation à la haine raciale", car votre journal lutte pour la PALESTINE et dénonce les crimes du MOSSAD et de l'état putatifd'Israël.



Les associations HCCDA, CAMJ et LCJAP ont créé un nouveau blog à l'adresse suivante:
http://criminels-tribunaux-93.blogspot.com/

afin de dénoncer nommément de nombreux criminels très arrogants dans les tribunaux extrêment véreux du 93, en premier lieu le TGI Bobigny, mais aussi les TI Bobigny, Aubervilliers, Saint-Denis, Le Raincy, St-Ouen, etc.

Cette situation est bien connue de tous, et le 93 n'a rien de spécial à cet égard, puisque la criminalité des crapules de la fonction publique des tribunaux est la même rioureusemnt partout.

Nous dénoncerons pour notre part la criminalité des tribunaux que nous connaissons trop bien.
Nous espérons aussi que d'autres associations, citoyens et militants anti-corruption feront de même afin de dénoncer les crimes dans les tribunaux qu'ils connaissent bien

Cordialement

Joel Bouard,
président de HCCDA et CAMJ




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30 août 2011 2 30 /08 /août /2011 19:01

 

 

 

                                                 BRUNE ou BLONDE?

 

 

 

 

L’origine inconnue des levures nécessaires à la fabrication de la bière de fermentation basse donnait à cette boisson un parfum de mystère. Une équipe internationale de biologistes vient d'en lever le voile en montrant que le microorganisme est arrivé il y a 500 ans en Bavière, après un incroyable voyage de plus de 10.000 km.

Avant le XVe siècle, la fermentation du malt se faisait grâce à la levure Saccharomyces cerevisiae, à température ambiante, et donnait une bière complexe et corsée que les anglais appellent « ale ». Jusqu’à ce que des moines bavarois développent un procédé de fermentation à froid (dans des caves fraîches) donnant un breuvage clair et moins fort, la bière dite de fermentation basse, ou « lager ».

La levure transformant les sucres en alcool et gaz carbonique au cours de ce processus est un hybride nommé Saccharomyces pastorianus (ou Saccharomyces carlsbergensis) formé de la fusion de Saccharomyces cerevisiae avec une autre souche jusqu’ici inconnue.

En blanc, des colonies de levures de la souche Saccharomyces cerevisiae cultivées dans une boite de pétri. (Le point rouge est un contaminant inconnu)
En blanc, des colonies de levures de la souche Saccharomyces cerevisiae cultivées dans une boîte de pétri (le point rouge est un contaminant inconnu). © csaveanu, Flickr, CC by-nc-nd 2.0

Plusieurs recherches en Europe ont tenté de découvrir dans la nature cette espèce sauvage mère de l’hybride, sans succès. Mais si elle n’est pas Européenne, comment et quand le microorganisme béni des munichois est-il parvenu jusqu’aux caves bavaroises ? Bien décidés à résoudre le mystère de la bière blonde, des biologistes américains et européens ont collaboré dans le cadre d’un programme international d’étude génétique des levures. Épluchant la littérature existante, récupérant des échantillons sur le terrain et analysant le patrimoine génétique de plus de 1.000 souches sauvages et domestiquées, ils viennent de parvenir à trouver « la coupable ».

La levure du bout du monde

Il a fallu pour cela que des chercheurs argentins aillent jusque sur les plages de Patagonie prélever des échantillons. Les Nothofagus, des arbres apparentés à nos chênes poussant en bord de mer, y sont infectés par une maladie formant des gales. Ces renflements des feuilles, lorsqu’ils tombent, forment sur le sol un tapis à la forte odeur d’éthanol. C’est le signe que s’y développe une espèce de levure responsable de la fermentation alcoolique, malgré les températures assez basses (6 °C) du bord de mer patagon en cette saison.

Belle surprise après analyse, le patrimoine génétique du ferment récolté au bout du monde correspond à 99,5 % au génome d’origine inconnue de l’hybride. Plus étonnant, il ne ressemble à aucune autre souche sauvage identifiée, ce qui suppose qu’il est endémique à cette région. Les chercheurs l’ont baptisé Saccharomyces eubayanus (littéralement « le vrai bayanus »). Il est pour eux le précurseur sauvage de Saccharomyces bayanus, une souche très similaire qui n’est rencontrée qu’en brasserie.

Les bienfaits d'une immigrée clandestine

Pour les biologistes, une seule explication : la levure s’est introduite subrepticement à bord d’un des bateaux explorant le Nouveau Monde à l’époque des grandes traversées et a immigré clandestinement jusqu’en Allemagne. Elle y a trouvé des caves fraîches, des sucres à consommer à profusion et Saccharomyces cerevisiae, avec qui elle s’est hybridée.

Trop contents du cadeau permettant la fermentation basse, les moines brasseurs ont développé le procédé et conduit la levure à évoluer. En sélectionnant les meilleurs crus, ils ont sans le savoir modifié génétiquement leur nouvelle souche. Des changements dans son métabolisme des sucres et des sulfites en ont fait une levure domestiquée : la souche Saccharomyces carlsbergensis à l’origine des 170 milliards d’euros générés actuellement chaque année par l’industrie de la bière dans le monde.

La résolution du mystère est une première satisfaction, mais le long et couteux travail de recherche de l'équipe de Diego Libkind avait une visée plus large. Si les processus de domestication des plantes et des animaux ayant amené à l’agriculture sont assez bien connus, il en va tout autrement de la domestication des ferments et levures. Pourtant ces organismes sont à la base d’aliments et de procédés de conservation essentiels : les fromages, les yaourts, le pain et le vin bien sûr. Les chercheurs montrent ici comment, en associant de l’écologie microbienne et l’étude comparée des génomes des souches de levures, il est possible de comprendre d’où viennent nos microalliés. Le but étant de développer de nouvelles applications agroalimentaires ou industrielles, que l’on espère raisonnables…

 

 

 

 

 

La fête de la bière de Munich ouvre ses portes par BFMTV

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27 août 2011 6 27 /08 /août /2011 17:20

Voici les dernières nouvelles de TRIPOLI, grâce à SAMÏN BEDROUNI, rédacteur en chef de la VOIX DES OPPRIMES:


Interview internet avec Tiziana Gamannossi à Tripoli, par Smaïn Bédrouni
Date: 26 août 2011 à 21:33:18
Sujet: Monde


Interview internet avec Tiziana Gamannossi à Tripoli
par Smaïn Bédrouni, samedi 27 out 2011 à 00h27 :

Cet entretien internet a subit de nombreuses coupures de connexion, de plusieurs minutes, entre les questions et les réponse et il a duré de 00h27 à 01h32

Smaïn Bédrouni : Bonsoir, nous sommes très inquiets ici, peux tu nous donner des infos stp .

Tiziana Gamannossi à TripoliTiziana Gamannossi : Les rebelles sont dans tripoli. Il y a encore la zone de Buslim et celle de l'hôtel Rixos qui sont en train de combattre

Smaïn Bédrouni : c'est tout ce que tu peux me dire ?

Tiziana Gamannossi : oui, car aujourd'hui je ne suis pas sorti et le mobile phone ne marche pas. Internet a recommencé à fonctionner depuis trois jours mais il marche très mal comme tu peux le voir.

Smaïn Bédrouni : oui

Tiziana Gamannossi : Mercredi 24 j'ai fait un tour de la ville: de Tajoura au Corinthia, je suis allée voir nos amis T. et M., les journalistes de TELESUR, ils était tous bien, ils ont été amenés au Corinthia par la Croix Rouge. Même les journaliste minables étaient bien !

Smaïn Bédrouni : oui c'est répugnant, car pendant ce temps, c’est le peuple qui souffre.

Tiziana Gamannossi : Et pendant la route, tout était sous le control des rebelles, beaucoup de barricades faites avec des containers MSC, des palmiers coupées, des matériaux de constructions et des voitures brulées

Smaïn Bédrouni : En fait les rebelles contrôlent tripoli ? Est ce que tu peux m'en dire plus stp ? les lecteurs de stcom.net sont inquiets et attendent des nouvelles de Tripoli.



Tiziana Gamannossi : Ils ne contrôlent pas entièrement Tripoli, les combats se poursuivent. Alors la chose plus terrible est que les rebelles à Tripoli sont a 90% des boys entre 10 et 25 ans, TOUS ARMES! est ce que tu t'en rend compte! ? Des gamins qui ont entre 15 et 20 ans avec des Kalachnikov entre les mains. Les rebelles de Tripoli tiennent maintenant soigneusement des check points et les rebelles de Misurata et de Montagnes Nafusa étaient sur les pickup en train de roder dans tout Tripoli ! Ils semblent arabes, mais j'ai vu des européens donner les instructions aux garçons tripolitains aux check points ! Mais pendant il y a des combats, qui ont commencé samedi et sont toujours en cours, il y avait soit les rebelles armés soit les garçons tripolitains la plupart sans armes et donc, ce sont eux qui sont morts surtout !

Smaïn Bédrouni : C'est ce crime contre l'humanité que les médias essaient de cacher. Est ce que tu veux donner un message aux lecteurs de La Voix des Opprimés ?

Tiziana Gamannossi : oui, comme tu sais bien cette guerre était prévue depuis 2001 après l'attaque des Twin Towers, je t’envoie le document, qui prévoie la prise de 7 pays en 5 ans! La NATO est en retard, mais veut prendre 7 Pays !
Tu sais bien que cette guerre pouvait être évité avec des négociations entre Gheddafi et les rebelles, de façons qu’on aurait évité des milliers de morts, la plus part des jeunes, un pays détruit et surtout maintenant des jeunes avec des armes dans les mains !

Mon message est les suivant : Si vraiment on s'appelle des gens civilisés, essayons d’empêcher les guerres qui n'amènent que destructions et morts ! Autrement même si en 2011 nous avons les portables le plus modernes, les machines les plus modernes, cela ne pourra jamais prouver qu’on est des gens civilisé car en 2011 ENCORE ON RESOUS LES CRISES POLITIQUES AVEC DES GUERRES!
voilà mon message
Merci

Smaïn Bédrouni : Nous sommes sur la même longueur d'onde, nous pensons exactement la même chose, c'est pour cela que notre journal existe afin d'utiliser les nouvelles technologies pour l'éveil des consciences des populations à la paix, montrer l'horreur de la guerre pour la refuser et travailler pour construire la paix

Tiziana Gamannossi : oui, il faut faire tout pour éviter les guerres! Elles sont la honte de la civilité !

Smaïn Bédrouni : La honte de l'Humanité

Tiziana Gamannossi : merci

Smaïn Bédrouni : Je met quel nom ou pseudonyme pour tes réponses ?

Tiziana Gamannossi : TIZIANA GAMANNOSSI, mon nom. J'espère qu’être contre la guerre ne soit pas un motif pour être attaqué, car alors le monde est fini !

Smaïn Bédrouni : Je suis vraiment inquiet pour vous tous, j'aimerais être avec vous qui êtes dans la difficulté. C’est moins pire que de voir tout ça à distance sans pouvoir vous assister.

Tiziana Gamannossi : mon cher, sois tranquille, je n'ai rien fait de mal et maintenant comme je ne peux plus me battre contre la guerre, je me battrais de façon à ce que ces jeunes gens laissent les armes et aient une vie normale ! merci mon cher.... Très bien ! il faut tout faire pour faire cesser cette manipulation des jeunes gens par la CIA/NATO ! (NDLR: NATO = OTAN) ! Je t'envoi le document maintenant.

Smaïn Bédrouni : Oui merci à toi

Tiziana Gamannossi: Une chose importante: Il semble qu'en Septembre ce soit le tour de l'Algérie...... faites attention, ne permettez pas cela !

Coupure de connexion à 01h32.

Il est maintenant 03h06, heure de Paris, et toujours pas de connexion internet à Tripoli, nous décidons de publier l'entretien tel quel.

Source : www.stcom.net

Merci de publier largement svp.

 

Cet article provient de La Voix des Opprimes
http://news.stcom.net

L'URL de cet article est:
http://news.stcom.net/modules.php?name=News&file=article&sid=6159
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26 août 2011 5 26 /08 /août /2011 21:07

Le père Casta est décédé.

 

                                   
Cérémonie religieuse le lundi 29 août 2011 à 15h00 en la cathédrale Saint-Louis des INVALIDES, l'église des soldats.
En suivant l'inhumation aura lieu en Corse, à Ste Monique de Pietro Sella près Ajaccio le 31 août 2011.

Aumonier militaire, officier parachutiste, le Père Casta était grand'croix de la Légion d'honneur. Cité à onze reprises, il était titulaire de la croix  de guerre 1939-1945, de la croix de guerre des théâtres d'opérations  extérieures et de la croix de la valeur militaire. Le Père Casta était
Pensionnaire à l'Institution Nationale des Invalides depuis 2006.

Homme d’église, il voulait servir son Dieu…Homme de guerre, il voulait défendre son pays…Il est devenu aumônier parachutiste…
"Homme de devoir, aumônier reconnu dans les différentes unités
parachutistes et à la11eDP, il a consacré sa vie au service de la France
et des parachutistes, ses fidèles.
Charismatique, au rayonnement
lumineux, homme exceptionnel, il a largement contribué à l'adoption de
Saint Michel comme patron des paras
"

 


MessageSujet: CASTA François: "L'épée et la croix"... 89 ans, il a vécu la Seconde Guerre mondiale, l'Indochine, l'Algérie. Il est à la fois corse, prêtre, et fut officier parachutiste   Jeu 28 Mai 2009 - 21:51

 


 

Un envoi de notre camarade Jean-Pierre Rondeau

François Casta. L'épée et la croix

 

 

D'Alger à Kaboul. Comment combattre sans haine la terreur qui frappe les civils?

 

Claude Jacquemart, le 21-05-2009 VALEURS ACTUELLES

 

Tout mettre en oeuvre pour arrêter le carnage du terrorisme urbain. Pour le juguler, l'anticiper. La recherche du renseignement est faite pour ça."

 

Cette instruction date de 1957...

 

Que faire d'un ennemi qui dépose au milieu d'une piste un bébé dans un couffin sous lequel se dissimule un obus piégé, destiné à déchiqueter l'homme qui voudra sauver l'enfant ? Comment traiter un prisonnier, membre d'un réseau de poseurs de bombes en ville, dont on sait que son silence peut coûter la vie à des dizaines d'innocents ?

 

Des générations d'officiers, en Indochine puis en Algérie, ont connu ce dilemme. Un cas de conscience aujourd'hui posé aux agents des services spéciaux américains en lutte contre les terroristes d'Al-Qaïda, comme aux soldats engagés en Irak et maintenant en Afghanistan.

 

Ce cas de conscience se trouve une nouvelle fois traité dans un ouvrage auquel la personnalité de son auteur confère toute sa valeur. Cet auteur, François Casta, a maintenant 89 ans, il a vécu la Seconde Guerre mondiale, l'Indochine, l'Algérie. Il est à la fois corse, prêtre, et fut officier parachutiste. Ainsi, plus que quiconque, a-til pu méditer sur le problème de ces guerres dites révolutionnaires où l'enjeu n'est pas, comme dans un conflit classique, la conquête d'un territoire ou la destruction d'une armée par une autre, mais le contrôle d'une population, par tous les moyens possibles, y compris la terreur.

 

Né le 20 août 1919 à Calenzana, en Haute-Corse, François Casta est appelé par sa vocation dès l'adolescence : il sera missionnaire. Il entre au séminaire, à Ajaccio puis à Clermont ; il est ordonné prêtre en juin 1943.

 

Mais l'armée l'attire également. Déjà, marqué par l'exemple du père de famille, grand mutilé de guerre, le frère cadet de François, Dominique, s'est engagé dans les chasseurs alpins en 1939, à 17 ans.Un an plus tard, son courage lui vaut de devenir le plus jeune caporal-chef de France.

Il poursuivra sa carrière dans la Résistance, les armées de la Libération et pour finir, en Indochine, dans les parachutistes coloniaux. L'abbé François Casta, lui, signe le 15 novembre 1944 un engagement pour la durée de la guerre au 1er bataillon de chasseurs portés (1er BCP), où il sera "brancardier détaché pour l'exercice du culte catholique". Un engagement qui va le mener loin.Au début de 1945, en Alsace, un éclat d'obus lui traverse la poitrine. Guéri, il rejoint son unité (les chasseurs portés sont devenus chasseurs alpins) et, le 8 mai 1945, il célèbre la messe de la victoire sur les rives du lac de Constance.

 

Il pourrait quitter l'armée. Il y reste. Promu sous-lieutenant, volontaire pour servir dans les parachutistes, il rejoint l'Indochine en mars 1947.

Et devient, en juillet suivant, l'aumônier du 1er bataillon parachutiste de choc. En septembre, il est breveté parachutiste. Il lui revient l'honneur de préparer le dossier qui fera de saint Michel, l'archange vainqueur du dragon, le patron des troupes aéroportées.

 

Bientôt aumônier du 1er régiment de chasseurs parachutistes (1er RCP), François Casta est promu capitaine en avril 1949. En 1952, il se trouve dans le camp retranché de Na San, au Tonkin, que 12 000 hommes commandés par le colonel Gilles sont chargés de défendre contre trois divisions Viêt-minh, trois fois plus nombreuses mais dispersées. Ces dernières se disloquent sur les défenses et la victoire reste aux Français. Une victoire

empoisonnée car, dix-huit mois plus tard, le haut commandement voudra renouveler l'expérience de Na San à Diên Biên Phu.

 

Cette défaite, François Casta aura la chance de ne pas la vivre. En avril, devenu l'un des officiers parachutistes les plus chevronnés du corps expéditionnaire, blessé deux fois, titulaire de plusieurs citations et promu officier de la Légion d'honneur, il est rapatrié. Après un long congé, il rejoint en Algérie le 3e bataillon étranger de parachutistes (3e BEP), en partance pour l'Indochine. Ne pouvant l'accompagner, il quitte les troupes aéroportées, avant de les retrouver en juin 1956, au sein de la 25e division parachutiste (25e DP).

 

Au cours d'un séjour de quatre ans en Algérie, François Casta va vivre toutes les expériences. Celle de la guerre traditionnelle, opposant des unités constituées, comme à Souk Ahras, cette bataille des frontières, en 1958, qui va durer dix jours. Celle, surtout, de la guerre révolutionnaire et psychologique, qui va soumettre sa conscience de chrétien et de prêtre à la plus dure des épreuves. Car il s'agit, dans ce type de conflit, d'aller débusquer le terroriste, le commissaire politique et les membres de l'organisation politique et administrative de l'ennemi au sein même des populations dans lesquelles ils s'abritent, selon la formule de Mao, « comme le poisson dans l'eau ». Avec tous les risques de débordements que cela implique.

 

Une mission remplie sans enthousiasme

 

Dès la fin de 1956, avant même le déclenchement de la bataille d'Alger, pour laquelle le général Massu et ses parachutistes recevront tous les pouvoirs afin de juguler le terrorisme, le père Casta rencontre Robert Lacoste, ministre résident en Algérie, afin de lui faire part de ses préoccupations.

 

Nommé par le président du conseil socialiste Guy Mollet, Lacoste lui montre un plan du "Grand Alger" : « À partir de cette carte, il fallait tout mettre en oeuvre pour arrêter le carnage permanent du terrorisme urbain. Pour le juguler, il fallait d'abord l'anticiper. La recherche du renseignement est faite pour ça. Pour l'obtenir, il faut, si le suspect refuse de parler spontanément, l'y contraindre. » Ainsi, le pouvoir civil a pris ses responsabilités. Aux militaires de prendre les leurs ! Une mission que les officiers parachutistes, formés pour le combat et non pour des tâches de police, rempliront avec efficacité, mais sans enthousiasme. Et dont ils porteront cependant, devant l'opinion publique de gauche, travaillée par les partisans de l'indépendance de l'Algérie, l'écrasante responsabilité.

 

Laquelle devait être étendue ensuite, dans un souci de culpabilisation collective, à toute l'armée française d'Algérie.

 

La réflexion de François Casta le conduit à distribuer en 1958, à dix exemplaires seulement, un document intitulé Conscience chrétienne et guerre révolutionnaire. En septembre 1960, il quitte l'Algérie, qu'il ne reverra plus, pour rejoindre la 11e demi-brigade parachutiste de choc (11e DBPC) à Calvi. En 1962, les éditions France-Empire publient ce document sous le titre le Drame spirituel de l'armée.Or,ce livre est interdit par le ministre des Armées, Pierre Messmer,bien que l'évêque d'Ajaccio, Mgr Llosa, lui accorde son imprimatur.

 

Seul le climat brûlant de l'époque (le développement de l'action de l'OAS, consécutive à l'échec du putsch des généraux en avril 1961) peut expliquer l'interdiction prise par le ministre. Loin en effet d'être un brûlot, l'ouvrage de François Casta, publié à nouveau aujourd'hui sous la même couverture que sa biographie, apparaît d'abord comme une analyse précise de la guerre révolutionnaire et de la méthode permettant d'y faire face. On y trouve aussi un ensemble de considérations sur les problèmes moraux posés à l'armée, et notamment aux officiers, dans la lutte contre une guérilla révolutionnaire. François Casta cite les instructions données aux jeunes officiers sortant de l'École d'application de l'infanterie pendant la guerre d'Algérie :«Tout chef, tout combattant, doit penser que le but final est de construire. [...] Les troupes "opérationnelles" ne doivent pas casser, en un jour, plusieurs mois de travail effectué par les unités de quadrillage.»

 

Ainsi, sur le terrain, le souci d'efficacité rejoignait-il la nécessité de conserver des repères éthiques. Cela n'empêcha pas des excès. François Casta témoigne qu'ils furent la plupart du temps le fait de troupes mal aguerries et mal encadrées, et non d'unités de choc commandées par des soldats d'élite dont beaucoup avaient connu la guerre d'Indochine. Ces mêmes repères s'imposaient encore plus dans la lutte contre le terrorisme urbain,puisque sans le renseignement, « toute action est non seulement vouée à l'échec, mais impossible ». Sans doute y eut-il alors, parmi les hommes engagés dans cette guerre différente des autres, de vrais sadiques. Il y eut surtout des soldats conscients de la grandeur et des servitudes du métier militaire, des officiers semblables au centurion de l'Évangile que le Christ, loin de le repousser en raison de son uniforme, enveloppe dans sa bienveillance en guérissant son serviteur.

 

Les officiers parachutistes lancés dans la guerre d'Algérie connaissaient tous la prière écrite par André Zirnheld, agrégé de philosophie, engagé dans les paras de la France libre, tué au combat en Libye : «Donnez-moi, mon Dieu, ce qui Vous reste / Donnez-moi ce qu'on ne Vous demande jamais. / Je ne Vous demande pas le repos / Ni la tranquillité / Ni celle de l'âme, ni celle du corps. / Je ne Vous demande pas la richesse / Ni le succès, ni même la santé. [...] / Je veux l'insécurité et l'inquiétude. / Je veux la tourmente et la bagarre / Et que Vous me les donniez, mon Dieu, définitivement. [...] »

 

En écho, la prière trouvée sur le corps du capitaine Bourgin, l'une des figures de proue de la Légion,profil de médaille et barbe de conquistador, soldat et poète qui publiait sous le pseudonyme "von Palaïeff ", tué en 1959 près de Souk Ahras à la tête de la compagnie portée du 2e régiment étranger de parachutistes (2e Rep) : « Les autres peuvent bien être sages, / Vous m'avez dit d'être fou. / D'autres croient à l'ordre, / Vous m'avez dit

de croire à l'amour. / D'autres pensent qu'il faut conserver, / Vous m'avez

dit de donner. [...] »

 

Jeanpierre, Bigeard, Saint Marc, Bourgin et bien d'autres : tous faisaient la guerre sans haine.Pour assister ces hommes,partageant leurs dangers et leurs souffrances, il y avait ceux dont l'uniforme s'ornait d'une croix pectorale.Parmi eux : le père Delarue, aumônier du 1er régiment étranger de parachutistes (1er Rep), dissous en raison de sa participation au putsch d'avril 1961. Et le père Casta, qui reçut en avril 2004,dans la cour d'honneur des Invalides, des mains de Jacques Chirac, président de la République, les insignes de grandcroix de la Légion d'honneur.

 

Homme d’église, il voulait servir son Dieu…Homme de guerre, il voulait défendre son pays…Il est devenu aumônier parachutiste…

La biographie d’un aumônier parachutiste, né à Calenzana, en Corse, engagé volontaire au 1erBPC qui, sous l’anonymat de la tenue de combat camouflée, a été confronté aux dures réalités de la guerre des neiges de l’Alsace aux djebels d’Algérie, en passant par les rizières indochinoises. Ses cinq années en Indochine et en Algérie l’on conduit à une réflexion profonde sur l’usage de la force pour maîtriser le cycle infernal et vicieux de la violence, dont la modernité n’échappera pas au lecteur en dépit des mutations du contexte actuel. Aujourd’hui, la lutte contre le terrorisme s’est substituée aux conflits entre États. Le guerrier destructeur d’hier est devenu un fréquentable soldat de la paix. Pourtant, les méditations du Père Casta sur la maîtrise de la force comme sur le caractère non seulement intrinsèquement pervers, mais inefficace à terme, voire gravement contreproductif,de certaines méthodes violentes d’extorsion du renseignement ou de lutte antiterroriste, sont rendues plus utiles encore par la complexité croissante des opérations militaires, et par le relativisme ambiant qui érode les normes,dénature les références, et banalise les repères éthiques et déontologiques. Par la lecture approfondie du Drame spirituel de l’Armée, nos officiers susceptibles d’être appelés à des fonctions de commandement à Kaboul, à Naqura, à Pristina, à N’Djamena ou à Bouaké, apprendront l’importance de s’être préalablement armés spirituellement et moralement pour se préparer à réagir avec justesse et discernement à des situations de crise inattendues, pour la pertinente résolution desquelles il est essentiel d’être parfaitement formé à la déontologie du métier de soldat, comme aux règles de la profession des armes exercée au profit d’un gouvernement démocratique, respectueux du droit international, mais aussi nourri de convictions éthiques fermes et éclairées. Né à Calenzana, en Corse, en 1919, engagé volontaire au 1erBPC en novembre 1944, le père Casta est désigné aux fonctions d’aumônier parachutiste au 19eBPC en 1945. Après l’Indochine et l’Algérie, il obtiendra son doctorat de Théologie et exercera son culte en Corse. Il est pensionnaire à l’INI.

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J'ai trouvé cela, dans une librairie catholique

 

François Casta, grand croix de la Légion d'Honneur, a participe à la guerre d'Indochine, puis à celle d'Algérie et publié en 1963 un ouvrage intitulé "Le drame spirituel de l'Armée", fruit de ses réflexions sur ce qu'il a vécu. Ce livre est aussitôt interdit.

 

 

C'est ce texte que l'auteur nous donne aujourd'hui, précédé d'une première partie biographique François Casta, corse, prêtre, s'engage en 1944 comme brancardier, pour participer aux derniers combats contre l'Allemagne. Et en 1947, il signe de nouveau un contrat pour l'Indochine, mais comme parachutiste, et aumônier. Blessé deux fois, il est rapatrié sanitaire en janvier 1953. Il ne participera pas à la fin de cette "sale guerre coloniale", mais rencontre en France tous les officiers, et beaucoup d'hommes, qu'il a connu là-bas et qui lui racontent leur drame : avoir abandonné aux communistes Vietminh les Vietnamiens qu'ils avaient juré de protéger. Or on sait ce qui est arrivé aux malheureux qui avaient cru en la France… Après plusieurs refus, Casta est accepté en juin 1956 pour rejoindre la 25e Division Parachutiste en Algérie. En vingt pages, il nous fait découvrir ce qu'est la guerre révolutionnaire, la torture et la trahison des supérieurs et des clercs.

 

Pourquoi ce livre n'a-t-il pas été publié, parce qu'interdit, en 1963 ?

Parce que devant le drame de la guerre et de ses conséquences, en particulier la torture qu'il dénonce, il démontre la responsabilité du Gouvernement, des parlementaires, de la hiérarchie militaire et des évêques de France qui ont gardé le silence.

Dans ce livre intitulée "Le drame spirituel de l'Armée", publié en 1963, puis aussitôt interdit, l'auteur rappelle le serment fait par les officiers aux Vietnamiens de les défendre contre les Communistes et qu'ils ont abandonnés sur ordres, et les drames personnels que cela engendra (déportation dans des camps, massacres, fuite par tous les moyens, "boats peoples…). En Algérie en 1961, ces mêmes officiers n'auraient pas voulu que se reproduisent les mêmes drames, ce qui explique le putsch de 1961 puis l'OAS, qu'il condamne bien sûr. Il apporte le commencement d'une réponse chrétienne à la violence de notre époque et ses méditations sur les fonctions de commandement qui devraient être inculquées à tous les responsables, civils et militaires, qui jouent un rôle dans la conduite de la guerre.

 

Un ouvrage tout à fait remarquable dont il faut conseiller la lecture aux jeunes qui n'ont sans doute pas compris, lorsqu'ils l'apprennent en cours d'Histoire, l'attitude des officiers trop vite qualifiés de "rebelles". Les anciens seront heureux de mieux comprendre un épisode de l'Histoire qu'ils ont vécu, raconté ici avec autant de clarté.

SOUVENIR DE FRÈRES D'ARMES:

 

J’apprends avec une infinie tristesse le décès du Père Casta.

Je ne peux m’empêcher de le revoir , fin 1947 début 1948, .

Cela se passait à la Concession, près du Grand Lac à Hanoï, où était cantonné le 1/1er RCP

Accompagné du Père Mulson, parfois du Père Jégo, Il s’installait pendant des heures à la Bibliothèque du Diocèse d’Hanoi . Et tous trois recherchaient les documents pouvant être utiles pour la constitution du dossier de reconnaissance de Saint-Michel comme Patron des Parachutistes.

Ils revenaient , souriants , quand la récolte avait été fructueuse et nous nous mettions en forme des fiches que je tapais sur une vieille machine Remington récupérée je ne sais où .

Ces fiches étaient ensuite envoyées par la voie hiérarchique ecclésiastique depuis l’Aumônerie Militaire jusqu’à l’Archevêché de Paris qui les transmettait au Vatican .

Je me souviens encore la joie qui était la nôtre lorsque nous recevions par le vaguemestre les tubes en carton contenant les réponses favorables .

Mon Dieu que c’est loin tout cela .

Je ne parlerai pas davantage du Père Casta et de ses tourments. D’autres l’ont déjà fait et bien mieux que je n’aurais su le faire .

Il est allé rejoindre celui pour qui il a tant œuvré et qui lui réservera certainement la place de choix qu’il mérite .Très grosse perte pour les paras français ,

rappel pour ceux qui ne le connaissait pas:

 

Le "Padre" François Casta

 

 

Né le 20 août 1919 à Calenzana, en Haute-Corse, François Casta est appelé par sa vocation dès l’adolescence : il sera missionnaire. Il entre au séminaire, à Ajaccio puis à Clermont ; il est ordonné prêtre en juin 1943. Mais l’armée l’attire également. Déjà, marqué par l’exemple du père de famille, grand mutilé de guerre, le frère cadet de François, Dominique, s’est engagé dans les chasseurs alpins en 1939, à 17 ans.Un an plus tard, son courage lui vaut de devenir le plus jeune caporal-chef de France. Il poursuivra sa carrière dans la Résistance, les armées de la Libération et pour finir, en Indochine, dans les parachutistes coloniaux. L’abbé François Casta, lui, signe le 15 novembre 1944 un engagement pour la durée de la guerre au 1er bataillon de chasseurs portés (1er BCP), où il sera “brancardier détaché pour l’exercice du culte catholique”. Un engagement qui va le mener loin.Au début de 1945, en Alsace, un éclat d’obus lui traverse la poitrine. Guéri, il rejoint son unité (les chasseurs portés sont devenus chasseurs alpins) et, le 8 mai 1945, il célèbre la messe de la victoire sur les rives du lac de Constance.

 

Il pourrait quitter l’armée. Il y reste. Promu sous-lieutenant, volontaire pour servir dans les parachutistes, il rejoint l’Indochine en mars 1947. Et devient, en juillet suivant, l’aumônier du 1er bataillon parachutiste de choc. En septembre, il est breveté parachutiste. Il lui revient l’honneur de préparer le dossier qui fera de saint Michel, l’archange vainqueur du dragon, le patron des troupes aéroportées.

 

Bientôt aumônier du 1er régiment de chasseurs parachutistes (1er RCP), François Casta est promu capitaine en avril 1949. En 1952, il se trouve dans le camp retranché de Na San, au Tonkin, que 12 000 hommes commandés par le colonel Gilles sont chargés de défendre contre trois divisions Viêt-minh, trois fois plus nombreuses mais dispersées. Ces dernières se disloquent sur les défenses et la victoire reste aux Français. Une victoire empoisonnée car, dix-huit mois plus tard, le haut commandement voudra renouveler l’expérience de Na San à Diên Biên Phu.

 

Cette défaite, François Casta aura la chance de ne pas la vivre. En avril, devenu l’un des officiers parachutistes les plus chevronnés du corps expéditionnaire, blessé deux fois, titulaire de plusieurs citations et promu officier de la Légion d’honneur, il est rapatrié. Après un long congé, il rejoint en Algérie le 3e bataillon étranger de parachutistes (3e BEP), en partance pour l’Indochine. Ne pouvant l’accompagner, il quitte les troupes aéroportées, avant de les retrouver en juin 1956, au sein de la 25e division parachutiste (25e DP).

Au cours d’un séjour de quatre ans en Algérie, François Casta va vivre toutes les expériences. Celle de la guerre traditionnelle, opposant des unités constituées, comme à Souk Ahras, cette bataille des frontières, en 1958, qui va durer dix jours. Celle, surtout, de la guerre révolutionnaire et psychologique, qui va soumettre sa conscience de chrétien et de prêtre à la plus dure des épreuves. Car il s’agit, dans ce type de conflit, d’aller débusquer le terroriste, le commissaire politique et les membres de l’organisation politique et administrative de l’ennemi au sein même des populations dans lesquelles ils s’abritent, selon la formule de Mao, « comme le poisson dans l’eau ». Avec tous les risques de débordements que cela implique.

 

Une mission remplie sans enthousiasme

 

Dès la fin de 1956, avant même le déclenchement de la bataille d’Alger, pour laquelle le général Massu et ses parachutistes recevront tous les pouvoirs afin de juguler le terrorisme, le père Casta rencontre Robert Lacoste, ministre résident en Algérie, afin de lui faire part de ses préoccupations. Nommé par le président du conseil socialiste Guy Mollet, Lacoste lui montre un plan du “Grand Alger” : « À partir de cette carte, il fallait tout mettre en oeuvre pour arrêter le carnage permanent du terrorisme urbain. Pour le juguler, il fallait d’abord l’anticiper. La recherche du renseignement est faite pour ça. Pour l’obtenir, il faut, si le suspect refuse de parler spontanément, l’y contraindre. » Ainsi, le pouvoir civil a pris ses responsabilités. Aux militaires de prendre les leurs ! Une mission que les officiers parachutistes, formés pour le combat et non pour des tâches de police, rempliront avec efficacité, mais sans enthousiasme. Et dont ils porteront cependant, devant l’opinion publique de gauche, travaillée par les partisans de l’indépendance de l’Algérie, l’écrasante responsabilité. Laquelle devait être étendue ensuite, dans un souci de culpabilisation collective, à toute l’armée française d’Algérie.

La réflexion de François Casta le conduit à distribuer en 1958, à dix exemplaires seulement, un document intitulé Conscience chrétienne et Guerre révolutionnaire. En septembre 1960, il quitte l’Algérie, qu’il ne reverra plus, pour rejoindre la 11e demi-brigade parachutiste de choc (11e DBPC) à Calvi. En 1962, les éditions France-Empire publient ce document sous le titre le Drame spirituel de l’armée.Or,ce livre est interdit par le ministre des Armées, Pierre Messmer,bien que l’évêque d’Ajaccio, Mgr Llosa, lui accorde son imprimatur.

 

Seul le climat brûlant de l’époque (le développement de l’action de l’OAS, consécutive à l’échec du putsch des généraux en avril 1961) peut expliquer l’interdiction prise par le ministre. Loin en effet d’être un brûlot, l’ouvrage de François Casta, publié à nouveau aujourd’hui sous la même couverture que sa biographie, apparaît d’abord comme une analyse précise de la guerre révolutionnaire et de la méthode permettant d’y faire face. On y trouve aussi un ensemble de considérations sur les problèmes moraux posés à l’armée, et notamment aux officiers, dans la lutte contre une guérilla révolutionnaire. François Casta cite les instructions données aux jeunes officiers sortant de l’École d’application de l’infanterie pendant la guerre d’Algérie :«Tout chef, tout combattant, doit penser que le but final est de construire. […] Les troupes “opérationnelles” ne doivent pas casser, en un jour, plusieurs mois de travail effectué par les unités de quadrillage. »

 

Ainsi, sur le terrain, le souci d’efficacité rejoignait-il la nécessité de conserver des repères éthiques. Cela n’empêcha pas des excès. François Casta témoigne qu’ils furent la plupart du temps le fait de troupes mal aguerries et mal encadrées, et non d’unités de choc commandées par des soldats d’élite dont beaucoup avaient connu la guerre d’Indochine. Ces mêmes repères s’imposaient encore plus dans la lutte contre le terrorisme urbain,puisque sans le renseignement, « toute action est non seulement vouée à l’échec, mais impossible ». Sans doute y eut-il alors, parmi les hommes engagés dans cette guerre différente des autres, de vrais sadiques. Il y eut surtout des soldats conscients de la grandeur et des servitudes du métier militaire, des officiers semblables au centurion de l’Évangile que le Christ, loin de le repousser en raison de son uniforme, enveloppe dans sa bienveillance en guérissant son serviteur.

Les officiers parachutistes lancés dans la guerre d’Algérie connaissaient tous la prière écrite par André Zirnheld, agrégé de philosophie, engagé dans les paras de la France libre, tué au combat en Libye : «Donnez-moi, mon Dieu, ce qui Vous reste / Donnez-moi ce qu’on ne Vous demande jamais. / Je ne Vous demande pas le repos / Ni la tranquillité / Ni celle de l’âme, ni celle du corps. / Je ne Vous demande pas la richesse / Ni le succès, ni même la santé. […] / Je veux l’insécurité et l’inquiétude. / Je veux la tourmente et la bagarre / Et que Vous me les donniez, monDieu, définitivement. […] »

 

En écho, la prière trouvée sur le corps du capitaine Bourgin, l’une des figures de proue de la Légion,profil de médaille et barbe de conquistador, soldat et poète qui publiait sous le pseudonyme “von Palaïeff ”, tué en 1959 près de Souk Ahras à la tête de la compagnie portée du 2e régiment étranger de parachutistes (2e Rep) : « Les autres peuvent bien être sages, / Vous m’avez dit d’être fou. / D’autres croient à l’ordre, / Vous m’avez dit de croire à l’amour. / D’autres pensent qu’il faut conserver, / Vous m’avez dit de donner. […] »

 

Jeanpierre, Bigeard, Saint Marc, Bourgin et bien d’autres : tous faisaient la guerre sans haine.Pour assister ces hommes,partageant leurs dangers et leurs souffrances, il y avait ceux dont l’uniforme s’ornait d’une croix pectorale.Parmi eux : le père Delarue, aumônier du 1er régiment étranger de parachutistes (1er Rep), dissous en raison de sa participation au putsch d’avril 1961. Et le père Casta, qui reçut en avril 2004,dans la cour d’honneur des Invalides, des mains de Jacques Chirac, président de la République, les insignes de grandcroix de la Légion d’honneur.

 

 

Ecoutons la prière des PARAS:vidéo réalisée par votre rédacteur en chef, ancien parachutiste, à partir de photographies personnelles.

La section qui chante était celle que je commandais.

 

 


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                                                  à Dieu PADRE


  A toutes celles et ceux qui étaient proches du Père Casta, j'adresse mes très sincères condoléances.

Nul doute qu'il soit déjà auprès de Saint Michel..

                                                              

 

 

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25 août 2011 4 25 /08 /août /2011 17:17

 

 

L’ÉCHO des MONTAGNES, dans le légitime but de vous informer, continue son investigation sur les PROTOCOLES de TORONTO, qui remplacent ceux de SION, devenus obsolètes.

Le but des PROTOCOLES de TORONTO est un projet mondialiste, dont les auteurs sont les jérusalistes-maçonniques-sataniques-pervers pour instaurer  le NOUVEL ORDRE MONDIAL.

 

Les moyens du financement du projet des Protocoles est le contrôle du F.M.I, du G.A.T.T., de la Commission de Bruxelles, de l'OTAN, de l'ONU, et des autres organismes internationaux.

Tous ces organismes sont aux mains des jérusalistes-maçonniques.


Actuellement la crise que vivent les Françaises et les Français,esclaves du jérusaliste NICOLAS SARKOSY, est prévue dans l'article 13 des Protocoles de Toronto et je cite:

 

"Par des pertes de millions d'emplois dans le secteur primaire; à même les évasions déguisées de capitaux étrangers hors des Etats-Nations (qui n'existent plus grâce à la volonté des Bilderberg), il nous sera ainsi possible de mettre en danger de mort, l'harmonie sociale par le spectre de la guerre civile".


C'est pourquoi NICOLAS SARKOSY a imposé aux Françaises et aux Français le traité de Lisbonne qui permet l'utilisation des armes contre le peuple en EUROPE.


Preuve en est:


COUP D’ETAT EUROPÉEN : LES EURO-OBLIGATIONS MÈNERONT AUX ÉMEUTES !



  



  


COUP D’ETAT EUROPÉEN : LES EURO-OBLIGATIONS MÈNERONT AUX ÉMEUTES



Dans un article publié le 20 août dans Junge Freiheit (cf. http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm.154+M58095ccf266.0.html?&tx_ttnews ), le professeur Wilhelm Hankel, dont la plainte contre le renflouement de l’euro est examinée par la Cour constitutionnelle allemande, MET EN GARDE CONTRE LE DANGER DES EURO-OBLIGATIONS, CRAIGNANT QU’ELLE NE MÈNE À DES EXPLOSIONS SOCIALES EN ALLEMAGNE, À L’INSTAR DES ÉMEUTES DE LONDRES.

« L’euro ne pourra être sauvé par davantage de tête-à-tête » entre Angela Merkel et Nicolas Sarkozy, « pas plus que par une nouvelle Wunderwaffe [arme miracle] dénommée ’euro-obligations’ », écrit Hankel.

« COMMENT LES HOMMES POLITIQUES PEUVENT-ILS SÉRIEUSEMENT CROIRE QUE LE SURENDETTEMENT PUISSE ÊTRE SOIGNÉ PAR DES DETTES MEILLEUR MARCHÉ ? COMMENT LES EXPERTS PEUVENT-ILS SUPPOSER, APRÈS LA MÉCHANTE EXPÉRIENCE DE LA CRISE FINANCIÈRE ET BANCAIRE, QU’IL EXISTE UN MARCHÉ QUI VEUILLE ET PUISSE ACHETER DES TITRES (SANS VALEUR) SOUTENUS UNIQUEMENT PAR DES OBLIGATIONS POURRIES D’ETATS EUROPÉENS MENACÉS D’INSOLVABILITÉ, EN SE CONTENTANT D’UNE RÉMUNÉRATION "ALLEMANDE" ? CEUX QUI ACHÈTENT DE TELS TITRES PEUVENT IMMÉDIATEMENT METTRE UNE CROIX DESSUS. »

« L’UNION DE ’TRANSFERT’ TUERA NON SEULEMENT L’EURO, ÉCRIT-IL, MAIS OUVRIRA LA VOIE AU DÉSORDRE SOCIAL ET À DES RÉVOLTES DE JEUNES. (…) L’EUROPE DOIT DÉCIDER SI ELLE VEUT S’EXPOSER AU DOUBLE DANGER D’UNE MONNAIE INSTABLE ET D’UNE SOCIÉTÉ INSTABLE AVEC DES POLITICIENS INCOMPÉTENTS, OU SI ELLE RECHERCHE DES POLITICIENS QUI EMPÊCHERONT L’UNE ET L’AUTRE ET PROTÈGERONT DE CES DANGERS PAR UNE MONNAIE STABLE. »

MAIS IL N’Y AURA DE MONNAIE STABLE SANS SE DÉBARRASSER DE LA DETTE POURRIE ACCUMULÉE DANS LE SYSTÈME FINANCIER ET QUI N’A RIEN À VOIR AVEC LE DÉVELOPPEMENT DES PEUPLES. Comme le dit Jacques Cheminade dans sa dernière déclaration (cf. http://www.cheminade2012.fr/Sarkozy-Merkel-un-sinistre-begaiement ) : « Glass-Steagall permettra une restructuration saine des dettes, condition nécessaire pour organiser une reprise. Cela ne se joue ni sur le terrain d’un fédéralisme supranational qui dégénère en fascisme financier, ni sur celui d’un repli sur soi qui dégénère en national-monétarisme. Cela se joue sur le terrain de la création humaine, d’un accroissement de la production par être humain et par unité de surface et de grands projets de développement mutuel qui rétabliront la confiance dans le futur de leurs participants. »
Cliquez sur tous les liens: oups

Site censuré par le gouvernement français, la LICRA, l'UMP, la LDH, le MRAP et déconseillé par Fdesouche

 
Pour les élections françaises présidentielles, la consigne de vote de l'ETAT de SAVOIE est:
                                      ABSTENTION

Le slogan de la campagne électorale présidentielle française est:
                       "du cul, du cul,
                         votez DSQ" !!
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23 août 2011 2 23 /08 /août /2011 20:45

L'Echo des Montagnes, dans le légitime but de vous informer, se pose des questions et espère que ses lectrices et électrices et ses lecteurs et électeurs se posent aussi des questions sur le jérusalistes askénaze "DSQ".

Le puissant réseau des jérusalistes askénazes aura t-il raison des jérusalistes shérazades?

La guerre est déclarée entre ces deux clans jérusalistes, sachant que ROTSCHILD est askénaze et patron du BILDERBERG et des ILLUMINATI , dont fait parti la CIA GIRL, CHRISTINA MAGARDE.

 

AFFAIRE DSK CONTRE DIALLO : ABANDON DES CHARGES AVANT MEME QU’UN REEL PROCES AIT PU COMMENCER !!!











Chers amis,



L’article qui suit est absolument consternant :

- alors que Nafissatou Diallo était considérée comme une « personne fiable » au début de l’enquête,

- alors qu’on la présentait dans les médias comme une femme intègre, travailleuse et qui n’avait jamais eu de problèmes,

- ALORS QUE LE PROCUREUR LUI-MÊME RECONNAÎT QU’IL Y A EU « RELATION SEXUELLE PRÉCIPITÉE » ET « PROBABLEMENT NON CONSENTIE (donc, un VIOL !!!!!!!)

- ALORS QU’UNE TACHE DE SPERME A BIEN ÉTÉ RETROUVÉE ET DONT L’ADN APPARTIENT À DSK ET DIALLO (!!!)

- ALORS QU’ON A BIEN RETROUVÉ DES TRACES DE SPERME DE DSK SUR LES SOUS-VÊTEMENTS DE DIALLO (!!!)


BREF, ALORS QUE QUANTITÉ D’ÉLÉMENTS DE PREUVE DÉMONTRENT QU’IL Y A BIEN EU UN VIOL, LE PROCUREUR CYRUS VANCE ABANDONNE LES CHARGES CONTRE DOMINIQUE STRAUSS-KAHN AVANT MÊME QU’UN RÉEL PROCÈS AIT PU COMMENCER !!!


Il se base sur une série de « mensonges » et d’éléments qui accableraient soi-disant Diallo.

NÉANMOINS, on peut rester abasourdi par la stupidité et la mauvaise volonté affichées concernant certains éléments : ainsi, par exemple, on aurait retrouvé des « petites taches de sang sur le caleçon de DSK et sur le drap, mais qui seraient soi-disant dues à un « problème de peau » de DSK, problème qui « provoque des saignements aux mains » ! Notez que le problème de peau en question n’est pas cité noir sur blanc (on n’en donne pas le nom médical), et qu’aucune preuve scientifique n’est fournie, ni qu’aucun résultat de labo n’est confirmé dans l’article concernant cet élément…

Le procureur montre tant de mauvaise foi qu’il va même jusqu’à prétendre que « RIEN NE CONFIRME QU'IL (DSK) LUI AIT AGRIPPÉ LE VAGIN (DIALLO) ET QU'IL AIT CAUSÉ LA FAMEUSE ROUGEUR », ALORS MEME QUE LE RAPPORT MEDICAL, LUI, CONCLUAIT QUE CETTE ROUGEUR PROVENAIT D’UNE AGRESSION !

MAIS AU DIABLE LES DÉTAILS : L’AFFAIRE ÉTAIT ENTENDUE DEPUIS LE DÉPART AFIN DE DISCULPER DSK, ET L’ABANDON DES CHARGES AVANT MÊME L’OUVERTURE RÉELLE DU PROCÈS CONFIRME CE DONT NOUS NOUS DOUTIONS DEPUIS LE DÉBUT.

L’AFFAIRE DSK CONTRE DIALLO N’EST PAS QU’UNE SIMPLE AFFAIRE CRIMINELLE. IL S’AGIT AVANT TOUT D’UNE AFFAIRE DE LUTTE DES CLASSES, ET UNE PREUVE ABSOLUE DE PLUS D’UNE IMPUNITÉ TOTALE ET INFAME DONT JOUISSENT LES GENS DE L’ÉLITE MONDIALE (MÊME LORSQU’ILS SONT DES VIOLEURS OU DES CRIMINELS) FACE À DES CITOYENS ORDINAIRES !


Beaucoup de personnes en France ne l’ont pas encore compris, et beaucoup se sont laissés influencer par la propagande des mass médias visant à disculper DSK.

Mais que ceux-là se « rassurent » : ils auront tout le temps de comprendre enfin, lorsque les mesures d’austérité économique (mesures destinées au PEUPLE et non à l’élite) les frapperont de plein fouet…

L’affaire DSK/Diallo constitue une injustice ignoble de plus dans la coupe des méfaits, des péchés et des abominations commises par les mondialistes…

L’article choquant des mass médias, ci-dessous.

BON ESCLAVAGE, BONNE TYRANNIE ET BONNE MORT ! Vic.


P.S. : et comme une mauvaise nouvelle ne vient jamais seule, dans le MEME temps où l’on signalait un abandon des charges dans l’affaire DSK contre Diallo, la presse méphitique signale DEJA qu’il pourrait en aller de même dans l’affaire d’agression sexuelle qui oppose DSK à Tristane Banon, en France (cf. http://www.lexpress.fr/actualite/societe/l-affaire-banon-dsk-bientot-classee_1022914.html#xtor=AL-447 ) ! DSK aurait pu violer une dizaine de personnes qu’on lui aurait encore évité de comparaître devant le tribunal et d’être jugé ! Mais là aussi, pas mal de Français ont suivi les mass médias et accablent… Tristane Banon ! Vomitif…



Source : http://www.lepoint.fr/societe/affaire-dsk-les-secrets-de-la-chambre-2806-23-08-2011-1365242_23.php


AFFAIRE DSK : LES SECRETS DE LA CHAMBRE 2806


Le Point.fr - Publié le 23/08/2011 à 07:12 - Modifié le 23/08/2011 à 08:00


LE PROCUREUR VA DEMANDER L'ABANDON DES CHARGES. Il s'appuie sur un document de 25 pages, qui liste DOUTES ET MENSONGES.



Nafissatou Diallo a lancé une procédure au civil contre Dominique Strauss-Kahn lundi. © © Meigneux, Timothy A. Clary / AFP, Sipa



De notre envoyée spéciale à New York, Hélène Vissière

Que s'est-il passé le 14 mai vers midi dans la chambre 2806 ? LE LONG DOCUMENT DE 25 PAGES DIFFUSÉ LUNDI PAR LE BUREAU DU PROCUREUR DE NEW YORK QUI JUSTIFIE SA DEMANDE D'ABANDON DES CHARGES (cf. http://www.lepoint.fr/societe/le-procureur-va-abandonner-les-charges-contre-dsk-22-08-2011-1365187_23.php ) CONTRE DOMINIQUE STRAUSS-KAHN SUSCITE BIEN PLUS DE QUESTIONS QUE DE RÉPONSES.

IL Y A BIEN EU ACTE SEXUEL, MAIS "PRÉCIPITÉ" comme l'écrit le procureur. Nafissatou Diallo est entrée dans la chambre à 12 h 6 et DSK a passé un coup de fil à sa fille à 12 h 13. DONC TOUT A ÉTÉ CONSOMMÉ EN MOINS DE DIX MINUTES, CE QUI SUGGÈRE, ESTIME CYRUS VANCE, UN ACTE SEXUEL "PROBABLEMENT" NON CONSENTI.



Deux collants superposés

Mais rien ne permet de le confirmer. La police scientifique a trouvé cinq TRACES DE SPERME sur le tapis de la chambre mais seulement UNE TACHE CORRESPOND À L'ADN DE DSK ET DIALLO. Les quatre autres, dont une sur le papier peint, appartiennent à d'autres hommes ! Il y a aussi de PETITES TACHES DE SANG SUR LE CALEÇON DE DSK ET SUR LE DRAP, mais qui, apparemment, sont dues au fait que l'ex-patron du FMI souffre d'un "problème de peau qui provoque des saignements aux mains".

DIALLO, autre fait bizarre, portait deux collants superposés et ON A BIEN RETROUVÉ DES TRACES DE SPERME DE DSK SUR SES SOUS-VÊTEMENTS. Mais RIEN NE CONFIRME QU'IL LUI AIT AGRIPPÉ LE VAGIN ET QU'IL AIT CAUSÉ LA FAMEUSE ROUGEUR, comme sa défense l'a suggéré. Pas plus convaincant, sa douleur à l'épaule qui serait venue du traitement brutal que lui aurait fait subir DSK. Mais le procureur souligne que Nafissatou, dès le lendemain de la soi-disant agression, affirme qu'elle n'a presque plus mal, avant de se plaindre de nouveau un mois plus tard. Quant au fait de souffrir en urinant, elle ne le mentionne que le 27 juillet.


Mensonges accablants

Mais, surtout, pourquoi cette accumulation de mensonges ? AU DÉPART, "TOUTES LES PREUVES DISPONIBLES MONTRAIENT QUE LA PLAIGNANTE ÉTAIT FIABLE", écrit Vance, mais à mesure que l'enquête progresse, le procureur découvre toute une série de mensonges et de déclarations contradictoires qui "ont sévèrement endommagé" sa crédibilité. Et la liste est accablante.

Elle a raconté son viol collectif en Guinée avec une "grande émotion" et beaucoup de "conviction", montrant les cicatrices laissées sur son corps, avant d'avouer que c'était de la pure affabulation. Elle a menti pour obtenir un logement social en ne déclarant pas son salaire au Sofitel. Son compte en banque a servi, semble-t-il, à blanchir 60 000 dollars, sans doute de l'argent de la drogue. Diallo a expliqué que c'était l'argent de l'entreprise de son "fiancé", même si, selon le procureur, elle a touché des commissions.


Trois versions

Elle a donné trois versions différentes de ses actes après avoir quitté la suite de DSK. Elle affirme d'abord qu'elle est restée prostrée dans le couloir et que c'est là que son chef l'a trouvée. Puis, lors d'un entretien avec les équipes du procureur le 28 juin, elle raconte qu'elle est allée dans la chambre 2820 et qu'elle a fait le ménage, passé l'aspirateur et que, en allant chercher des draps dans le placard dans le couloir, elle est tombée sur son chef et a fini par avouer ce qui s'était passé. Du coup, le procureur fait une étude des clés et découvre qu'elle est entrée dans la chambre 2820 à 12 h 26 et que, à peu près à la même minute, elle est entrée dans la chambre 2806. Elle n'a donc pas eu le temps de faire le ménage dans un laps de temps aussi court.

Le 27 juillet, interrogée sur ses incohérences, elle déclare qu'elle s'est réfugiée d'abord dans le couloir, puis que, quand elle a vu DSK quitter la chambre, elle est entrée dans la 2820 pour aller chercher son chariot.


"Hautement désastreux"

Enfin, elle nie essayer de gagner de l'argent, mais il y a la fameuse conversation téléphonique en fulani avec son fiancé en prison où elle laisse entendre qu'elle peut se faire du fric sur le dos de DSK. Son avocat conteste la traduction, mais le procureur affirme qu'elle a été confirmée par deux traducteurs différents.

Et comme si cela ne suffisait pas, pendant 19 jours fin juin, les avocats de Nafissatou ont refusé que leur cliente soit interrogée par le procureur. Est-ce parce qu'ils essayaient de négocier des dommages et intérêts avec les avocats de DSK ?

Tout cela est "hautement désastreux", conclut le rapport du procureur. La crédibilité de la plaignante ne peut résister à "l'examen le plus élémentaire". Or, pour un procès aux États-Unis, le jury doit être convaincu "au-delà du doute raisonnable". "Si nous ne croyons pas nous-mêmes (Nafissatou Diallo) au-delà du doute raisonnable, nous ne pouvons pas demander à un jury de le faire."
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23 août 2011 2 23 /08 /août /2011 17:35

L'ECHO des MONTAGNES, dans le légitime but de vous informer, vous livre le scandale jérusaliste suivant:

 

 

Des Rabbins Approuvent le Meurtre de Non Juifs!!!
Sauvegardez cette vidéo avant sang-sur!!!

 

 

 

 

 


VIVE LES GOYS!!!!Des rabbins juifs ont publié un livre donnant l'autorisation d'assassiner des non-juifs, y compris les bébés et les enfants, qui pourraient constituer une menace réelle ou potentielle sur des Juifs ou Israël. "Il est permis de tuer les Justes parmi les non-Juifs, même s'ils ne sont pas responsables de la situation menaçante,"

Rabbi Yitzhak Shapiro, qui dirige la Od Yossef Chai Yeshiva dans la colonie de Yitzhar en Cisjordanie occupée, a écrit dans son livre " Le roi de la Torah. "
Que les goyims (une épithète péjorative pour les non-juifs) peuvent être tuées si ils menacent Israël.
"Si nous tuons un païen qui a péché ou a enfreint l'un des sept commandements - parce que nous nous soucions des commandements - il n'y a rien de mal à l'assassiner."

 

http://ripoublik.com

http://www.le-projet-juif.info

http://intransigeants.wordpress.com

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  • : Je suis contre les sionistes, les juges francs-maçons, les francs-maçons,les politiques véreux,corrompus, pourris. GUERRIER COMBATIF CHEVALERESQUE
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